Les citations de rp

Déjà Marion J'ADORE VOIR LA PETITE TÊTE DE SAM DANS TON PROFIL.

Maintenant, les choses sérieuses ! Bon je vais pas m'arrêter sur ton style et le haut niveau d'écriture de ce rp, tu le sais déjà, tu sais déjà que je suis une fan inconditionnelle, que je trépigne comme une gamine à chaque fois que tu postes et que je m'extasie assurément à chaque coup. Puis de toute façon j'ai trop de mal à "étudier" le texte des autres, et je veux surtout pas casser la magie par l'explication (et en plus je suis trop fatiguée), donc c'est pas là-dessus que je vais me pencher.

Marion a écrit:

Juliet était un personnage fascinant. Elle captivait, enchantait, telle les sirènes des légendes. Et Aiden avait été un navigateur imprudent, envoûté par l'affliction déguisée en séduction. L'enjôleuse l'avait noyé dans les eaux troubles de la torpeur, elle l'avait attiré dans les bas-fonds d'une remise en question continuelle et d'un désir dévorateur, un désir d'esprit et de chair, trop consumant, trop nuisible. Elle l'avait détruit, lui et ses rêves, lui et ses envies, ses projets, ses idées. Elle avait volé son cœur et sa raison

"Détruit", c'est tellement le mot... Voleuse de rêves ! Voleuse d'idéaux !

Citation :

Juliet était trouée par endroits.

Ça résume tellement bien l'incomplétude du personnage... elle est pas seulement incomplète, indéterminée : elle est trouée. Il y a des vides, des creux, qui ne se remplissent pas et créent des incohérences, des indifférences.

Citation :

C'était grisant d'être multiple.

Je crois que c'est pour ça qu'entre Juliet et Aiden, ça marche. Parce que tous les deux ils testent leurs masques, l'un avec l'autre, et que chacun cherche à savoir qui est réellement l'autre. C'est un jeu de mystère, un jeu d'amour, un jeu dangereux.

Citation :

En tentant de déchiffrer l'expression sur la figure de l'inventeur, elle discerna une étrange fureur et un soupçon de rancœur; pour Juliet, elle se heurta à un mur.

Je crois que tu as pointé une différence fondamentale entre les deux. Juliet a un contrôle quasi totale sur ses émotions, sur ses sentiments, sur elle-même, tandis qu'Aiden est toujours dans la représentation. Par là j'entends qu'il joue toujours avec ses émotions. Il n'arrive pas vraiment à les cacher, alors il les met en scène, lorsqu'elles ne lui échappent pas. Et là elles lui échappent. Je pense que, d'un côté, ça l'énerve, et que de l'autre il trouve ça libérateur. Ça le libère, d'exprimer, et en même temps il sait qu'il est face à ce "mur" qu'est Juliet, il sait qu'il n'obtiendra rien, que ses mots ne suffiront pas, et ça le frustre, je crois.

Citation :

De plus, les mots d'une jeune femme aussi authentique que Juliet Perkins ne pouvaient qu'être vrais. Jusqu'à preuve du contraire, la belle n'était qu'en faveur de la justice.

C'est ça, aussi, leur différence. C'est que Juliet, elle a un rôle en dehors de son travail pour le HG. Elle est déjà quelqu'un, par sa naissance, par sa famille. Elle a une place et elle doit s'y tenir. Aiden, il n'a rien. Etranger qui s'est élevé tout seul, on le juge sur une unique apparence, celle de l'Inventeur. Et là-dessus, les dés sont truqués, la balance est déséquilibrée : ils ne sont pas égaux. Elle peut se protéger de tout grâce à son rang alors que lui, il est soumis à tous les caprices des autres, à toutes les injustices qui pourraient leur plaire.

Citation :

Car c'était à Julianne qu'appartenait ce trône, cette couronne, cette estrade, cette grande place, tous ces spectateurs du Nord, ces soldats corrompus, ces villageois dans les prisons. Et surtout, Aiden, et Juliet. Elle possédait le génie, elle possédait l'espionne. Ils étaient ses artistes, ses protégés, ses fidèles, ses enfants. Tout lui appartenait. Et tout lui reviendrait de droit un jour...

Ces phrases, même à la deuxième lecture, me font encore frissonner. Même si Aiden et Juliet sont aussi détestables l'un que l'autre par certains côtés, je ne peux pas m'empêcher de frissonner, parce que je ne pense pas qu'ils méritent ça, d'être asservis comme des bêtes. D'être les petits monstres de Julianne, ses petites expériences de laboratoire.

Citation :

La mignonne joua de sa fragilité, de son innocence.

Ce morceau m'a fait rigoler parce que ça n'est tellement pas Juliet, et tellement elle à la fois. L'innocence, non ; le jeu, oui. Et je pense que ça fera sourire Aiden amèrement, que ça le fera rire jaune, de voir qu'elle peut se comporter ainsi alors qu'elle mériterait plus sa place au procès que lui-même.

Citation :

elle la plus raffinée des Noblionnes, afin d'éclaircir sa voix, elle porta sa main droite à ses lèvres et y posa trois doigts et couvrit un toussotement discret. Elle se régalait de ce divertissement.

Vraiment une garce aha, je vois déjà Aiden lever les yeux au ciel XD

Citation :

« J'ai été l'amie de Monsieur. » Elle hocha doucement pour confirmer, puis avoua, d'un air plus grave. « Intimement. » Des sourcils se froncèrent chez les Témériens. Prenant son rôle de témoin toujours plus sérieusement, elle ajouta, sans s'inquiéter des grognements surpris ou désapprobateurs. « Et j'ai été son ennemie. Notre relation est bien complexe pour la détailler dans sa totalité. Je pense qu'aucun de nous deux ne pourrait vraiment poser des mots sur ce que nous sommes. »

En fait, Juliet est troublante pour Aiden, et il l'aime bien pour ça, à mon avis. Elle est troublante parce que c'est un mur, une endoctrinée, mais qu'elle arrive quand même à avoir des pensées lucides et des propos véridiques. Et ça le perturbe parce qu'il n'arrive pas à situer les limites, à savoir où la folie s'arrête et où la raison commence.

Citation :

La colombe crut reconnaître ses parents au loin. Elle perçut les airs choqués du père et les yeux ronds de la mère dont le jeu d'éventail s'amplifiait vélocement. Sa relation avec Aiden n'avait jamais été confidentielle — pas vraiment — et malgré tout elle n'avait jamais été révélée. Ils s'étaient connus, aimés et détestés dans la Haute-Tour, dans les ruelles sombres, et confinés dans leurs chambrettes, à l'abri des murmures, à l'abri des rumeurs. Aujourd'hui cela changeait, aujourd'hui ils étaient exposés. Leurs secrets seraient révélés... A partir de maintenant, tous chuchoteraient sur ce couple étrange. Et Juliet le savait, elle l'avait prévu, elle l'avait voulu.

Les parents XD Ce qu'Aiden voulait et craignait aha.
Mais je vois trop leur relation comme ça aussi. D'abord, soucieux qu'on ne sache pas, puis totalement je-m'en-foutistes, portés par l'ivresse de la jeunesse, par leur rejet des conventions, par leurs rôles à part, par leur impression d'être plus malins que tous...

Citation :

« En effet je connaissais la nature de son office. Mais pour une fille amoureuse, est-ce là fort important ? Je ne me suis inquiétée de son travail que bien plus tard. »

JULIET LAISSE-MOI RIRE.

Citation :

Pour Aiden elle eut un regard tendre, un peu nostalgique. Ses yeux semblaient tristes et son cœur paraissait lourd d'un vieil d'amour. La foule compatit avec cette jeune femme fragile, cette jeune femme blessée. Katharina qui la dominait sur son trône rouge, comprit sa mélancolie. A cet instant elles étaient égales, toutes deux femme de passion, toutes deux femme de cœur. Le génie, lui, qui connaissait parfaitement le manège de l'actrice, la toisa sans un mot. Seulement c'était vrai, ils s'étaient aimés. Follement, naïvement, péniblement. Et peut-être, s'aimaient-ils encore dans le fond... A leur façon, maladroitement et bizarrement. Il sut aussi qu'elle ne regrettait pas cette époque. Car Juliet n'avait pas de remords, ou du moins pas souvent. Et pas pour ça. Surtout pas pour ça.

En fait Juliet joue pas avec les sentiments d'Aiden, elle joue avec les miens XD Non là franchement mes poils se sont encore plus hérissés (bon les premières phrases j'étais en mode : "baaah salope garce connasse tu vas le compromettre avec tes airs de gentille !"). C'est trop ça, leur relation, ça les perd, ils rejettent, ils ne veulent pas, ils écartent... Ils essaient d'oublier leur faiblesse de jeunesse, leur chute dans l'amour, mais c'est déjà trop tard...

Citation :

Il se tenait en arrière sur son tabouret, les jambes pliées sous le siège et il passait la plume sous son menton, chatouillant sa peau pour stimuler ses idées.

Ça, ça m'a achevée, parce que je le fais souvent en DS, je m'enfonce dans le fond de ma chaise et je passe mon stylo sur mon menton (mais je fais plus souvent sur la bouche), donc Aiden pourrait tout à fait faire ça ! J'ai essayé de réfléchir un peu aux tics de mes personnages l'autre jour mais finalement j'ai juste fait Caliel... et ça oui c'est bien Aiden.

Citation :

Elle se mordit l'intérieur des joues une seconde, pour résister à son sourire à elle, qui serait trop grand pour l'occasion. Puis elle le salua à son tour, sur un ton qui se voulait détaché. « Aiden. » Sans grand succès pour la désinvolture, un coin de sa bouche grimpa plus haut sur sa figure juvénile, sans qu'elle ne puisse le contrôler.

Déjà cette volonté de tout contrôler... JULIET DESSERRE LES FESSES BON SANG.

Citation :

Il avait trop d'envies de rébellion.

Trop de rêves, trop de passions, trop d'espérances...

Citation :

Aiden ne réalisait pas encore, mais ils lui avaient tout offert. En plus de tout ce qu'il lui fallait pour assouvir ses besoins et satisfaire ses ambitions, ils lui avaient donné la chance des possibilités. Mais ce n'était pas suffisant pour l'Etranger. Il voulait quelque chose de différent, un concept qui devenait de plus en plus brumeux pour Juliet... « Et ma liberté ? »

Je me rends compte que "la liberté", c'est souvent super important pour mes persos. Et ils ont presque tous une définition différente, même si la différence se fait sur du détail. Pour Aiden, la liberté, c'est dire non, mais c'est surtout ne pas être contraint à rester, c'est pouvoir partir quand il le souhaite, où il veut et quand il le désire. c'est n'être attaché à rien, parce que les attaches maintiennent le bateau au port. Et l'amour, ça attache, alors il n'aime pas ça... il n'en veut pas et, finalement, c'est normal. Ce n'est pas un personnage sans sentiment, c'est un personnage qui a peur de perdre ce qu'il aime plus que tout : la liberté. Et inévitablement, inéluctablement, il l'a perdue, elle l'a quitté.

Citation :

Dans un sursaut de colère il froissa brusquement quelques feuillets. Il se leva vivement de son siège, pris d'une autre de ses folies, d'un de ses désirs ridicules d'échapper au confinement. Elle ne comprenait pas ces élans, elle les trouvait étranges, trop anomaux, ils surgissaient parfois, comme venus de nulle part et n'avaient aucun sens.

Ça aussi c'est bien lui. Je ne crois pas que seule Juliet trouverait ça bizarre. Il a des pulsions, il veut tout changer puis tout laisser tomber, tout porter puis tout laisser s'évanouir. Il est assez inconstant, là-dessus. Un peu comme Sey actuellement : les grands élans, les grands passions, les grandes folies, et puis pas beaucoup de résultats. Mais lui, il a presque réussi à se résigner, à se dire que "tant pis".

Citation :

La bougie encore entière, il s'appliqua dans sa lecture; pour lui faire plaisir. Juliet perdit vite son air triste pour tirer une chaise et s'asseoir à ses côtés. Il demanda plus de détails et elle les lui fournit.

C'est trop mignon.

Citation :

Elle revint sur ses pas cependant et appuya ses coudes sur le bureau, la tête dans les mains, un sourire malin sur sa figure d'ange. « Ils ont promis une récompense si tu acceptais. » Intrigué, il pencha la tête sur le côté. « Ils ont dit ... que c'était à moi de choisir. » Elle pinça les lèvres, joueuse. « Le quand et le quoi. » Juliet se dandinait, ravie d'avoir un bon nombre d'options. « Alors... qu'est-ce que tu veux Aiden ? » Il sembla réfléchir. Il pouvait tout avoir. Peut-être qu'il voudrait profiter de cette occasion pour préparer un voyage. Il retournerait à sa mer, à ses bateaux et autres fantaisies des Terres sablées. Mais avant qu'il n'ait pu formuler un semblant de pensée, elle approcha son visage du sien. « J'ai eu une idée. » Le pouls dans le cou de l'inventeur s’accéléra. Les idées de Juliet étaient souvent farfelues, il aurait dû s'inquiéter de la suite. « Tu me fais confiance ? » Malgré lui, ses mirettes plongèrent dans celles de la belle, hypnotisé. Elle répéta, plus bas, intimement, dans un murmure. « Tu me fais confiance Aiden ? » Il souffla par le nez d'une lenteur minutieuse et cessa ensuite tout mouvement. Elle était si près. « Oui... » Il déglutit. « ... je te fais confiance. » Elle eut un doux sourire, un sourire chaud, un sourire heureux. Ses doigts s'approchèrent de lui et se posèrent avec précaution sur sa joue gauche. Aiden avait cessé de respirer. Elle s'avança un peu plus. Et de sa voix mielleuse, elle susurra contre sa bouche. « Ferme les yeux. » Elle sourit encore quand il papillonna et s'exécuta. Elle ferma les siens. La distance entre eux se résuma en un intervalle contigu, et pour la première fois dans l'histoire de leur vie, leurs lèvres se frôlèrent.

SORCIÈRE ! AU BÛCHER !
Non mais je crois que c'est là que j'ai eu les larmes aux yeux. Je sais plus. Mais c'était dans le flashback. POURQUOI ILS SONT PAS RESTES MIGNONS COMME CA CES DEUX COUILLONS BORDEL DE MERDE ?
Et Juliet me tue, je la vois trop se dandiner avec un grand sourire sur la bouche, et Aiden en mode "mais qu'est-ce qu'elle fait bon sang ?" XD

Citation :

Souvenir d'un baiser, d'un premier baiser. Silence mélodieux de l'Origine d'un Passé. Lèvres impérieuses, douces tentations du lien, alchimie étrange, intensité d'un début, espérances d'une suite. Furtif dans la mémoire comme il a été furtif dans l'effectif. Léger et sucré. Mémorable. Frisson. Un avant-goût, une ébauche, une esquisse, pour commencer, pour essayer, pour goûter. Une proposition, une promesse. Un premier baiser, pour une première caresse, pour une première fois, pour une seconde embrassade, pour une troisième étreinte, pour des dizaines, pour des centaines d'autres. Destin mystique et mystère de l'avenir. Un baiser, un premier baiser. Le prix dispendieux d'un Toujours.

Rien n'est plus vivant qu'un souvenir. C'est là que les choses prennent leur vraie place. C'est s'écorcher, c'est s'accrocher. C'est l'infini. On sourit aux échos du passé, on s'en rappelle comme on le voudrait, comme s'ils avaient été plus tendres, plus faciles ou plus brillants. On les remodèle en altérant le réel des blessures, des déceptions, des vieilles désillusions. Le souvenir du bonheur n’est plus du vraiment du bonheur. Mélancolie d'un parfait. Et le souvenir de la douleur est de la douleur encore. Regrets d'un imparfait.

Un faire, une fois. Un refaire, encore. Sans défaire, jamais.

J'ai pleuré un peu sur le début (genre j'ai eu deux sales sanglots, j'assume pas, ça fait trop longtemps que j'ai pas pleuré devant un bouquin, laissez-moi redevenir une grosse dure. Ah parenthèse racontage de vie : ce soir, on a fait une petite soirée chez une amie. Je suis allée aux toilettes (vous devez vous demander pourquoi je vous dis ça), et quand j'y étais un ami à essayer d'entrer (c'était fermé hein XD). Du coup quand je sors je lui dis : "Tu peux y aller !". Il me répond : "Merci". Et moi : "oh bah de rien, j'ai parfumé un peu". Il a éclaté de rire puis a dit : "Quelle féminité !". XD j'avais juste fait pipi hein ! Bref).
T'as dû passer 20 000 ans sur ce paragraphe, j'en suis quasiment sûre. Mais c'est super joli. ET C'EST SUPER TRISTE PUTAIN AIMEZ-VOUS ET FICHEZ-NOUS LA PAIX.

Citation :

Son sort était entre ses mains et il ne pouvait rien y faire.

On verra s'il y fait rien, vous allez voir ! Aiden is never gone ! He will always surprise you ! Nah !

Citation :

Elle planta ses prunelles sombres dans les yeux de l'accusé, froide, distante, l'air hautaine comme si leurs souvenirs n'avaient aucune importance.

COMME SI.

Citation :

« Aiden Ruthendell est un homme lâche. »

Normalement les nanas idéalisent leur homme, nan ? Je sais pas quand je vois Lucie et son term... quoi je me tais ? Ok ok c'est bon. Juliet t'es une fausse femme ! Montre ton kiki ! Kirikou est petit... oh mon dieu Marion ça me revient.

Citation :

« Nombreuses fois, il a trahi, menti et détruit. Pas toujours pour lui-même mais pour d'autres, pour ces maîtres dont il s'est dit esclave. Ne confondez pas cela avec une forme de largesse, ou quelconque dévouement. Car en plus d'être lâche, il n'est ni charitable ni loyal. »

Déjà, il vous fait l'immense honneur de sa présence. De quoi vous vous plaignez ? C'est vachement charitable ça, je trouve.

Citation :

« Est-on réellement esclave lorsque l'on est trop faible pour briser ses chaînes ? Car il est plus facile de prêter allégeance aux influents et de profiter des privilèges. Se battre pour ses convictions en tant qu'homme libre demande trop de courage. Aiden n'a pas été l'esclave du Gouvernement, il n'a été l'esclave que de ses propres instincts, ses instincts de survie. Il a toujours tout fait pour survire, du mieux qu'il pût. Il a profité de cet état, supposé d'esclavage, pour se réjouir du confort de la Tour, de la richesse des vêtements qui lui ont été offerts et de la quantité de nourriture que l'on servait à sa table. » On le hua.

PETITE CONNASSE TU VAS VOIR CE QUI VA T'ARRIVER DANS LA TRONCHE TOI.
Non mais oui je le voyais comme ça aussi. Il veut juste sauver sa peau. Le reste, en soi, il s'en bat relativement les couilles. (ça doit être tellement horrible de me lire écrire comme une grosse thug après avoir lu les mots de Marion aha, pardon)

Citation :

« Ses pulsions lui empêchent la bravoure. Et on ne lutte pas contre sa nature. Comme beaucoup d'entre nous, Aiden Ruthendell est un lâche. Quoique que certains le regrettent, le rejettent et rêvent d'héroïsme, lui accepte pleinement sa condition. Bien que d'autres se lamentent et se déplaisent, lui embrasse ses défauts. Il les a apprivoisés, a appris à vivre en dépit de ses lacunes... Et n'est-ce pas là un genre d'audace ? »

Marion on pense trop pareil ! A chaque fois que je fais dire à Aiden qu'il est lâche, je me dis qu'il a quand même les cacahuètes pour le faire, lui. Il est super ambigu en fait. C'est comme s'il se déchargeait : il peut avoir le courage d'être lâche, mais pas celui de se montrer vraiment courageux.

J'ai l'impression de faire de la psychanalyse depuis tout à l'heure, avec pétages de câble réguliers... Je me saoule ça n'a aucun sens.

Citation :

Elle eut un infime sourire en coin pour l'inventeur... un message secret, lourd de sous-entendus qu'il pouvait interpréter comme bon lui semblait.

ARRÊTE TOUT CE MYSTÈRE, VA L'EMBRASSER ET MARIEZ-VOUS ET FAITES DES ENFANTS. (Admirez comme je suis en contradiction avec mon personnage et ce ship.)

Citation :

« Il a innové, pour ses maîtres, pour Vivendale. Seulement, il l'a dit lui-même, il n'est pas Nordien. Il ne s'est jamais senti comme appartenir à notre ville et ne le ressentira jamais. Il n'appartient à rien, et à personne. Il ne s'appartient pas lui-même... » Ses iris se mêlèrent à ceux du prisonnier. Pendant une seconde, une demi-seconde, on aurait pu croire qu'elle lui parlât avec les yeux. Elle semblait dire fais-moi confiance. Mais l'espoir créé le mirage... « Il est encore Etranger dans son cœur. Il rêve d'océan et de plage, il pense à voyager. Aiden n'est pas d'ici et ne le sera probablement jamais. Il n'est pas Nordien et n'a tué ni Témériens, ni Vivendalais. »

"Il ne s'appartient pas à lui-même." Han mon bébé mais ta vie est vraiment horrible, pourquoi je t'ai fait ça ? JE T'AIME AIDEN CROIS-MOI.
Moi aussi je rêve de plage et d'océan, mais plus dans le style je suis une baleine venue de l'océan qui s'échoue allègrement sur la plage et bronze (enfin se dessèche pour filer la métaphore baleinesque).

Citation :

« Mais il est expert dupeur. Il abuse, fabule, controuve et hâble à la perfection, dans le seul dessein de sauver sa peau. »

J'ai lu ça et je me suis changée en Aiden : "MAIS BORDEL J'AI PASSE 30 MINUTES A SAUVER MON CUL ET ELLE NIQUE TOUT, CONNASSE COMMENT JE FAIS MOI MAINTENANT ?"

Citation :

« Alors si vous voulez le punir Reine Témérienne, le seul moyen est de lui ôter la vie. »

Quand moi, Léa, j'ai lu ça : sommet de l'hystérie.
Quand Aiden, en moi, a lu ça : fond du trou du désespoir.

Citation :

Elle apportait l'extravagance, l'extraordinaire, et les extraits des fables que tous voulaient connaître. La légende de l'inventeur. Cet homme prisonnier de sa Tour et de son génie. Qui n'avait jamais voulu entendre les vérités sur Le Monsieur Ruthendell ? Juliet était une bonne conteuse d'histoires, il était de son devoir de partager le talent !

On dirait qu'Aiden c'est une légende, j'aime trop et lui aussi, surtout lui XD

Citation :

S'il n'y avait pas eu de public, de Katharina, de bienséance, de censure au laisser-aller, d'intense endoctrinement, s'il n'y avait eu qu'elle et lui, dans l'intimité, dans le secret; elle lui aurait probablement sourit, un sourire large, maligne, moqueuse, fière de son manège, pour le défier à riposter.

Mais il va riposter ne t'en fais pas ! Tu vas te prendre sa chaussure dans la gueule traîtresse va !

Encore 4 paragraphes j'arriverai jamais au bout XD

Citation :

« Aiden s'est montré insolent avec vous Katharina. » Elle était renarde, hypnotique, ensorcelante, prêcheuse de vérité. Son regard sincère enveloppa la Reine comme un manteau d'évidence. « Il a joué de son charme pour vous faire oublier ses tords. Je vous pense bien intelligente Madame, et peu naïve pour tomber dans les filets du pêcheur. Bien que, je comprenne bien qu'il soit facile de succomber à son visage et ses incantations. Il est aussi beau qu'éloquent et il peut être difficile de voir clair dans son jeu lorsqu'on le connait mal. Pour tout individu, homme et femme, citadin et souverain, pour tout Homme, aussi impartial et censé soit-il, Aiden est un illusionniste hors pair... Je m'attribue ce privilège de bien le connaitre. Peut-être trouvez-vous cela présomptueux, pourtant je suis probablement la seule à l'avoir appris. Lui, ses défauts, et le reste. Je le sais malin et rusé. Je le sais tenace et vif d'esprit. Je connais ses faiblesses; et ses forces m'ont conquises à une époque. Mes sentiments à son égard sont compliqués. Quoique la justice m'importe plus que son sort... »

Mais Aiden et moi on est tellement morts de rire quand on lit les dernières phrases, vous pouvez pas savoir. Pour la première, on rigole moins, hein.

Citation :

Juliet était sanglante sur son piédestal. Le capuchon baissé, la cape de velours dans son dos long, elle semblait tirée d'un roman fantastique. Une de ces déesses à l'aura insaisissable; une apparition enchanteresse et destructrice... On la savait fatale et pourtant on la trouvait charmante. La teinture violacée du tissu de sa cape accentuait de son pourpre, les courbes de ses seins, de ses hanches, de sa taille, dessinés dans le drap blanc de sa robe de bourgeoise. Le tissu était tiré sur ses genoux pour éviter les plis et tombait contre ses jambes. On aurait pu facilement se perdre à la contempler. Elle attirait le regard. Son visage désirable captait l'attention et on plongeait aisément dans de tels iris, sombres, caramel et miel, les couleurs de l'automne. Ses mèches brunes étaient ramenées en une jolie coiffure princière et quelques perles d'ambre cerclaient sombrement son cou, pour l'occasion de la sortie. Elle était impériale, splendide dans sa robe de coton lilial. un ange de la mort

Juliet épouse-moi s'il te plaît puis va crever au fond d'un trou.

Citation :

« Je ne souhaite plus voir d'injustice dans cette ville puisque désormais, tout a changé. »

Hum... lol ?

Citation :

« Si le courage lui manquait pour se défaire de ses liens, c'était surtout la peur qui l'entravait. La peur de la perte. Car si Aiden en ce jour ne tient qu'à peu de choses, il a jadis était moins entêté et son coeur, plus vulnérable. » Une mèche glissa devant ses yeux et elle la chassa d'un revers de la main. « J'ai été une de ses faiblesses. »

Mon dieu mais il est tellement dans la merde.

Citation :

Ses parents dans le fond, étaient dans tous leurs états. « On a menacé ma vie, et il n'a fait que garantir ma sécurité. »

Aiden le prince charmant ! #crédibilité

Citation :

Finalement, elle n'était pas là pour le livrer à la mort. Ou peut-être disait-elle adieu... Mais rien n'était encore fini. Était-ce une autre de ses manipulations ? Des sentiments, pour que tous baissent la garde, une fragilité passagère pour mieux mener l'attaque ? Juliet était trop complexe et ses masques, bien trop nombreux. Seulement elle resta ainsi, troublée et perdue, clouée sur son trône miteux, toujours scrutée, dans l'attente d'une suite. Mais aucun mot ne s'ajouta à sa tirade, aucun son ne sortit plus de sa gorge. Elle en avait fini. Elle se tourna doucement vers Katharina, l'implorant de mettre fin à cette parade; réclamant un repos à sa douleur définitivement, moins effacée qu'elle l'avait supposée.

Ne comprenait-elle pas ? Elle pouvait changer le cours de leur histoire, elle pouvait leur offrir du temps. Et c'était peut-être leur dernière chance.

FRISSONS.

Citation :

Léa je t'aime d'amour ! MERCI POUR JAIDEN... Sérieux sérieux sérieux ! Aiden est trop parfait et j'espère que ma vision de lui est correcte tout au long du rp. Sinon, tu sais bien que je peux modifier :)
Si ce post est pas une preuve de mon amour je sais plus quoi faire x) ♥

Et vous autres, je sais qu'ils sont agaçants (pour vous, pas pour moi oh non non non) mais ne détestez pas Aiden, ne détestez pas Juliet, Jaiden c'est la vie !

DE RIEN MERCI A TOI FAISONS DES BÉBÉS ENSEMBLE.
Retenez bien ça "Aiden est trop parfait" (surtout toi Sey ahaha ; Line le sait déjà au fond d'elle, elle veut juste pas l'avouer).
Mais l'amour est partout entre nous !
Moi ils m'agacent mais je les aime trop donc ils m'agacent encore plus mais aussi encore moins (oui cette phrase a du sens, cherchez bien).[/quote]

(J'ai essayé de pas trop citer mais j'ai échoué.)

J'AI INAUGURÉ LA 13ème PAGE C'EST MON CHIFFRE PRÉFÉRÉ C'EST UN SIGNE.

Haaaaaaaaaaaan en fait ça me plait trop d'avoir ton avis sur les différentes parties. Et du coup je vois que je suis pas trop à côté de la plaque en décrivant Aiden, et que parfois je tombe même en plein dans le mille huhu. Coïncidence ou fusion d'esprit ? FUSION MOI JE DIS !
Léa ce message de Jaiden était mon hymne à l'amour. J'ai jamais autant "travaillé" pour un rp. Oui travailler, parce que c'était totalement du boulot. Si ça pouvait être un métier mon dieu .... #expiatravailleurs #salariésd'expiation #chèquesignéparJulianne #payebiengrassepourrp #lebonheur #meillleurmétierdumonde (retour des hashtags ...)

Pour le paragraphe avec la musique figure-toi que ça m'a pas pris tant de temps que ça et j'y suis pas revenue les jours d'après (ou peut-être pour des détails et les fautes, la nuit je fais plein de fautes). Je l'ai fait le soir où j'avais dit que je resterai jusque 7h du mat. (marion qui tient pas ses promesses, ben bravo) La nuit est bénéfique pour le rp. Hm hm.

J'aime trop la vision que t'as de Juliet aussi ! Et t'as vu pas mal de petits détails que j'avais glissé subtilement ! Je suis trop heureuuuusueee !  Mais en fait y'a des sous-entendus partout de partout tout du long.. J'ai trop bossé Jaiden x)

Caliel F. Hopkins a écrit:

Marion a écrit:

Juliet était un personnage fascinant. Elle captivait, enchantait, telle les sirènes des légendes. Et Aiden avait été un navigateur imprudent, envoûté par l'affliction déguisée en séduction. L'enjôleuse l'avait noyé dans les eaux troubles de la torpeur, elle l'avait attiré dans les bas-fonds d'une remise en question continuelle et d'un désir dévorateur, un désir d'esprit et de chair, trop consumant, trop nuisible. Elle l'avait détruit, lui et ses rêves, lui et ses envies, ses projets, ses idées. Elle avait volé son cœur et sa raison

"Détruit", c'est tellement le mot... Voleuse de rêves ! Voleuse d'idéaux !

Citation :

Juliet était trouée par endroits.

Ça résume tellement bien l'incomplétude du personnage... elle est pas seulement incomplète, indéterminée : elle est trouée. Il y a des vides, des creux, qui ne se remplissent pas et créent des incohérences, des indifférences.

Citation :

C'était grisant d'être multiple.

Je crois que c'est pour ça qu'entre Juliet et Aiden, ça marche. Parce que tous les deux ils testent leurs masques, l'un avec l'autre, et que chacun cherche à savoir qui est réellement l'autre. C'est un jeu de mystère, un jeu d'amour, un jeu dangereux.

Citation :

En tentant de déchiffrer l'expression sur la figure de l'inventeur, elle discerna une étrange fureur et un soupçon de rancœur; pour Juliet, elle se heurta à un mur.

Je crois que tu as pointé une différence fondamentale entre les deux. Juliet a un contrôle quasi totale sur ses émotions, sur ses sentiments, sur elle-même, tandis qu'Aiden est toujours dans la représentation. Par là j'entends qu'il joue toujours avec ses émotions. Il n'arrive pas vraiment à les cacher, alors il les met en scène, lorsqu'elles ne lui échappent pas. Et là elles lui échappent. Je pense que, d'un côté, ça l'énerve, et que de l'autre il trouve ça libérateur. Ça le libère, d'exprimer, et en même temps il sait qu'il est face à ce "mur" qu'est Juliet, il sait qu'il n'obtiendra rien, que ses mots ne suffiront pas, et ça le frustre, je crois.

Citation :

De plus, les mots d'une jeune femme aussi authentique que Juliet Perkins ne pouvaient qu'être vrais. Jusqu'à preuve du contraire, la belle n'était qu'en faveur de la justice.

C'est ça, aussi, leur différence. C'est que Juliet, elle a un rôle en dehors de son travail pour le HG. Elle est déjà quelqu'un, par sa naissance, par sa famille. Elle a une place et elle doit s'y tenir. Aiden, il n'a rien. Etranger qui s'est élevé tout seul, on le juge sur une unique apparence, celle de l'Inventeur. Et là-dessus, les dés sont truqués, la balance est déséquilibrée : ils ne sont pas égaux. Elle peut se protéger de tout grâce à son rang alors que lui, il est soumis à tous les caprices des autres, à toutes les injustices qui pourraient leur plaire.

quote quote quote ...
nous sommes dans un poulailler

Je suis euphorique là, excusez.

Léa, j'aime trop tes émotions contradictoires x)

Citation :

Juliet épouse-moi s'il te plaît puis va crever au fond d'un trou

Mais OUI ! Epouse-la, marions Jaiden !!! Ayez le plus beau mariage de Vivendale et faîtes-nous pleiiiin de bébés trop trop magnifiques, à votre image :3
(Isa, tu peux être la demoiselle d'honneur :k:k Naaan tu mérites une place plus importante quand même ... Tu peux être la maîtresse d'Aiden si tu veux. Juliet t'y autorise. Faut bien que son p'tit mari évacue la pression du mariage. Et toutes les fois où ils se feront la tronche et voudront se tuer, y'aura Isa pour apaiser la douleur) Dans mon délire, dans mon délire, faîtes pas attention. Sauf si vous me suivez .. alors là on ferait des rps de malade :k N'oubliez pas. Je ne dis jamais non... attention rire diabolique en approche ... MOUAHAHAHAHAHAHHAHAHAHHAHA

LEA JE T'AIME
JE REMERCIE LE CIEL CHAQUE JOUR POUR EXPIATION
CHAQUE JOUR POUR JAIDEN
CHAQUE JOUR POUR VOUS TOUS

E-VE-RY DAY FOR YOU GUYS ♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥

Malbe a écrit:

Les amants maudits.

Si je ne dois avoir qu'un seul et unique instant de gloire sur Expiation, que ce soit celui-ci. Vous pouvez désormais m'appeler Marianne la Visionnaire.

Léa a écrit:

Ça aussi c'est bien lui. Je ne crois pas que seule Juliet trouverait ça bizarre. Il a des pulsions, il veut tout changer puis tout laisser tomber, tout porter puis tout laisser s'évanouir. Il est assez inconstant, là-dessus. Un peu comme Sey actuellement : les grands élans, les grands passions, les grandes folies, et puis pas beaucoup de résultats. Mais lui, il a presque réussi à se résigner, à se dire que "tant pis".

Normal, Aiden est désabusé. Seyrane, elle, a encore la fougue de la jeunesse ! Et puis qui sait, peut-être qu'elle parviendra un jour à des résultats, elle.

Quoi qu'il en soit (il faut que j'arrête d'utiliser cette expression), c'était magnifique. Tout à fait à l'image de Jaiden.

Je viens pour citer vos réponses donc en fait je viens juste pour pourrir le topic et flooder mais je me dois de répondre alors pardon x)
Déjà, je me dis que j'aurais pas dû faire ça à 1h-2h du matin (ça m'a pris 1h15 de citer), parce que quand je me relis, je vois les fautes que j'ai faites, et surtout je vois à quel point je ne suis pas modérée dans mes propos XD Mais c'est pas grave, au moins ça vaut presque la version live !

Marion a écrit:

Haaaaaaaaaaaan en fait ça me plait trop d'avoir ton avis sur les différentes parties. Et du coup je vois que je suis pas trop à côté de la plaque en décrivant Aiden, et que parfois je tombe même en plein dans le mille huhu. Coïncidence ou fusion d'esprit ? FUSION MOI JE DIS !
Léa ce message de Jaiden était mon hymne à l'amour. J'ai jamais autant "travaillé" pour un rp. Oui travailler, parce que c'était totalement du boulot. Si ça pouvait être un métier mon dieu .... #expiatravailleurs #salariésd'expiation #chèquesignéparJulianne #payebiengrassepourrp #lebonheur #meillleurmétierdumonde (retour des hashtags ...)

Pour le paragraphe avec la musique figure-toi que ça m'a pas pris tant de temps que ça et j'y suis pas revenue les jours d'après (ou peut-être pour des détails et les fautes, la nuit je fais plein de fautes). Je l'ai fait le soir où j'avais dit que je resterai jusque 7h du mat. (marion qui tient pas ses promesses, ben bravo) La nuit est bénéfique pour le rp. Hm hm.

J'aime trop la vision que t'as de Juliet aussi ! Et t'as vu pas mal de petits détails que j'avais glissé subtilement ! Je suis trop heureuuuusueee !  Mais en fait y'a des sous-entendus partout de partout tout du long.. J'ai trop bossé Jaiden x)

Non t'es pas du tout à côté de la plaque, t'inquiète ! FUSIOOON.
Han un hymne à l'amour. T'as une drôle de vision de l'amour toi :p Et oui c'est du boulot ! Oh mon dieu oui, rp toute ma vie, sans fin, encore et encore haaan trop bien (tes hashtags sont #magiques).
Ah ben c'est probablement mon passage préféré, désolée pour ceux où tu as passé des heures... mais celui-là est génial ! (Non mais 7h du matin, je t'aurais frappé.)
Ah bon ? Ah bah c'est cool alors ! J'ai même pas fait gaffe que c'étaient des sous-entendus... trop hystérique puis trop fatiguée XD ça c'est de la vraie fusion !

Marion a écrit:

quote quote quote ...
nous sommes dans un poulailler

Je suis euphorique là, excusez.

Léa, j'aime trop tes émotions contradictoires x)

Citation :

Juliet épouse-moi s'il te plaît puis va crever au fond d'un trou

Mais OUI ! Epouse-la, marions Jaiden !!! Ayez le plus beau mariage de Vivendale et faîtes-nous pleiiiin de bébés trop trop magnifiques, à votre image :3
(Isa, tu peux être la demoiselle d'honneur :k:k Naaan tu mérites une place plus importante quand même ... Tu peux être la maîtresse d'Aiden si tu veux. Juliet t'y autorise. Faut bien que son p'tit mari évacue la pression du mariage. Et toutes les fois où ils se feront la tronche et voudront se tuer, y'aura Isa pour apaiser la douleur) Dans mon délire, dans mon délire, faîtes pas attention. Sauf si vous me suivez .. alors là on ferait des rps de malade :k N'oubliez pas. Je ne dis jamais non... attention rire diabolique en approche ... MOUAHAHAHAHAHAHHAHAHAHHAHA

LEA JE T'AIME
JE REMERCIE LE CIEL CHAQUE JOUR POUR EXPIATION
CHAQUE JOUR POUR JAIDEN
CHAQUE JOUR POUR VOUS TOUS

E-VE-RY DAY FOR YOU GUYS ♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥

Non mais si tu savais comment j'étais déchirée tout au long de ma lecture ! J'ai pleuré, j'ai soupiré, j'ai ragé, j'ai souri, j'ai rigolé, LES MONTAGNES RUSSES. Mais je vais quand même surtout buter Juliet à la fin de l'histoire, hein.
Non mais Isa, en vrai, enfin la Isa de maintenant, elle serait bien mieux pour Aiden, et surtout pour sa santé mentale XD Parce que Juliet voilà hein, on repassera pour les esprits sains. (Et Isa c'est pas un dévidoir, t'es horrible XDD)
Marion lance pas des Idées comme ça ! Arrête ! Stop !
Hanw elle est mignonne quand elle est bouleversée ♥♥♥

Marianne a écrit:

Si je ne dois avoir qu'un seul et unique instant de gloire sur Expiation, que ce soit celui-ci. Vous pouvez désormais m'appeler Marianne la Visionnaire.

Marianne la Visionnaire, ça fait MLV, comme Marne-la-Vallée XD

Marianne a écrit:

Normal, Aiden est désabusé. Seyrane, elle, a encore la fougue de la jeunesse ! Et puis qui sait, peut-être qu'elle parviendra un jour à des résultats, elle.

Oui ! (Enfin ça va, elle a la jeunesse, mais lui c'est pas un croûton non plus :p Et j'espère qu'elle parviendra à des résultats !)

Maintenant je retourne rp ! Hoplééé !

Je suis tellement émue. Je suis tellement amoureuse de ce qu'on a créé ma Léa. Aiden et Juliet. C'est juste magnifiquement complexe et complexement magnifique. J'ai les larmes aux yeux dès les premiers mots, sûrement parce que je suis trop heureuse de voir que tu t'es tant donnée pour ce message, pour eux, pour moi :) Les larmes coulent finalement, à la fin du deuxième paragraphe. Par amour, par pur et simple amour.
Je suis vraiment émue, par la magie de tes phrases, la légèreté de ton texte et pourtant, putain c'est du lourd.
Alors j'vais citer, citer tous les beaux passages, ceux qui m'ont bien plus, ceux qui m'ont vachement touchée. Parce que t'es un p'tit génie Lélé, un vrai de vrai. Un putain de génie !

C'est dur de choisir .. tout est beau .. bon je vais pas choisir alors, aller je me lance ..

Citation :

Allait-il mourir ? Il avait ce doute. Ou cet espoir ? L’espoir d’avoir la chance d’abandonner les problèmes, encombrants et pourtant si superficiels… la chance de partir définitivement, de dire adieu au monde une bonne fois pour toutes au lieu de chercher à le fuir en le parcourant. A quoi songerait-il au dernier moment, avant que le bourreau n’abatte sa hache sur sa nuque ? A quoi penserait-il avant de perdre définitivement la tête ?

Ces questions sur la suite, cette recherche de sentiments. Oui Aiden, vois ça comme une chance, de mettre tout de côté et de recommencer ailleurs. Tu as été magnifique dans ce monde, tu le seras dans un autre.
C'est beau Léa. Trop beau. Nan, rien n'est trop beau. Magicienne va !

Citation :

Il revoyait la mer. Il aurait préféré mourir là-bas, près de l’océan, sur l’océan. S’il se sentait appartenir à quoi que ce fût, c’était sûrement à cela : cette étendue d’eau, infinie, belle, lunatique ; indomptable et inaccessible. Il l’aimait comme on chérit ces paysages que l’on a toujours connus : avec tendresse, et jamais sans une pointe de mélancolie.

Je pense que ça, c'est aussi une partie du pourquoi j'aime tant Aiden. C'est parce qu'il a ces mêmes pensées nostalgiques que moi, que toi aussi Léa, peut-être. Ces souvenirs qui semblent parfaits, embellis par le temps et la distance, enjolivés par les autres souvenirs, moins beaux et plus récents. Cet idéal qu'on a l'impression d'avoir déjà vécu, passé et trop loin, manqué de peu. Trop tard, j'aurai dû en profiter, j'aurai dû le voir venir, j'aurai dû choisir autre chose. Mais c'est trop tard et c'est de ma faute. Des souvenirs tendres, une époque qu'on regrette. On aurait pu mieux faire finalement, et il n'y a personne à blâmer sinon soi-même.

Citation :

Parfois, l’odeur forte des poissons vendus dans les ports le saisissait. Plus jeune, il avait toujours détesté cette fragrance : elle lui faisait froncer le nez et tirer la langue. Mais désormais, même ce souvenir éveillait de la nostalgie. Que n’aurait-il pas donné pour être là-bas, loin de tous ces jeux de cour, loin de cette mascarade, loin de ces hypocrites ? Rien : il aurait tout offert, pour une vie simple, pour une vie d’âme vouée à la mer, pour une vie parmi les marins et les catins.

Comment rendre un souvenir désagréable magnifique .. Bravo Léa, tu m'a scotchée dès les premiers mots. Je suis toute retournée. Ca me rappelle mes propres souvenirs, mes propres émotions. Magicienne je vous dit, magicienne.

Citation :

Allez, Juliet, entre en scène, et donne-lui raison. N’était-ce pas ce qu’elle allait faire ? N’était-ce pas ce qu’elle devait faire ? Pour tenir son rôle de petite noble si fragile, si innocente, si insoupçonnable ? Oh, qu’il devait paraître pour une abomination, à côté d’elle, la colombe, la biche, la gazelle, le cygne ; lui, le corbeau, le loup, le lion, l’aigle. Pourquoi hésitait-il encore ? C’était joué. Elle allait le tuer. Elle allait pouvoir le faire parce qu’elle les avait tous, d’un battement de cils pharisaïque, amadoués. Ils étaient à ses pieds, pendus à ses lèvres, prêts à boire ses paroles jusqu’à la lie. Les Trois frappaient plus tôt que prévu…

Estomac retourné. Je suis Juliet dans ces moments là. Je me sens frappée de la haine d'Aiden et de son amour frustré. Je m'en veux, je veux le libérer de mon emprise. Mais je suis lâche aussi, je veux le garder...
Haaan Léa .. tu me tues tout doucement ..

Citation :

Et il voulait sa liberté, il voulait sa liberté, il ne voulait ni haïr ni aimer…

I can see the pain living in your eyes
And I know how hard you try
You deserve to have so much moreeeeee

Citation :

Pourtant, il ne pouvait s’empêcher de la détester pour être ainsi. Il leva les yeux au ciel lorsque, enveloppée par l'ambiance de sa propre comédie, elle s’éclaircit la voix le plus discrètement possible.

Je savais bien que t'allais réagir à ça ahah ^^

Citation :

Et puis son cœur battait, mais trop rapidement pour que ce fût de la colère. Tout se brouillait ; les couleurs de la toile se mêlaient, si bien qu’on en distinguait plus le dessin.

Mais c'est TELLEMENT CA ................................ Mort imminente .... mort imminente ......

Citation :

Cependant, ils étaient tous captivés et, quand le génie reposa ses iris sur la noble drapée d’une robe blanche, il se dit qu’ils avaient raté quelque chose, quelque part, tous les deux.

Bip ...bip .... Bi .................................................

Citation :

Sans doute était-ce même la seule chose d’honnête qu’ils eussent fait au cours de leur vie.

.............

Citation :

Elle commença à raconter des vérités ombragées par les branches touffues du mensonge. Ils avaient été « jeunes et insouciants », oui. Et bêtes. Et bornés.

Petit sourire en coin hihi

Citation :

Il s’en sortait magistralement bien, sans elle. Il avait presque atteint son but, et la reine Témérienne n’avait, de toute façon, aucune preuve tangible qui pouvait se dresser contre lui. Il s’amusait bien, avant qu’elle n’arrivât, à rivaliser de bons mots et de pirouettes à chacune de ses phrases. Désormais, son sourire moqueur et son air hautain avaient disparu. L’espionne avait ce pouvoir-là, celui de tout anéantir. Elle débarquait comme un ouragan et soufflait tout sur son passage. Elle avait toujours agi ainsi, avec lui.

Il s'amusait bien. Ahah j'aime troooop Aiden ! ^^ J'aime aussi comme il passe d'une émotion à l'autre quand Juliet est dans les parages. J'imagine tellement bien son petit sourire et dès qu'elle ouvre la bouche, le sourire s'efface pour laisser place à un regard dur et stupéfait. Genre "Maissss Julietttteeeeeuuuuhhhhh" x)
Et oui, la fin c'est exactement ça. L'ouragan de sa vie. Parfait Lélé, parfait *marion vénère son dieu*

Citation :

« Aiden Ruthendell est un homme lâche. » Et ça sonnait tellement plus vrai, dans sa bouche.

Citation :

Ingrats, abrutis, morveux. Il ne leur accorda même pas un regard, assis sur sa chaise, figé, entravé par des menottes. Il avait les yeux rivés sur Juliet. Il guettait la moindre faille qui pourrait lui permettre de s’en sortir.

Je me représente telllleeement la scène ! Je regarde un film là *-*

Citation :

Déçue, désappointée, désespérée : elle conquérait tout le monde par son émotion.

Citation :

Connivence ; elle lui lança l’un de ses fameux sourires complices. Il ne s’y fiait plus depuis longtemps. Ces rictus l’avaient aussi bien rassuré que compromis. Il pinça les lèvres. Il détestait qu’elle fût là.

Mooooohhhhhhhhhhhhhhhhhh, j'ai juste envie de l'embrasser x) Plus il détestera Juliet, plus elle l'aimera. Il est trop adorable x) Là je sens que Marianne me prend pour une folle à aimer autant Aiden. Et les autres aussi sûrement (Bel me méprise avec son regard tueur et Clémence se gratte le crâne à essayer de trouver une raison à ma dévotion insensée) Mais je m'en fou !! Aiden est sublime les expiées, rendez-vous en compte ! *-*

Citation :

lle s’amusait à exécuter des sauts périlleux sur un fil trop mince, et même le meilleur des funambules ne pouvait se prétendre à l’abri d’une chute.

Héhé oui !

Citation :

Cette condition pourrait le sauver. Sa vie tenait à un si, à une pauvre conjonction. C'était mauvais et déplorable.

Nice ;)

Citation :

[...] Il ne s'appartient pas lui-même... » Les yeux de Juliet glissèrent jusqu’à lui. Elle avait l’air de tellement bien comprendre ce qu’elle n’avait jamais compris, ce qu’elle n’avait jamais pu imaginer, ni même concevoir. Elle n’avait jamais quitté Vivendale. Elle s’était offerte abusivement à la ville lorsqu’elle avait accepté de servir les Trois. Il l’avait fait, lui aussi. Mais il l’avait fait… parce qu’il voulait tenter ?

Je savais que t'allais faire quelque chose pour cette réplique de Juliet :p
J'adore ce que tu écris .. tout est parfait

Citation :

De voir si le sédentarisme lui convenait, d’arrêter de fuir, de connaître vraiment des gens, de travailler pour quelqu’un d’autre. Tout avait été un échec. Chaque point avait été un échec. Nomade, pour toujours, était sa race, la fuite l’avait suivi à la trace, ceux qu’il avait connus, un peu, l’avaient trop souvent dégoûté, le travail pour le Haut-Gouvernement l’avait dénaturé – ou du moins lui avait fait perdre ce contrôle qu’il exerçait sur ces pulsions qui l’écœuraient et le fascinaient. Vivendale l’avait dépucelé du Monde et de l’Humanité.

Quelles jolies rimes... j'aime encore plus ce texte, si c'est possible :3

Citation :

Peut-être que Juliet avait compris cela, que la justice n’existait pas. Peut-être ; et donc elle avait décidé de ne pas s’y tremper. « Je ne lui cherche pas d'excuse, je ne le défends pas. Je vous ai dit que j'apporterai des faits et serai neutre, c'est ce que je fais, c'est ce que je suis. » Mais dès qu’elle se remit à parler, il hésita à nouveau. Il ne savait pas. Il détestait ne pas savoir. Et elle le savait bien. Oh, qu’elle devait jouir de l’instant, qu’elle devait s’amuser de le voir si désemparé… Plus il y pensait, plus il s’en voyait agacé.

JE SUIS TROP HYSTERIQUE A CET INSTANT ....... HAWWWWWWWWWWW COMME C'EST BIENNNNNN HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH AHHHHHHHHHHHHHHHHH MOUHAHAHAHHAHAHHA J'AIME J'AIME J'AIME !!!!

Citation :

Elle ne savait rien. Elle ne savait rien, rien du monde, rien de la vie ou de la mort, rien de lui, et elle osait parler ?! Elle osait prendre la parole à propos de choses dont elle ignorait tout ? Il n’avait pas fait que se sauver lui-même. Non, il l’avait sauvée elle, aussi. Mais c’était bien Juliet, la véritable Juliet, qui parlait à ce moment. C’était la femme qui ne comprenait pas ses résistances et qui les exécrait, la femme qui aurait préféré mourir que de le voir agir à contre-courant du désir des Trois. C’était la marionnette qui revenait… La marionnette étrange, inquiétante, avec ses grands iris bruns et son être tout de bois, son être sans raison. La marionnette figurait la main des Trois. Elle s’abattait et elle prenait ce qu’ils désiraient. Et ils voulaient sa mort, à lui, tout comme la Témérienne.

MAIS C'EST SUBLIME !!!!!!!!! SUUBLLLIMEEEE !!!!

Citation :

« Alors si vous voulez le punir Reine Témérienne, le seul moyen est de lui ôter la vie. » Il releva vivement la tête et la fusilla du regard.

Citation :

Ils allaient se battre. C’était cela : elle venait de lancer un combat à mort. Quelques minutes plus tôt, il envisageait son décès comme une délivrance mais, déjà, l’instinct reprenait le dessus.

Respire marion, respire !!!!

Citation :

La mort, c’était tant de mystères, de non-dits et d’inconnus que cela l’effrayait. Il ne pouvait s’en empêcher. Il avait peur de mourir, peut-être plus que de découvrir ce qui se trouvait de l’autre côté du miroir. La curiosité affrontait la crainte durant la joute d’une vie, qui s’achèverait sans que l’une ou l’autre ne l’emportât. Elle se clôturerait sur la décision arbitraire de la Mort, qui viendrait tendre sa main sur l’homme pour l’arracher à la terre et l’amener dans son antre. Il serra le poing. Si seulement elle avait été plus près… Il lui aurait décroché la mâchoire pour qu’elle se taise enfin.

Oh mon dieu XDXD

Citation :

Cependant, rien ne l’arrêtait ; pire, tout l’encourageait à continuer.

Je me marre tellement Léa XDDDD

Citation :

Il eut envie de laisser éclater un rire sombre et sardonique, mais le retint à temps – il aurait joué en sa défaveur, de cela il était certain, car il avait réellement valsé avec l’insolence, comme toujours. Quelle salope ! Jusqu’où ira-t-elle dans son mensonge ?

J'en peux plus !!!! XD Ohlala c'est trop trop bien XD

Citation :

Traîtresse ! Et pourtant, pourtant, il ne put retenir un sourire.

J'AIME JAIDEN !!!!!!! O-O

Citation :

Mais un sourire noir, noir de haine, un sourire qui la jugeait et la méprisait. Encore plus que lui, elle méritait sa place au procès, sur cette chaise à l’assise dure et inconfortable, accablée des regards répugnés et vindicatifs. Elle était le véritable monstre de l’histoire. Elle les manipulait sans qu’aucun ne doutât de sa bonne foi. Pauvre petite noble éconduite, qui avait dû se retrouver pantoise face aux atrocités dont le génie était capable. S’ils avaient su… s’ils avaient su.

Mais je les aime encore plus comme ça !! Haaaaaaaan ils sont vraiment géniaux ...
Mais si ça avait été le procès de Juliet, Aiden aurait été mal dans le fond. Faudrait que Juliet ait un procès par sa faute, comme ça il s'en voudra d'avoir eut de telles pensées ! Misérable, respecte ta femelle ! *coup de fouet*

Citation :

Sur ce point, Juliet connaissait parfaitement Aiden. Elle en avait fait les frais. Il s’avérait que l’expression « sans foi ni loi » lui seyait à la lettre. Il ne jurait fidélité à rien et à personne. On ne pouvait le retenir que par les chaînes et les cages. Rien d’autre ne le faisait plier. Rien d’autre.

Beau Lélé ! :p

Citation :

Il maniait les mots aussi bien pour convaincre que pour persuader. Ils constituaient son armure et ses armes les plus précieuses. Mais, dans ce cas, pourquoi avoir échoué à en user auprès du Haut-Gouvernement ? Pourquoi ne s’en était-il pas sorti ? Il aurait pu... sûrement.

Ouhhhhh grosse question dis donc ! *mains jointes, comme quand les méchants des films préparent un mauvais coup* gniaaagniaaarkk

Citation :

Juliet aussi jouait avec les opportunités qu’offrait la langue. A cause de cela, pour le génie, elle était une ennemie redoutable et une alliée adorable.

Noooon Léa, tueuse va ! ... Haawww mais vous me verriez .. A demi-morte sur mon lit, la tête en arrière, les bras étalés comme des marshmallows cramés, le coeur trop vite et trop lent à la fois... ALLIEE ADORABLE. Vous avez lu ça ???? Alliée adorable !!!!!!!

Citation :

Ses yeux coulèrent sur la foule. Le génie maintenait les siens sur elle. Elle parlait de justice… Ce mot n’avait aucun sens dans sa bouche. Elle avait appris ce qu’il signifiait, mais le concept, dans son esprit, restait vide. Elle n'avait même pas cet idéal illusoire que chacun partageait. Ce n’était qu’un mot.

*rajuste ses lunettes* tout à fait, tout à fait

Citation :

Elle aussi pouvait omettre la vérité lorsqu’elle le jugeait nécessaire. Un rictus moqueur et amer déchira les lèvres du jeune homme. Quelle connasse…

Il est vulgaire avec elle c'est fou ! Mais c'est très bien xD

Citation :

Il sentit des centaines de paires d’yeux virevolter jusqu’à lui et demeurer, pesantes. Des chuchotements lui parvenaient, sans qu’il pût en comprendre le sens. Sûrement s’étonnait-on que le génie eût un cœur et fût capable d’éprouver des sentiments. Il était donc humain ? Mais quelle nouvelle… Quelle bande d’idiots. Il n’avait jamais été rien d’autre qu’un homme, un homme aussi torturé par sa condition que les autres. Simplement, la torture et les instruments se différenciaient des leurs.

Ce paragraphe est juste parfait ! C'est très bien écrit, une scène trèèèss réaliste *-* Je suis dans la foule là, je juge Aiden et Juliet. (Je les trouve très beaux hihi) Et je réalise qu'Aiden n'est pas si monstrueux que ça. Une part d'humanité, je le redécouvre. Les mots de l'espionne font leur effet. Je m'attache à eux, les amants maudis de la Tour. Finalement, ils ont une histoire comme celles des livres. "Katharinaaaa, on l'épargne ? On le laisse retourner à son amoureuuuuse ?" (a)

(parfois je me dis que je suis vraiment pas claire dans ma tête ..)

Ouhouh j'arrive bientôt aux répliques de grand Aiden !!! Hiiiiiiiiii !!!!

Citation :

Garantir sa sécurité ? Il avait juste cédé à ses caprices de gamine perdue et défoncée à l’endoctrinement.

Comme il lui en veut ! Ca me serre le coeur :(

Citation :

Une robe blanche soulignait ses courbes comme pour insister sur son ingénuité et son innocence, sur son rôle de femme abusée, trompée et désillusionnée. Une cape pourpre masquait ses épaules : il fallait s’attarder sur cela. La couleur se rapprochait trop de celle du sang. Et Aiden ne voyait que ça : la pureté de la jeune fille bafouée par le mal qu’elle avait répandu.

J'étais SURE ET CERTAINE que tu dirais un truc du genre ! (héhé indices dans tout le rp) ^^

Citation :

Elle avait fini. Il se leva d’un bond, ce qui renvoya sa chaise en arrière ; elle racla le sol dans un bruit qui résonna contre les murs du temple. Pensait-elle s'en sortir ainsi ? Elle se trompait.

Hooooooooooooooooo mon dieu je suis euphoriqueeeeeeeeeeeee !!!!! AIDEN DEFEND TOI MON AMOUR !!!!!!! Vas-y défonce les tous !!! Mais cette violence est juste parfaite pour son grand retour. Boomerang ! Bim dans vos tronche bande de crapauds déguelasse, reine débile et endoctrinée frustrée !!! Aiden le beau gosse se révolte !!!!!!!!!!!

Citation :

Un silence presque religieux s'était abattu sur le rassemblement.

Ils sont deg. Soumis à la présence divine du Dieu de l'estrade.. Taisez-vous, écoutez bande d'incapables

Je pleure d'hystériiiiieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee Oh Léa tu me tues !!!!!!!

Je suis vraiment vraiment comme ça ...

Spoiler:

Je vais mettre des gifs, ça parle mieux que les mots. JE METS DES GIFS BORDEL JE FAIS CE QUE JE VEUX AHHHHHHHHHHHH JE VAIS TUER QUELQU'UN !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! JE SUIS A VIF LAAAAAAAA BOUHOUUUU QU'EST CE QUE VOUS ME FAITES ......... !!!!!!!!!!!!!!!

Citation :

« Ravi de vous revoir, Mademoiselle Perkins, après tout ce temps. »

Citation :

Il la toisa : elle n'ignorait pas de quoi il parlait. Elle n'avait pas donné signe de vie durant des semaines, et tel était le moment qu'elle choisissait pour se manifester ? Elle n'aurait pas pu trouver pire.

Citation :

« Je vous remercie pour cette longue, périlleuse et si émouvante prise de parole. Que de beaux mots... J'espère que tout le monde a su profiter du spectacle ! »

Citation :

Un sourire narquois se dessina sur ses lèvres, tandis que tous posaient sur lui des yeux méfiants et menaçants. « Pourquoi est-ce que je parle d'un spectacle ? » Il planta son regard dans celui de Juliet. Il ne pouvait pas se permettre de jouer sa vie : ç'aurait été stupide. Cependant, il pouvait l'envoyer, elle, et les Trois aussi, loin de ce procès. « Cette mise en scène ne choque-t-elle donc que moi ? » Ses iris glissèrent sur la masse humaine, en quête d'une réponse. Mais rien ne vint. Logique. Elle s'était montrée convaincante. A son tour, maintenant.

Citation :

« En théorie, je pourrais m'arrêter ici, mais je sais bien que je suis si vil, si méchant, et si affreux qu'il en faut plus pour vous convaincre. » Comme il parlait, il mettait le ton et ponctuait ses propos de gestes ou de mimiques assortis. Il était outrageusement indécent. Et il s'en fichait, il s'en fichait...

Comment il sait pas se faire aimer de la foule xD Ca me tue cette désinvolture x) Juliet se masse les tempes en souriant et le traitant d'idiot charmant

Citation :

« Cette jeunesse insouciante m'a certainement conduit jusqu'ici. Mais, contrairement à Mademoiselle Perkins, je n'inculperai pas ma faiblesse. Ce n'est pas elle qui m'a fait rester. Ma lâcheté, oui, mais je ne crois pas que ce soit une faiblesse. Simplement, peut-être, une réaction différente à la crainte ? Il y a ceux qui fuient et ceux qui combattent. Je ne pense pas que les uns soient plus faibles que les autres. La biche est-elle plus faible que le loup ? Non, ils répondent tout simplement, tous les deux, à un ordre naturel. C'est leur nature, de fuir ou de chasser, et ils ne peuvent rien y changer. Bref, je fais partie des premiers, des petites biches toutes mignonnes qui détalent dans les bois. »

Citation :

« A votre compagnie... » Il désigna l'assemblée d'un geste vaste. « ... je préfère celle des machines, des plans et des crayons. Navré. Comme l'a dit Juliet, je réfléchis. Du moins, j'essaye : ça n'est pas toujours simple. Le cerveau connaît ses petits caprices. Mais j'essaye et, pour cela, vous m'appelez « homme d'esprit ». Quel beau mot ! Qu'est-ce que cela signifie, Juliet ? » Il se tourna vers elle, un grand sourire aux lèvres. Les Nobles présents devaient s'horrifier de la familiarité dont il usait à l'égard de la jeune femme. Ils s'offusquaient parce qu'ils ne l'avaient pas démasquée. Elle était plus monstrueuse que lui.

J'adoreeee j'adore j'adoreeeeeeeee !!!!!

Citation :

« Juste que je ne suis pas un « homme d'action » ? Je dirais plutôt que je suis un homme dans son esprit. Je m'y retire pour ne plus voir cette agitation dont vous faites tous preuve. Un peu de calme, s'il-vous-plaît ! » ajouta-t-il avec sarcasme

Obéissez, chiens !!

Citation :

Il pouvait faire preuve d'un recul déconcertant sur lui-même. Bien évidemment, des heures en tête à tête avec lui-même avaient pu l'aider à se cerner mieux que quiconque. Pourtant, il éprouvait toujours ce sentiment frustrant de ne pas pouvoir se décrire dans les moindres détails. Lorsqu'il y songeait, il finissait toujours par se dire qu'il n'aurait probablement pas voulu savoir ce qui se cachait dans les zones d'ombre de son âme et que, si jamais il en avait envie, il avait encore plus de la moitié d'une vie devant lui.

Aiden ... <3 coeur coeur !

Citation :

Malgré la répulsion, parfois la colère, qui pouvait émaner de la population, chacun était pendu aux lèvres de l'Inventeur. Il disposait de cet étrange charisme, hypnotique, qui, dès qu'il ouvrait la bouche, l'auréolait.

Citation :

« Effectivement, le retrait et tout ce qui s'ensuit, ça doit prouver que je meurs d'envie de vivre encore – sans mauvais jeu de mots. »

Citation :

« De ce fait, cette charmante demoiselle qui, fut un temps, a partagé mes nuits, propose de me tuer. Voyez comme l'amour et la haine s'affrontent sans pouvoir parvenir à une solution ! Elle vante mes qualités, propulsent mes défauts sur l'avant de la scène, éclaire tour à tour mes mérites et mes méfaits... Mademoiselle Perkins se perd. Elle ne propose pas des faits – a-t-on seulement entendu une date ? –, elle expose son ressenti. Et le ressenti, c'est tellement subjectif... » Il s'empêcha d'ajouter : un truc de femmes, pour agacer Juliet, parce qu'il aurait aussi irrité la Témérienne.

J'adorrrrrrrrrrreee putainnnnn !!!!

Citation :

« Je vous crois moins bête qu'elle ne le pense : vous aviez bien remarqué, que je me fichais des convenances. » Il haussa les épaules. « Ce ne sont que des conventions. Elles me gênent pour mener à bien ma défense, alors je préfère en faire fi... Je pense que c'est une décision plutôt raisonnable, que chacun aurait su prendre. Si vous souhaitez désigner ça comme de l'insolence, soit : je ne peux pas vous en tenir rigueur. » Mais je m'en contrefous.

Héhé, ils se battent un peu pour conquérir Katharina. Alors qu'ils sont un peu dans la "même équipe" ahlala ces deux, on pourra jamais les raisonner x)

Citation :

Véritable message qu'il ne ferait que sous-entendre. C'était là leur avantage, aux sous-entendus : dire sans dénoncer, crier sans même avoir besoin de murmurer. Aiden en jouait souvent. Il endossait régulièrement ce rôle d'illusionniste que son amante lui prêtait. Il aimait rire des autres et s'amuser avec leurs esprits, en leur adressant des propos troubles et obliques. D'aussi loin qu'il se souvînt, il avait toujours été ainsi ; et la Témérienne ne pourrait rien y changer. Elle était impuissante, sur ce territoire spirituel qu'était le sien. Elle ne l'atteindrait pas. Elle ne le ferait pas plier ; pas une fois de plus. Même Juliet, celle que l'on voulait bien croire, l'avait confirmé.

Tu écris tellement bien doublette ... je suis sous le charme de tes mots *-*

Citation :

« Et après m'avoir offert à la mort, pointé du doigt comme un être orgueilleux, manipulateur et gorgé d'insolence, elle me renvoie au rôle de héros. J'ai « garanti sa sécurité ». Un peu plus et j'arrivais sur mon cheval blanc ! »

Citation :

Il jeta un coup d’œil à la fois méprisant et espiègle à l'espionne. « Elle me fait apparaître comme un héros tourmenté, torturé, maudit. C'est ridicule. » trancha-t-il. Sa tête pivota pour faire face au visage témérien, tandis qu'il désignait la traîtresse de ses mains jointes. « La voyez-vous chanceler ? Elle ne sait plus quoi penser. Et pour une fois, je peux vous promettre que cette hésitation n'est pas de mon fait. Car, si j'ai jamais été sincère, c'est avec elle. Quoi de plus sincère que l'amour et que la haine ? Les deux apportent des pulsions qu'on ne peut réprimer, et elles sont l'expression concrète de notre sincérité. » Une fois de plus, il revint à Juliet, et ses iris scrutèrent les siens. C'était étrange, cette alchimie qui existait entre eux. Ils ne se touchaient pas, ne se parlaient pas directement, et pourtant, tout se passait entre eux. C'était des jeux de regards, comme le chatoiement du soleil sur l'eau, qui révélaient les profonds secrets tout en les dissimulant à coup d'éclats.

LEAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA

Citation :

« Si j'ai été surpris de la voir... » poursuivit-il sans quitter la belle des yeux. « ... c'est parce que je l'ai rayée de ma vie. » Vérité ? Non. Il aurait adoré pouvoir chasser Juliet de ses pensées, mais il n'y parvenait pas. Quoi qu'il fît, elle revenait le hanter. Néanmoins, il avait déclaré cela avec un aplomb amplement suffisant pour que ce fût crédible. Il en avait si souvent rêvé que la situation avait acquis quelque chose... de réel. « Je ne suis pas fait pour aimer ou haïr à un tel degré. » Comme ses mains restaient liées par la corde, il roula des épaules pour rajuster sa chemise en toile, puis refit face à Katharina. Il précisa : « Ça me distrait. Je n'ai pas le temps. Alors je me suis évertué à n'éprouver que de l'indifférence envers elle. »

Citation :

Il ne mentait pas réellement. Tout ce qu'il disait comportait une part de vérité. Il n'était pas comme Juliet. Il avait conservé une bribe de leurs élans de jeunesse, qui les saisissaient lorsqu'ils se trouvaient face à face. Avec le temps, elle était parvenue à tout conserver sous clé, tous ses secrets, tandis que lui avait choisi la voie de l'exagération et du mystère... parce qu'il ne pouvait pas tout garder à l'intérieur. Il mettait ses émotions en scène. Elles étaient présentes, mais il les couvrait d'artifices, pour qu'on les devina le moins possible. Cela le soulageait et le frustrait à la fois. Il déversait ; mais son amante n'était qu'un barrage. Rien ne l'atteignait, aucun mot, aucun raisonnement... Il n'y avait plus que la douleur. Et la destruction. Il pouvait la détruire. Il allait le faire. A moitié ; pour que l'agonie perdure.

Citation :

« Je ne peux pas cacher que la voir ici me trouble. Il y a peut-être encore quelques résidus... des souvenirs, sûrement. Mais je suppose que c'était votre but. Craqueler la surface. Découvrir l'homme. Pourtant, je n'ai jamais prétendu être autre chose qu'un homme, Katharina. Vous avez l'homme devant vous. Je ne suis pas plus indifférent qu'un autre. » Il la toisa. « Vous croiriez une femme qui ne raisonne pas et qui n'écoute que son cœur ? Sur ses dires, vous condamneriez un homme ? Vous condamneriez un homme pour fourberie et peine de cœur ? Parce que c'est tout ce qu'elle a dit, finalement. Elle n'a fait, sinon, que confirmer ce que j'avais déjà énoncé ; que je travaillais pour les Trois, que j'avais cru bien faire, puis que j'y avais été forcé, que je me ris des autres et de leur étiquette... Elle ne nous a rien prouvé. » Il s'arrêta un court instant. « Tout ça n'est qu'un vaste règlement de compte. »

Ohhh comme elle bouillonne la Juju xD

Citation :

« Juliet n'est qu'une envoyée. Une porte-parole. Pourquoi elle ? Parce que c'est tellement plus simple de prendre les gens par les sentiments ! On vous aurait envoyé un quadragénaire qui aurait déblatéré des âneries et vomit sa rancœur, vous n'auriez pas écouté d'une oreille si fine. Mais Juliet est une belle femme, qui a vécu une tragique histoire avec l'accusé, et qui de surcroît sait se donner l'air peiné et innocent. Elle n'est pas peinée. Elle sert des intérêts. Elle n'est pas innocente. Elle vous manipule. Peut-être que j'essaie moi-même, mais j'ai au moins l'honnêteté de me présenter sous un masque proche de la réalité. Elle, non. »

Voilà elle est énervée, bravo ! Bravo bravo *applaudit fort d'un air méprisant* ah oui oui je te félicite Aiden, en plus de te plomber tu plombes ta copine, sympa, sympa. On retient tout ça, tu vas voir..

Ce rp va durer trop longtemps xD

Citation :

color=#339999]« Elle vous berne, elle vous leurre, elle vous trompe ; tous, tous autant que vous êtes. Mais même si c'est le cas, vous êtes tellement plus enclins à la croire... Bien habillée, de haute naissance, fraîche d'ingénuité... Pourquoi mentirait-elle ? Hum. »[/color]

Citation :

« Vous voulez la vérité ? Elle vous ment. Elle n'est là que pour ses pairs. Je suppose qu'elle a déjà prêté allégeance à votre règne et fait serment à vos Dieux ? » Un rictus narquois tira ses lèvres. « Vous y croyez, reine témérienne ? Vous pensez vraiment qu'ils sont tous prêts à abandonner leurs terres, leurs demeures, leur religion, leur mode de vie, pour vous ? Vous qui libérez les esclaves, vous qui abolissez les privilèges, vous qui jugez les criminels jusqu'alors si bien lotis ? » Il secoua doucement la tête. « Vous savez ce que je crois ? Je crois qu'ils ont encore plus peur de vous que des Trois. Alors ils préfèrent vous mentir, vous couvrir de belles paroles, pour mieux vous assassiner par derrière. Vous êtes chez eux. Et de ce que j'ai vu, les Vivendalais sont aussi fiers qu'entêtés. Ils n'abandonneront pas. La plupart va se battre pour récupérer cette cité. Et la bataille commence dès lors qu'ils vous mentent sur autre chose que votre beauté, votre intelligence... bref, dès lors qu'ils vous mentent, vraiment, et qu'ils cessent de vous amadouer avec leur hypocrisie de bienséance. »

Maissssssssss Aiden !!! xD Tu te défends pas du tout là, t'accuses tous les autres par contre, c'est pas très sympa x)


(je suis dans la tornade des gifs, sorry)

Citation :

« Juliet mérite cent fois plus sa place ici, sur cette chaise miteuse, que moi. Elle, et tous ses amis qui vous trahiront. »

Citation :

« Ce n'est pas qu'une défense que j'établis-là, Katharina. C'est une mise en garde. » Et, pour la première fois depuis le début du procès, c'était sûrement la plus saisissante des lueurs d'honnêteté qui venait d'illuminer son regard vert, l'espace d'un battement d'horloge.

Ouhhhh joli ! :p

Citation :

« Tous, ils voudront vous poignarder, lorsque vous dormirez. Juliet la première... »

Maissssssssssssssssssssssssssss !! xD
C'est pas vrai Kat, jamaissssssssssss ne l'écouteee pas !!!! C'est qu'un baratineur ! Juliet ne ferait jamais ça (a)
Nan mais Aiden putain ! xD Il plombe Juliet, si Katharina lui accorde du crédit et finit par découvrir (elle pourra pas, y'a pas de preuve .. mais bon) que Juliet est espionne pour les Trois, c'est pas un procès qu'elle va avoir, c'est direct au bûcher !

Citation :

Juliet avait dévoilé un homme qu'il cachait plus ou moins. Il leur révélait une part de sa véritable personnalité ; celle qui trompait, se glissait dans des rôles, avait des idées arrêtées. Celle que la vue de la reine révulsait. Il ne pouvait pas la déclarer alliée des Trois, mais il pouvait utiliser son statut de noble pour la démolir, la briser, l'écarteler – pour tous les ramener à la poussière ; cette poussière d'or et d'argent qui les caractérisait si bien. Il ne voulait plus que Juliet eût toutes les chances de s'en sortir. Non, qu'elle crève, la garce.

Citation :

Elle l'avait trahi, une fois de plus, alors qu'elle aurait pu sauver quelque chose. Elle aurait pu sauver les restes. Mais elle n'en avait rien fait : elle avait préféré reprendre ce jeu malsain qui torturait leurs âmes depuis si longtemps. Il ne l'épargnerait pas. Elle devait souffrir, encore une fois. Elle ne comprenait que cela. Et, en même temps qu'elle intégrait le message, il savait qu'elle nourrissait une ire vieille de plusieurs années, une ire qui reviendrait s'abattre sur eux. Parce qu'ils étaient comme ça : un coup, un rendu, un autre, et ainsi de suite. Ils s'aimaient : c'était insupportable.

Citation :

Ce sentiment venait-il d'eux, ou leur avait-il été inspiré ? Les Trois n'appréciaient guère leur relation. Jason s'en accommodait parce qu'il s'agissait d'une corde sensible qu'il pouvait faire jouer. Alan grinçait des dents dès lors qu'il les apercevait ensemble, parce que lui aussi convoitait la belle espionne. Julianne craignait que cet amour destructeur ne détourna Juliet de ses vrais buts. Destructeur... Ils l'avaient rendu ainsi, le trio. Et s'ils s'étaient rencontrés ailleurs, à un autre moment, parmi d'autres gens ? Tout aurait été différent. Peut-être ne se serait-il rien passé ? Mais si quelque chose était advenu... Oh, ils se seraient aimés sans mensonge et sans tuerie, sans songe et sans accalmie. Plus que tout ; et il n'y aurait eu qu'eux, eux deux. Et puis, plus tard, des enfants ? Un bonheur doux, simple, pur... le bonheur.

Léa. Non. Non. Tu peux pas .... Nan c'est dégueulasse.

Citation :

Non. Non ; parce qu'ils se seraient heurtés à un mur. Ce mur, c'était leur nature réelle et enfouie. Juliet et Aiden étaient deux monstres. C'était leur condition : ils ne pouvaient y échapper. Peu importaient les circonstances et les présences : elles ne changeaient rien. Ils se seraient entre-tués chaque jour, pour mieux s'aimer le lendemain. Il n'y avait pas d'issue, il n'y en avait jamais eu. Aiden devait passer à autre chose... il le voulait. Oublier, quel doux rêve... Rien qu'une illusion de plus.

Oh putain. Morte de morte.

...

La fin est juste magnifique.

Citation :

es pupilles volèrent jusqu'à la reine-enfant. « Je sais que je vous irrite, Katharina. Il paraît que j'ai cet effet sur la plupart des gens. » Un vague sourire éclaira son visage assombri par ses pensées. « Je sais que vous agacer ne joue bien évidemment pas en ma faveur. C'est évident. Quiconque à votre place aurait probablement déjà fait trancher ma nuque. »

Citation :

« Et la personne qui décide de cet avenir, c'est vous. » Il scruta ses prunelles de glace. Impossible de savoir à quoi elle pensait, et il n'était pas certain de vouloir entendre les phrases qui circulaient dans son esprit. « C'est ce qui est terrible, avec cette volonté de faire la justice. Vous ne pouvez pas connaître l'impact de vos décisions avant qu'elles ne se transforment en actions. Vous ne pouvez presque jamais être certaine d'avoir fait le bon choix. »

Citation :

« J'établis une défense, mais finalement c'est inutile. Qu'est-ce que ça change ? Vous avez déjà votre idée sur moi, vous n'avez aucune preuve et aucun besoin d'en avoir, vous n'allez jamais pouvoir trouver tous les Nobles qui veulent s'en prendre à vous... Il n'y a pas de justice, Katharina. Seulement du hasard... et vous n'êtes, ici et maintenant, que la reine de ce hasard. »

Lecture finie.
Lecture finie bordel.

NOOOOOOOOOOOOOOOOON ENCOREEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE

... résultat ....



.....



Tout est dit.

Léa, Jaiden c'est ma drogue. Tes mots, c'est addictif, mortels et hypnotiques. J'Adorrrrrrrre tellement tellement ... *-* Ohlala je vais rêver d'eux pendant des semaines après ça. ♥

Un putain de message ma Lélé ! ♥_♥

Reine du post le plus long détrôné haut la main ! Même sans les paroles de Juliet t'as largement les 6000-7000 mots ! Vénération totale là.

Du coup je vais aller sur la cb pour te vénérer un p'tit peu plus, encore plus, pour ta santé mentale ! ♥♥♥♥

Parce qu'on ne laisse pas Bébé toute seule dans un coin, on n'oublie pas de citer du CDA

En fait Léa m'annonçait gentiment que ce rp allait me faire tourner en bourrique avec le plus gros fail du monde. Non plus sérieusement, j'ai beaucoup aimé ce premier paragraphe avec cette répétition du "Génie, petit génie, homme, petit homme", une sorte de moralité auprès d'Aiden qui a délaissé la morale et s'est perdu en chemin. Oh c'est beau ce que je dis, mais pas autant que ce que tu écris

Citation :

Regard ce cercle infernal qui se dessine autour de toi et qui tourne, tourne, tourne.

Je vous emmerde ! Isabelle vous emmerde !

Citation :

Et en ce qui concernait Isabelle, il n'osait même pas avoir de doute.

Mais ce qu'il dit ça me tente quand même vachement, en fait Aiden il est aussi sulfureux que le miel, et moi comme un stupide insecte avide de plaisir culinaire je me précipite et je finis prise au piège

Citation :

Elle vacillerait, et il serait là pour la réceptionner, pour boire ses mots.

Parce que je ne trouve jamais rien de plus beau que lorsque l'on peint les liens, la prison, les limites d'un personnage

Citation :

Il n'était pas libre. Il était entravé. Il était esclave. Esclave de sa condition, de ses conditions ; esclave de sa place d'Inventeur, esclave de son rôle d'amant, esclave de son statut de fugitif. Elle pouvait se rire de lui.

Déjà PARCE QUE opium c'est la base, non mais sérieusement j'adore ! Il lève un sourcil, Isabelle a enfin réussi à faire réagir ce bougre d'âne ! Puis surtout Léa m'a tué, elle est en pleine description et en mode normale elle t'insère une analyse scientifique, ni vue ni connue XD Et le "en plus de" est tellement hilarant, tu sens la modestie de Léa à l'encontre de sa création Aiden

Citation :

Elle tenait, au creux de ses mains, un petit sachet à la teinte violette, dans lequel elle avait glissé son nez. Sa coupe contre le bord de sa bouche, il leva un sourcil. Quand elle se redressa, leurs regards se croisèrent et il vit ses pupilles dilatées. Le scientifique, en plus d'avoir des connaissances assez solides sur les poisons, savait quelques choses sur les drogues. Au cours de son itinérance, il avait côtoyé des peuples aux cultures extrêmement diverses, aux coutumes variées et aux codes différents. Certains faisaient grand usage des substances euphorisantes ;

Je ne saurais pas comment le décrire Léa, mais parfois tu as des phrases bouleversantes. Emplie de légèreté, mais à la fois lourde de sens, de conséquence, comme un présage... Non je ne consomme pas d'opium... Tout ça pour dire que j'ai particulièrement aimé la tournure de la première phrase. Elle ressort du texte

Citation :

Mais, après tout, la Terre entière est un lieu de dépravation. On joue sa vie sur n'importe quoi ; on ne pense pas aux conséquences des prises de risque.

PS : Puis bon sang tu as une forme de résignation dans tes propos ! Comme si tu annonçais une vérité universelle : "mais après tout". Et ça marque énormément mon esprit quand je lis, j'apprécie énormément quand des mots me percutent.

*-*
L'espace d'un instant tu as métamorphosé Isabelle en une maîtresse passionnelle, et dans ma tête je visualisais la légère et sulfureuse Clotilde de Marelle dans Bel-Ami.

Citation :

Elle descendit du lit, froissant les draps de ses minces mollets, bruit soyeux aux oreilles. Elle avança vers l'artiste, langoureuse. Il sentait le désir qui la poussait à se mouvoir. Elle cédait, au fond d'elle-même, à ce qu'il dégageait, à ce qu'il était. Et il ne put s'empêcher de sourire : c'était un premier pas vers la vérité. Agenouillée devant lui, elle glissa la poudre dans sa bouche. Explosion de sensations, explosion de bêtises.

BORDEL LEA TU PRENDS ISABELLE POUR UN BATEAU ! TU NE FAIS QUE DE FAIRE DES METAPHORES  OU ELLE DEVIENT UN ESPECE DE PAQUEBOT DE LUXE XD

Les larmes me montent aux yeux, parce que je trouve cet scène sublime ! Le carmin et l'opaline... ces mots sont vraiment sublimes... et le vert opalin étant ma couleur préférée ce mot m'a ravie.

Citation :

Le carmin chassa l'opaline des joues de la belle. Il croisa ses yeux qui brûlaient de désir, et son cœur rata un battement. Il haussa les sourcils et inclina la tête sur le côté. « Isabelle... » - « ...prendre un risque ! » clama-t-elle.

CONNARD ! Léa t'es une horrible personne pour le pire fail du monde ! [Mais t'inquiète dans quelques lignes tu es la meilleure personne du monde pour le meilleur fail]

Citation :

« Tu cèdes déjà ? Je suis déçu. » A sa réplique il ajouta une petite moue qui mimait le désappointement.
Qu'elle devait s'en vouloir ! Tant pis pour elle. Qu'il se gaussait ! Oh, quelle stupide erreur, Isabelle. Il savait, dès lors, qu'elle était à lui. Il avait la main mise sur elle. Certaines dames n'hésitaient pas à jouer de leurs charmes pour faire pencher la balance en leur faveur et, sur ce point, Aiden leur ressemblait. Il avait parfaitement conscience qu'il était porteur d'un charisme exacerbé ; et il en usait, et la jeune femme en ferait les frais. « Je te pensais plus chaste, plus pure. » Il jeta un bref regard circulaire à la pièce, avant de reposer ses yeux sur elle, la trompeuse. « Qu'est-ce que tout cela ? » Ce fut à son tour de se pencher vers elle, un large sourire collé aux lèvres. « De la passion ? » Un rire roula dans sa gorge. Puis, il poussa sur ses jambes pour se relever. De toute sa hauteur, il la toisa, elle qu'il venait d'abattre, elle qui se tenait presque couchée sur le sol, écrasée par sa puissance. « On dirait que j'ai gagné. » souffla-t-il. Un dernier sourire puis, d'un pas nonchalant, il se dirigea vers la porte de la chambre et sortit. Pour ce soir, le jeu était terminé ; mais il recommencerait dès le lendemain. Ils étaient comme cela : à se chercher, à se rabaisser, à s'éclater, puis à se chercher de nouveau, plus avides encore de mystères, de résistances et de batailles. Ils étaient comme ça, et ils n'y pouvaient rien.

OMD mon coeur a toujours une ratée à ce passage. Magnifique

Citation :

Non. Tout cela, c'est ce qu'il aurait dû faire. C'est ce qu'il aurait fait, s'il avait été plus sobre, moins saisi par les flammes qu'éveillait leur discussion ; s'il avait moins pensé, tout le jour, à des choses qui l'ennuyaient. Il aurait dû agir de la sorte. Au lieu de quoi... Au lieu de quoi ?
Et si tu prenais quelques risques pour une fois... ? Oui. D'accord.

Sublime

Citation :

Voyager, c'était risquer de s'égarer. Fuir, c'était risquer de se perdre. Rester, c'était risquer de s'attacher. S'attacher, c'était risquer de mourir. Le destin l'avait doublé sur toute la ligne : s'il avait eu connaissance des risques, il les avait écartés d'un revers demain, les renvoyant à une insignifiance qui ne les caractérisait pas.

La réaction d'Aiden est magique, magnifique, incroyable. Ce relâchement, cet étonnement et cette tentation ça me wooowwww. Puis ça me fait tellement plaisir quand tu dis qu'il n'aurait pas parié sur Isabelle mais que finalement si elle s'impose, ça m'émeut.

Citation :

Et pourtant... il s'étonnait. Il n'aurait pas parié sur son audace, pas sur cette audace mue par des pulsions primaires, bestiales, des pulsions sexuelles qui ne demandaient qu'à être assouvies, au plus vite. Il n'aurait pas parié sur Isabelle. Il s'était amusé avec elle, il continuait à le faire, mais elle imposait sa présence et ce refus qui l'accompagnait. Il n'aurait pas juré qu'elle céderait, pas maintenant, pas déjà.
Il aurait dû arrêter tout ça. Mais non. Le génie se jouait des conventions, et la chasteté et la pudeur, ce n'étaient que des amas de conventions. Il les battrait en brèche, elles aussi ; il les réduirait à néant.

Pleurnichements niveau 1. Tes vérités générales sont grandioses

Citation :

Il voulait retourner aux choses simples, aux choses plaisantes, aux choses agréables. Le sexe en faisait partie. C'était l'abandon de tout, du corps comme de l'esprit ; l'abandon au bénéfice de l'autre et de sa jouissance.

Pleurnichements linéens niveau 2

Citation :

C'était simple : il la voulait. Ses lèvres cherchèrent encore les siennes, roulèrent jusque dans son cou. Il avait tant voyagé ; explorer le corps d'une femme de plus ne lui faisait pas peur. Les plaisirs charnels le côtoyaient depuis longtemps désormais. Il s'y était adonné jeune, perdu qu'il était, sans repères spatiaux, sans références de son âge, perdu dans le monde, dans un monde d'adultes.

Pleurnichements niveau 41874587415478487453 OMD JE NE RESPIRE PLUS, JE REPETE JE NE RESPIRE PLUS

Citation :

D'une impulsion, il la fit basculer vers l'arrière ; elle se retrouva acculée à un meuble. Détaché d'elle, il observa son visage, scruta ses iris clairs. Sa poitrine se soulevait rapidement, au rythme de sa respiration poussée par l'envie. Il revint vers elle, plus fougueux encore. Sa bouche retourna à la rencontre de la sienne, déjà lassée d'une absence trop courte, trop désireuse de mieux la connaître ; son goût, sa douceur, sa saveur. Lui tout entier voulait s'imprégner d'autre chose, et cet autre chose, c'était Isabelle. Sa proie, sa prédatrice, son reflet, son inverse.

Brillant. Une conclusion brillante, ces derniers mots sont parfaits.

Citation :

C'était cela : ils étaient comme ça, comme des aimants : repoussés, attirés, jamais satisfaits, jamais insatisfaits. Les deux parias de Vivendale, les deux monstres, les deux démons.

Merci Léa pour ce merveilleux post qui m'a chamboulée, oui j'ai envie de te dire merci. Merci d'avoir écrit, mais surtout d'avoir écrit pour moi, parce que tu écris sûrement pour toi et pour toutes nos expiées, mais ce post là je l'aime, je le garde dans mon coeur comme un immense cadeau alors merci. J'ai eu beaucoup de plaisir à le lire et j'en aurai toujours autant à le relire. ♥

Je n'ai qu'un dernier mot pour toi : OPIUM

Ok ok, d'abord le traité de paix et ensuite le post de Linou à Last Funeral ....

Clémence s'est surpassée avec sa Kathy !
3199 mots !! Et ces gifs !! *est fan*

Katharina a écrit:

Sous ses doigts, la pierre était froide. Elle portait les traces des décennies, battue par les vents, les pluies, les neiges même. Abîmée, ses imperfections avaient été forgé par les intempéries et les années. Elle était rugueuse, écorchée, elle était authentique.

Elle était rugueuse, écorchée, elle était authentique ... j'aime vraiment trop cette phrase ! *-* Clem, ça commence divinement bien !

Katharina a écrit:

Lentement, Katharina passa sa main dessus, savourant le toucher de cette pierre sous ses doigts, cette pierre... elle était sienne à présent. Nombreux furent ceux qui la possédèrent avant elle, et avec un peu de chance nombreux seront ceux qui la posséderaient une fois son règne achevé.

Je visualise trop Kath faire ça ! Expiasérie se construit tellement dans ma tête ! :o Faut qu'on fasse la série, c'est plus possible...
Et comme dirait Lucie "Katharina qui fait le tour du propriétaire" XD

Katharina a écrit:

Katharina n'avait pas l'appui de tout le peuple, elle avait et aurait toujours quelques détracteurs. Quelques nobles rancuniers, politiques mécontents et fanatiques horrifiés. Elle ne pouvait avoir le soutien de tous, mais elle avait celui de la majorité. Le peuple l'aimait, elle avait changé Vivendale.

J'aime les énumérations et celles-ci sont très bien placées ! :)

Katharina a écrit:

Les ombrageux, guerriers de l'ombre, mercenaires de la liberté.

Parfaite description résumée de la Guilde !

Katharina a écrit:

« Votre Majesté, ils sont là. » Enfin. Le moment était arrivé. Ils allaient choisir : soutenir sa légitimité au trône et goûter aux saveurs enivrantes de la paix ou bien s'accrocher à leurs armes usées par les années, continuer à se battre, et replonger leur cité dans un bain de peur et de sang. « Très bien. » dit-elle.

Katharina a écrit:

« J'aimerais que nous faisions la paix. » Elle tourna doucement la tête vers son conseiller qui, debout contre le mur, tenait dans sa main un parchemin roulé. Le fameux accord. Celui qui, peut être, serait signé par les ombrageux et scellerait la paix sur Vivendale. Dès qu'il croisa le regard de sa reine, l'homme s'avança vers elle et lui tendit son butin.

Tes descriptions sont vraiment de mieux en mieux, on s'imagine les gestes, des décors, les expressions faciles ! C'est super !

Katharina a écrit:

...commença-t-elle tout en déroulant avec précaution le parchemin maculé d'encre noire. Ses quelques lignes signifiaient beaucoup, mais, sans signatures à sa suite, elles n'achèveraient rien.

Katharina a écrit:

« Moi, Katharina, née souveraine de Téméran, Reine des Terres du Nord et de Vivendale, m'engage à qu'aucune poursuites ou représailles ne soient livrées envers les hommes et femmes qui faisaient partie de la Guilde; je m'engage à leur permettre de rentrer chez eux, de retourner auprès de leurs familles et de leurs amis, de retrouver leurs maisons, tout cela sous la sécurité de la Couronne. »

Je suis accrochée aux mots de cette Reine éloquente ! :o

Katharina a écrit:

« C'est complétement stu... » Encore inachevée, il ne pu finir sa phrase. « Comment vous appelez-vous ? » le coupa-t-elle. « William. »

L'intervention de Will !!! Je suis en amour avec ce perso !!!

Katharina a écrit:

« Vous qui prétendez connaître les nobles vous devriez savoir, qu'avec eux, le meilleur moyen de former une alliance est avec un mariage. » Le temps sembla s'arrêter un instant. Un mariage. La proposition semblait folle, sortie de nul part, mais pourtant elle était parfaitement censée et réfléchie. « Il s'avère même que j'ai une jeune femme prête à être mariée, il ne reste plus qu'un volontaire et l'alliance sera de mise. » Son regard se posa sur William et elle esquissa un léger sourire, le sourire d'une personne qui savait parfaitement ce qu'elle savait et qui ferait tout pour que personne n'entrave le chemin de ses ambitions. « Vous êtes d'ailleurs le candidat idéal. »

Et là Lara saute sur la chaise XD

Katharina a écrit:

« Alors ? » Soudain, l'un d'eux se leva de sa chaise. Katharina le reconnu aussitôt, Sebastian. Il avait été son allié dès le début, et elle savait qu'il accepterait ce traité. Tout ce qui voulait correspondait à ce qu'offrait ce pacte; la promesse d' une paix durable. « J'accepte »

Le James en moins a envie de le tabasser x)

SERENA VA EPOUSER WILL PUNAISE CA SE PASSE VRAIMENT.
Houlala c'est la cata.

Katharina a écrit:

Ses mots dits, elle emboîta le pas du soldat. Ce dernier marchait d'un pas rapide, pressé, comme si sa vie en dépendait, ou bien la vie d'un autre... Ils débarquèrent alors dans une petite chambre où, déjà, une dizaine de personnes était présente. C'étaient pour la plupart de ses soldats, et de ses dames de compagnies. Elle reconnue alors la chevelure rousse de Margaery, elle était agenouillée près du lit, tenant une main tremblante. « Que s'est-il passé ? » demanda-t-elle tout en s'approchant lentement. Le visage de la personne allongée se précisa au fur et à mesure qu'elle approchait; elle reconnue alors Eleusi. Fille d'Elia, comme elle, elle était une amie loyale et une servante fidèle. A présent l'Eleusi qu'elle avait connu n'était plus que l'ombre d'elle même. « Elle a été empoisonnée... » expliqua l'un des gardes.

J'ai cru que c'était Marga ! :o OUF ! Eleusi .. x) Shasha la meilleure x)
C'est vraiment trop cooool !

Katharina a écrit:

« Les mains jointent des deux opposés. Scelleront l'union d'un seul camp, Alors que la ville sera en pleine festivités, La paix s'installera, pour un temps seulement, Dans les tréfonds, l'ombre s’élèvera, Le poing levé vers les cieux, En colère contre les dieux, Le trône tant convoité elle voudra, Elu de l'Ombre, Traître des Cieux, Enfant des Cieux, Ennemi de l'Ombre, Du sang ils sont nés, Dans le sang ils s'affronteront, Car de la chair de la chair naîtra la mort... Celle de Vivendale, celle de ses hommes. » murmura-t-elle avec peine. Puis, lâchant la main de sa reine, son bras retomba lourdement sur les draps, vide, mort. Soudain son corps fut secoué de soubresauts violents, de convulsions. Aussitôt les gardes se précipitèrent sur elle et firent leur possible pour la maintenir la plus immobile possible. Choquée, Katharina se releva lentement, une main porté vers sa bouche, son regard ne pouvait se détacher du pauvre corps remuant violemment, comme si le corps tentait une opération de la dernière chance pour expulser le poison qui le consumait. Les convulsions s'arrêtèrent et le corps de la mourante s'apaisa; du sang coulait de son nez, du sang noir... telle la Vie en personne, il s'échappait de ce corps corrompu, de ce corps froid, vide, mort.

HANNNNNNNNNNNNNNNNNNW COMME CEST TROP TROP BIEN !!!! *-*
Par-fait Clémence, j'ai vraiment vraiment adoré !!
Un post magnifique, trop trop bien. Hannnnn
Ohlalalala c'était trop cool ! ♥_♥

Le procès d'Aiden est vraiment cool ! Ta réponse était super aussi Sha ! :D

Citation :

Rideaux levés, les yeux des spectateurs rivés sur la scène, c'était leur heure de gloire, à eux, les artistes du mensonge. Derrière leurs masques, ils s'inventaient des histoires faîtes de toutes pièces, s'affublaient des qualités qu'ils n'avaient pas; ils chantaient des fables qu'ils prétendaient leurs. Leurs péripéties passionnent, leurs histoires inspirent, leurs personnalités nous charment... ou plutôt leurs personnages. Malhonnêtes, ils manient la fabulation comme une arme pour tromper les cœurs et embrouiller les esprits. Mensonge après mensonge, ils tissent une toile de tromperie. Et avant même qu'on ne puisse s'en rendre compte, nous, pauvres fous, sommes déjà coincés dans ses mailles. Dès son plus jeune âge, Katharina avait du apprendre à vivre parmi eux, à les reconnaître, à les éviter, eux, leurs pièges et leurs fameuses toiles : prisons d'esprit et de conscience. Et pour tout ça elle les détestait. Fichus acteurs. Foutus menteurs.

Génial ce premier paragraphe ! :o

Le deuxième est trop bien avec toutes ces rimes ^^ Et puis c'est trop ça, tes descriptions deviennent vraiment vraiment top ! Ca colle à la scène, aux perso, et ton style est plus fluide, plus précis, plus appliqué, plus construit. On voit très bien la progression dans ton phrasé !!

Citation :

Le Aiden qu'elle contait empruntait sans gêne le masque du vilain comme celui du héros, celui du voyageur comme du sédentaire, celui du bourreau comme de la victime. L'homme qu'elle décrivait était semblable à Tjorñ, aussi connu sous le nom de Dieu Taquin, il empruntait visage après visage, jetant sans cesse son masque pour en prendre un nouveau. Il était toujours n'importe qui, n'importe qui sauf lui même.

Haww mais c'est TROP comme ça que je vois Aiden !!

Citation :

Juliet ne faisait pas que peindre un portrait, elle jetait des adjectifs à la foule tout en jetant une nouvelle couleur de peinture sur son tableau si bien que, au final, le résultat n'était ni un chef d'oeuvre ni une toile immonde. C'était un portrait unique, à la fois beau et laid, à la fois inspirant et troublant, à la fois vrai et faux. Là était le piège des artistes. Comme l'araignée ne laisse pas sa toile au vue de tous, les acteurs cachent leurs fabulations dans un tissu de vérités.

J'adore Clem, c'est vraiment ça ! T'as bien capté l'essence de Juliet ! Et puis la petite araignée, il manquait que ça pour la touche finale à ce paragraphe x))
Tu fais des jeux de mots supers et j'adooore te lire ! Le vocabulaire sur le thème de l'art m'a séduite aussi ! :3

Citation :

D'après lui Juliet était, comme tout les artistes, esclave de ses émotions, mais maître de son mensonge.

Joli ! Et ça m'a fait réaliser que c'est totalement l'inverse et Kath n'en a pas la moindre idée. En fait Juliet est maître de ses émotions et esclave de son mensonge. Là est toute l'ambiguïté, le piège qui se referme sur tout le monde et sur son monde.
J'adore en apprendre plus sur mes perso grâce à vos textes, enfin placer des mots sur ce que je voulais expliquer grâce à vos mots.

Citation :

Où était le vrai ? Où était le faux ? Qui avait raison, Aiden, Juliet, les deux, ou bien aucun d'eux ? Elle n'aurait su dire, elle ne savait plus quoi penser. D'un côté, Juliet semblait sincère, terriblement honnête. Mais comme l'avait relevé Aiden, elle était son amante, elle était son ennemie et de ce fait elle était tout sauf objective sur le sujet, bien qu'elle clamait haut et fort ne vouloir que la justice. Aiden dénonçait la mise en scène, le masque de l'actrice, il dévoilait au grand jour la supercherie, et pourtant, en son fort intérieur, Katharina était certaine que lui aussi mentait, ne serait-ce qu'en omettant quelques parts de vérités. Elle ne savait plus quoi penser. Le témoignage de Juliet Perkins aurait du éclairer les esprits, clarifier les derniers points sombres mais il avait eu l'effet inverse. Maintenant il n'y avait jamais eu autant de zones d'ombres, autant d'incertitudes.

Ouuuuhhhh <3

Citation :

Et enfant, en tant que future reine, si on lui avait appris une chose c'était que l'incertitude et le doute menaient à de mauvaises décisions, à des erreurs.

Joli Shainteté !!! :o

Citation :

Tel un serpent, Aiden s'était jetée sur sa nouvelle proie, cette fois ce n'était plus Juliet, mais Katharina elle même. Mais contrairement à sa noble amante qu'il avait attaqué de front, aveuglé par la haine, ou bien l'amour, cette fois-ci il menait un affront dissimulé, lançant un escadron de sous-entendus, menant une armée de doute vers la forteresse de l'esprit royal.

ou bien l'amour ... HAWWW j'adoooreee Clémence !!!

Citation :

commença-t-elle, comme si une nuit en cellule était une récompense. Il était vrai que sa cellule restait toujours mieux qu'un cercueil.

POPOPO !

Je viens citer Clémence, mais d'abord, je viens de retrouver un jeu de mots que j'ai fait dans le rp avec Aiden ! Je me disais bien qu'il n'y avait pas que le "je meurs d'envie de vivre". Tadam :

Citation :

Il n'ajouta rien, mais il pensa vraiment que cette fille, malgré la répulsion immédiate qu'elle lui inspirait, avait ce quelque chose dont les autres ne disposaient pas. La clémence l'habitait, mais surtout, l'écoute.

C'est marrant non ? Nan ? ça fait rire que moi ? Bon. Tant pis.

Ce premier paragraphe est vraiment chouette. On voit bien le mépris que Katharina a pour eux, les menteurs, les tricheurs, les acteurs, mais aussi son admiration face à leur jeu précaire de funambules des mots.

Citation :

Rideaux levés, les yeux des spectateurs rivés sur la scène, c'était leur heure de gloire, à eux, les artistes du mensonge. Derrière leurs masques, ils s'inventaient des histoires faîtes de toutes pièces, s'affublaient des qualités qu'ils n'avaient pas; ils chantaient des fables qu'ils prétendaient leurs. Leurs péripéties passionnent, leurs histoires inspirent, leurs personnalités nous charment... ou plutôt leurs personnages. Malhonnêtes, ils manient la fabulation comme une arme pour tromper les cœurs et embrouiller les esprits. Mensonge après mensonge, ils tissent une toile de tromperie. Et avant même qu'on ne puisse s'en rendre compte, nous, pauvres fous, sommes déjà coincés dans ses mailles. Dès son plus jeune âge, Katharina avait du apprendre à vivre parmi eux, à les reconnaître, à les éviter, eux, leurs pièges et leurs fameuses toiles : prisons d'esprit et de conscience. Et pour tout ça elle les détestait. Fichus acteurs. Foutus menteurs.

Citation :

Amant puis ennemi, lâche puis courageux, esclave puis maître, au fil du spectacle les masques changeaient et s'échangeaient, tenant les spectateurs en haleine. Horrible inconstance, douce différence. [...] Et tandis que les spectateurs se perdaient dans les abysses de l'incompréhension, eux, derrière leurs masques, riaient à gorge déployée, heureux d'avoir semé la zizanie.

Je crois que c'est dans le Bossu de Notre-Dame qu'à un moment il y a des masques qui font peur qui rigolent... je sais plus. Mais j'ai cette image dans la tête avec la dernière phrase !

Citation :

Le Aiden qu'elle contait empruntait sans gêne le masque du vilain comme celui du héros, celui du voyageur comme du sédentaire, celui du bourreau comme de la victime. L'homme qu'elle décrivait était semblable à Tjorñ, aussi connu sous le nom de Dieu Taquin, il empruntait visage après visage, jetant sans cesse son masque pour en prendre un nouveau. Il était toujours n'importe qui, n'importe qui sauf lui même. Noir, blanc, jaune, vert, rouge, bleu.

Mon dieu j'ai pensé un truc intelligent (enfin je trouve ça intelligent mais je suis fatiguée... je trouverai peut-être ça bête demain matin). En fait, Aiden, vous avez l'impression qu'il n'est jamais lui-même, parce qu'il "s'adapte" à son/ses interlocuteurs. Il est toujours lui. Aiden, c'est le type qui vous déstabilise, qui vous surprend, qui vous malmène, et que ça amuse. Simplement, on ne se moque pas d'une reine comme d'un paysan. Et c'est ça toute l'affaire : c'est qu'Aiden change en fonction de l'autre. Il fonctionne un peu comme un miroir déformant, inversé... mais il reste un miroir. Le type qui se fout de votre gueule à 7h au saut du lit. Tout ce qui change, c'est la personne en face.

Citation :

C'était un portrait unique, à la fois beau et laid, à la fois inspirant et troublant, à la fois vrai et faux. Là était le piège des artistes.

Héhéhéhéhééé.

Citation :

Citation :

D'après lui Juliet était, comme tout les artistes, esclave de ses émotions, mais maître de son mensonge.

Joli ! Et ça m'a fait réaliser que c'est totalement l'inverse et Kath n'en a pas la moindre idée. En fait Juliet est maître de ses émotions et esclave de son mensonge. Là est toute l'ambiguïté, le piège qui se referme sur tout le monde et sur son monde.
J'adore en apprendre plus sur mes perso grâce à vos textes, enfin placer des mots sur ce que je voulais expliquer grâce à vos mots.

Tu veux qu'Aiden aille éclaircir les idées de Kat ? XD

Citation :

Contrairement à beaucoup, Aiden semblait accepter et même se réjouir de ses défauts, pire encore, il semblait en jouer. Il était différent, et il adorait ça. Peut être était-ce cela qu'il appréciait chez Juliet, sa différence, car elle aussi était unique en son genre.

En fait Aiden il a tout compris, pour être bien dans sa peau, faut accepter ses défauts ! Prenons-en de la graine ! (Regardez, j'assume mon/ma narcissisme/orgueil/fierté/vanité/blablabla au sujet d'Aiden ! C'est un premier pas ! Je sais pas pourquoi, j'ai pensé "pas", et après j'ai pensé "han mais la finale de l'euro c'est ce soir". Bref...)
Et oui mais je sais pas vraiment ce qu'il aime chez Juliet. Moi je sais pas pourquoi j'aime les gens. Bien sûr ils ont des qualités, mais bon ils ont au moins autant de défauts qui pourraient me repousser. Je sais pas. C'est juste que je me sens bien avec, et c'est pareil pour mes persos (oui là je vous dis que j'ai galéré pour la question du ship du mois, tout à fait).

Citation :

Jamais Katharina n'aurait pu penser qu'un procès ferait l'objet d'une telle mise en scène; elle avait l'impression d'assister à l'un de ses drames digne d'une pièce de théâtre.

Oui, je pensais pas que ça partirait si loin. Enfin ça s'est senti dès les premiers messages, mais quand même ! Je ne pensais point.

Citation :

Maintenant il n'y avait jamais eu autant de zones d'ombres, autant d'incertitudes. Et enfant, en tant que future reine, si on lui avait appris une chose c'était que l'incertitude et le doute menaient à de mauvaises décisions, à des erreurs. Et dans ce cas précis, cela pourrait être une erreur fatale.

Mouahahaha, Aiden et moi adorons lire ce doute.

Citation :

Masquant son sourire victorieux sous le masque de l'abandon, l'acteur vainqueur feignit la défaite. Il était bon, très bon, Juliet avait eu raison en disant de lui qu'il était un maître illusionniste. Et le maître avait frappé à nouveau, peut être même sans s'en rendre compte.

J'avoue que je ne sais pas s'il se rend toujours compte de l'impact qu'il a... hum. On va y réfléchir.

Citation :

« Merci Mademoiselle Perkins pour votre honnêteté et votre témoignage. Je tâcherais d'en prendre compte lorsque je rendrais ma décision.... »

Votre honnêteté ! On se fout de ma gueule ! Au bûcher les deux femelles !

Citation :

Elle leur fit signe d'attendre quelques instants et s'approcha du jeune femme.

Oh mais j'avais pas repéré ça ! Maintenant j'imagine Aiden en robe rose et courte haha énorme, merci Sha XD

Citation :

« Que vous le croyez ou non, dans peu de temps justice sera rendue. Ce n'est pas du hasard, le hasard aurait été de choisir votre destin maintenant, de décider en aveugle, tandis que je ne suis sûre de rien à votre propos. Mais rappelez vous ceci, si je vous accorde votre vie vous en aurez usage, je ne suis pas la reine du hasard, je suis la reine de Vivendale, votre reine. Que vous m'aimiez ou non, que la noblesse m'aime ou non, vos vies m'appartiennent. Et mes choix sont tout sauf du hasard. »

DÉMON ! Viens Aidou, on la bouffe ! Elle a aucun droit sur toi ! C'est toi le capitaine de ton âme, le maître de ton destin ! En avant Aidou ! Démontons Vivendale ensemble ! Ou cassons-nous ! Huuu Aidou huuu !

Citation :

Huuu Aidou huuu !

Vous assistez à la démence de Léa x)
Vraiment folle cette fille ...

Citation :

Je crois que c'est dans le Bossu de Notre-Dame qu'à un moment il y a des masques qui font peur qui rigolent... je sais plus. Mais j'ai cette image dans la tête avec la dernière phrase !

Haww mais oui !! :o

Citation :

Tu veux qu'Aiden aille éclaircir les idées de Kat ? XD

Noonnn xD Juliet doit rester pure ! C'est une Noble en même temps, pourquoi Kat aurait des doutes sur sa sincérité ? Y'a qu'Aiden pour lui casser son truc, y'a que lui qui sait. A part les Trois of course, mais eux n'iront pas cafter sur leur bébé espion. Aiden, c'est la seule menace ... Mais s'il choisit soudainement d’éclaircir les idées de Kat, ils tomberont tous les deux parce qu'elle va pas se laisser faire. Oh mais quelle bonne idée ... (a)*
(ceci est un symbole angélique (a) légèrement modifié par *, en gros ceci est le nouveau symbole pour l'ange corrompu)

Citation :

Votre honnêteté ! On se fout de ma gueule ! Au bûcher les deux femelles !

Mais si elle est honnête là ! Clémence a tout compris 8)
(c'est parce qu'elle a Free...) (les blagues pourries de mon père ont un effet sur moi, je suis contaminée)
Mais oui au bûcher ! Ce serait pas trop trop beau Kat et Juju en train de mourir ensemble, consumées par les flammes de la justice ? Kat dans une robe d'argent pour contraster l'or du feu, et Juliet en rouge, pour mêler sa chair brûlée à la chaleur du brasier.
J'ai plein d'idées de scènes de mort, il faut vraiment que je tue un perso.

Toujours pas cité LF je manque à mon devoir de citeuse !
Donc voilà voilà en plus de LF faut que je lise Sombrer de Lorna et le nouveau petit message avec Aidouuuu !
Lulu en prems !

Isa a écrit:

Rien n'efface un mensonge, pas même la vérité.

Lucie t'as toujours des paroles vraies de vraies ! :o C'est bien dit et c'est ça, c'est vrai ! Tu devrais faire des dictons et dans 10 ans, les jeunes te citeront au bac 8)

Isa a écrit:

Il ne disparaît jamais tout à fait, enfoui derrière des faux-semblants et les règles du paraître, et finit immanquablement par consumer son auteur. Au demeurant, nous ne sommes pas tous les mêmes menteurs ; certains se délectent plus que d'autres de leurs tromperies et des conséquences qu'elles engendreront...

Isa a écrit:

Mais sinon comment expliquer une telle fatalité, un tel acharnement dans son existence, digne de la plus somptueuse tragédie ? Et, telle une figure spectrale, amaigrie et pâle, elle enlaçait avidement la vie - dans son corsage le sachet d'opium n'aspirait qu'à être consommé. Plus tard... Si elle survivait à cette épreuve, au désespoir.

Ohoh ! Un début de Dark Isa :k

Isa a écrit:

n sanglot roula dans sa gorge, amer, écœurant, elle se vit telle qu'elle était : pitoyable. La fureur s’empara de son corps, se répandant en colère dans son sang, piquant ses nerfs et éprouvant ses faiblesses. Elle devait se relever, lutter, Isabelle rivalisait avec les maux du monde - souffrance, vice, désespoir - rien ne l'abattrait, elle Pandore des temps modernes. D'un geste dédaigneux, elle essuya les traces de son supplice, le long de ses joues.

Isa a écrit:

Elle détourna le regard et se focalisa sur les détails de sépulture ; opale et granit rose recouvraient le haut de la tombe, et la base se décomposaient en plusieurs nuances de marbre gris et noir. Un chef d’œuvre pour un corps pourrissant en son intérieur, une futilité de plus au service des riches...

Ouhhh joli !
Isa avec la culpabilité en plus d'avoir tué sa mère .. désespoir. Pauvre Isa qui sombre peu à peu. Heureusement qu'elle a Aria quand même, elle aurait été tellement plus mal sans sa soeur

Isa a écrit:

Isabelle ne doutait pas de ses sentiments maternels, s'il en avait été autrement lady Airwer n'aurait eu aucun scrupule à l'évincer. Étrangement, elle avait accepté son rôle de mère, malgré une certaine rigidité : elle l'avait toujours protégée. « Une existence entière de mauvais choix, et pourtant ce sont mes actions qui l'ont conduite sur l'échafaud. Sa mort en serait presque pathétique, ma mère martyre... » Elle secoua la tête avec ironie, les évènements récents continuaient de l'éprouver. Dans un sens, Isabelle ressentait une forme de culpabilité, basée sur la dette d'une vie. Le genre de marché que l'on peut difficilement rembourser.

Voilà, elle se sent coupable. Mais la pauvre ! Aria fais-lui un gros câlin ! :3

Isa a écrit:

« Je ne l'ai jamais pardonnée d'avoir conduit à la perte de notre père. Et pourtant parfois, il me semble la comprendre, elle aimait le pouvoir bien plus que Thom, et davantage encore elle aimait ce monstre de Jason... Je ne prétends pas approuver, mais Arianna... j'ai vu cette rage dans les yeux de Willam lorsqu'il t'a cru morte. L'amour change les hommes, on n'y échappe pas.  »

Hanwwww Will ! Isa parle de son beau-frère mais c'est génial ! xD
Ce monstre de Jason, nanméoh ! C'est pas un monstre, il est juste incompris et mal aimé :'(

Isa a écrit:

« Elle aurait pu vivre heureuse je crois, un certain temps tout du moins, si Jason n'était pas entré dans sa vie... Il a fait naître en elle le goût de la puissance et des grandeurs. Ce psychopathe est entré dans nos vies, et a tout ruiné. D'une certaine manière, je ne suis pas la seule à avoir tué ma mère. Lui aussi l'a tuée une première fois.  » Loin de l'apaiser, cette vérité lui fit l'effet d'un coup de poignard en plein ventre, elle serra compulsivement les poings, ses jointures pâlirent. « Mon existence entière est construite sur une montagne de mensonges. Ils mentaient tous, ma mère, Thom, Jason, pourquoi en serait-il autrement de moi. Il n'y a jamais eu d'innocente Belly, j'ai toujours été ainsi Arianna, sale et corrompue. »

Noooon Isabelle reste dans la lumière !!

Isa a écrit:

« J'ai choisi de mentir pour te sauver et ce mensonge a tué ma mère. »

Ouuup culpabilité retour vers Aria

Isa a écrit:

« Je n'ai aucun regrets. Je condamnerai chaque salaud dépravé pour te sauver Aria, tu es mon unique famille, la seule qui importe. Pas parce que tu partages mon sang, mais car je t'ai choisi. »

*-* ... superbe

___

Lorna a écrit:

Tout commence par un fil. Mieux, tout ne tient qu’à un fil. C’est lui. Lui, ce fil d’argent qu’elle crache et qu’elle tisse, fruit divin de son sein qu’elle emmêle, torsade savamment et entrelace, telle une ballerine exécutant mille entrechats. Lui, il n’est que pureté cristalline, force diamantine. Elle, en architecte passionnée, met tant d’ardeur à la tâche qu’elle ne compte plus les heures, les minutes, les secondes. Tout s’additionne, et sa toile prend peu à peu forme humaine. Elle est un monstre à son échelle, auréolée de cette puissance nouvelle aux éclats acérés, dotée de cette arme blanche dont le mortel n’a d’égal que la beauté. […] Alors, enfin satisfaite, elle contemple son œuvre, puis se trémousse aux tréfonds de ce nouveau puit et tombeau, et, ainsi dissimulée à leurs yeux, attend silencieuse.

Mais ohlala comme ça vaut le coup d'avoir attendu pour cette lecture ! *-* Célia dans toute sa splendeur ! Je crois bien que je vais devoir tout citer si le message entier est comme ça.

Lorna a écrit:

Par la suite s’enchaine la chorégraphie, l’enchainant à son partenaire. C’est sans son consentement qu’elle l’emprisonne, faisant promener sur son corps rachitique ses huit mains doucereuses à la caresse anesthésiante, venimeuse. Entre ses bras puissants et dominants, le voyageur ailé s’endormira sagement, d’un sommeil lourd dont les rêves ont été chassés, abolis pour ne pas troubler ce repos éternel, ce coma provoqué par la volonté de sa maitresse. Mais alors qu’elle le tient si étroitement enlacé, presque tendre dans ses attitudes quand, amoureuse, elle appose à son front le baiser mortel, cette fille d’Arachné voit son petit confort perturbé.

Hé oui on dirait bien que c'est parti dans ce sens.. citation, citation !

Lorna a écrit:

Paniquée, elle se rétracte, protégeant ses arrières quitte à abandonner là son dessert.

J'adore cette phrase !

Lorna a écrit:

Entre les doigts de la brune, une araignée nuit au velours soyeux gesticule, s’articule. Dans son désir de fuite, ses mandibules s’agrippent aux extrémités porcelaines de Lorna, lui arrachant un sourire ampli d’amertume. Empoisonnée par ce trop-plein d’arrogance, l’empoisonneuse sait qu’elle rendra coup sur coup, savourant la symbolique de cet instant prenant des airs de lâche victoire. Revêche, à présent le manège se presse et s’empresse.

Ohlala mais c'est magnifique ..

Lorna a écrit:

Calmement, Lorna se saisit alors de l’abdomen de la bestiole sur lequel une pâte, une seule subsistait, puis, changeant méticuleusement la configuration de ses doigts pales afin de n’avoir que cette dernière en main, porta le tout à ses lèvres entrouvertes. Ses dents, se saisissant de la tête, la détachèrent du corps dans une section parfaite. Elle mâcha lentement, faisant crisser sous ses canines le moindre ossement de sa face mutilée. Lorsqu’elle s’attaqua à son plat de résistance, un liquide noirâtre s’échappa du tronc pour couler le long de la commissure de ses lèvres. Elle soupira lentement. De l’ancienne usine à poison ne restaient plus que les huit membres recourbés, parfaitement alignés sur son plan de travail.

Arrk mais Ouuhhh ! *-*

Lorna a écrit:

Ainsi s’en était allée la liberté de Vivendale et la domination supposée invulnérable des Trois. Caillé, noirci mais présent, le sang versé pourrait en témoigner, si doué de parole il avait été. Dans ce monde ci où vice et légalité ne formaient qu’une seule et même palabre, qui succombait à ses scrupules succomberait tôt ou tard. En véritable Reine, jamais elle ne pourrait tomber. Jamais elle ne pourrait sombrer.

Su-bli-me Célia ! Rien n'a dire, c'est parfait !
Un retour de Lorna parfait ! Ca donne envie de te lire plus souvent :)

__

Aiden a écrit:

Haletante, l'attente.

Ouhlala que ça commence bien .. est-ce que je vais mourir en lisant ça ? Léa, épargne mes émotions pretty pretty pleasseee !

Aiden a écrit:

Alors, le doute... Treize jours de doute. Treize jours... Lorsqu'il les mettait en perspective, il se rendait compte que le fil des actions s'était déroulé avec faste et rapidité. Il avait attendu dans sa cellule avant d'être libéré sous condition, il avait partagé une nuit avec Isabelle, il avait revu mademoiselle de Larant, il avait subi l'indifférence de Juliet, il avait vécu entouré de Témériens et inquiet de la menace des Trois... Treize jours mouvementés.

Houlalalala !

Aiden a écrit:

Aiden ressortit, blême. Avait-elle bien tout compris ? Il ignorait que penser de la décision témérienne. C'était... inattendu. Il avait imaginé beaucoup de choses : emprisonnement, coups de fouet, torture, humiliation publique, serments, asservissement, exil. Les possibilités se multipliaient à mesure qu'il y réfléchissait. Mais l'idée de Katharina et de ses conseillers ne lui avait même pas effleuré l'esprit. Il avait du mal à envisager leur raisonnement. Qu'espéraient-ils ? Que projetaient-ils ? Que croyaient-ils ? C'était en mission, qu'ils envoyaient le génie. En mission.

Oh quelle chouette idée !!

Aiden a écrit:

Il s'agissait, en réalité, d'un exil déguisé. Le voyage allait prendre plusieurs mois ; de quoi l'éloigner durablement de toutes ses relations et d'établir une paix sauvegardée de ses élans révoltés. Aiden n'avait pas tant d'influence. Il existait d'autres raisons, il en était certain. Et si la mission n'était en fait qu'une exécution loin des foules ?

Oh non Aiden ne doit pas mourir comme ça ! Quel tragique final, seul, loin, poignardé dans le dos, toutes ses oeuvres inachevées et son destin inaccompli ! Mais ce serait pas une mauvaise idée.. *se frotte les mains* héhé oui oui ok j'imagine bien !

Aiden a écrit:

Il pinça les lèvres. Drôle d'idée. Il n'avait rien d'un martyr, il n'était ni aimé ni adulé. Il était même plutôt détesté et injurié. La foule aurait été ravie de pouvoir lui jeter la première pierre tandis que le feu dévorerait ses péchés. A pas lents, il quitta le lieu d'énonciation de sa sentence. Comme il marchait, le sentiment lui vint que l'écarter de Vivendale, c'était lui sauver la vie.

Ouhhh punaise que de belles lectures cet aprem *-* J'adooreee j'adooree !

Aiden a écrit:

Le voile de protection des Trois s'était levé, et une partie des faiblesses avait percé la peau démasquée. Il était devenu vulnérable. La reine aurait pu le garder ici et attendre qu'un individu décidât de lui ôter la vie. Ce n'était donc pas pour l'assassiner, cette mission. Il plissa les yeux en s'accoudant à une fenêtre. Ne rien lui en dire : c'était là la première vengeance de Katharina. Devant lui s'étirait la cité vivendalaise. Déjà, l'emprise témérienne se faisait sentir. Il glissa ses mains jusqu'à ses tempes et les massa doucement. Ce n'était qu'un début.

C'est superbe Léa !

Aiden a écrit:

Le soir-même, il pliait bagage. Il n'avait parlé à personne, il n'avait vu personne. Cela lui semblait plus prudent. Il n'aurait pas apprécié tomber sur Juliet ou Isabelle, au détour d'un couloir, à l'ombre d'une terrasse. La première se serait empressée de le séquestrer, et la seconde l'aurait assailli de questions

Trop ça !XD
Juliet dans l'ombre, le voit partir et le méprise encore plus pour ne pas dire au revoir. Quand -si- il reviendra elle va lui faire payer grr !

Aiden a écrit:

Il était temps. Il jeta un regard circulaire à la pièce, puis sortit. Devant sa porte, un garde l'attendait. Il n'aurait pas fallu qu'il essayât de fuir, le lâche... Il le conduisit dans les corridors qu'il connaissait par cœur. L'Inventeur gardait le silence, pensif. Il revoyait quelques scènes se jouer, fantasmait des fantômes d'un autre temps, qui parcouraient les couloirs. C'étaient ses adieux. Au cas où...

Aiden a écrit:

Il obéit. Lorsqu'il se retrouva sur l'équidé, il eut une sensation étrange. Il n'avait pas monté depuis longtemps. Il baissa les yeux sur sa monture. Les oreilles se tournaient vers lui. Au moins, il était attentif.

Lélé qui place sa petite connaissance perso sur les dadas x)

Aiden a écrit:

L'animal s'ébranla de sa démarche souple et cadencée. Aiden avait oublié ce balancement régulier qui en ce jour lui semblait si chaotique. Depuis combien de temps n'avait-il pas monté ? Il préférait se déplacer à pied, et n'avait que rarement de longs trajets à effectuer. Puis, il se rappela, douloureusement, de la dernière fois. Il ferma les yeux et déglutit. La dernière chevauchée.

Héhéhéhé !

Aiden a écrit:

Les yeux émerveillés d'Aiden s'agrandirent, comme s'il voulait tout voir, toutes les couleurs, toutes les formes, tout saisir, et tout ancrer dans la mer de ses souvenirs. Il était comme un enfant qui découvrait le monde pour la première fois, à la différence qu'il le redécouvrait. Sa mémoire se ravivait brutalement, elle qui n'avait pu que ressasser. Elle se nourrissait enfin de ce dont elle s'était tant rappelée, pour conserver la stabilité précaire de son hôte. Il n'était pas fait pour vivre enfermé, cet homme, cet animal, cet esprit.

Oh mon dieu, Aiden est juste génial !

Aiden a écrit:

Les cavaliers descendirent, et le génie fit de même. Mais il n'avait déjà plus qu'une hâte : mettre les pieds sur un bateau. Il voulait regoûter à ce mal passager qui le faisait tanguer tandis que l'embarcation valsait avec les eaux. Il voulait revivre cette sensation de soulèvement, comme si le vent le portait. Il voulait sentir les airs jouer avec ses cheveux, et forcer la vitesse à lui arracher des rires. Dix ans qu'il n'avait pas pris la mer. Et saisi d'un vertige, il se demanda, pour la première fois, comment il avait pu vivre si longtemps sans ces sentiments. Dix ans...

Aiden est lui-même de nouveau. Va petit marin, va !

Léa, t'es une déesse. Tu fais vivre les mots comme personne, j'adore tout !


J'ai adoré vous lire toutes les Trois, j'adore vos perso, vos styles géniaux !
#expiafamilypourtoujours merci merci pour vos écrits vous me régalez ♥♥

(EDIT : je viens de me rendre compte que j'ai mis une majuscule à toutes les Trois. Passss du tout influencée x))

Allies for a daaay ! Du coup ce titre n'a absolument plus aucun sens.

Citation :

En présence de tous ces sauvages, James se contenait mal. L'irritation l'avait gagné depuis leur apparition. La colère embrumait ses sens et l'exaspération noyait son esprit. Ses mains sursautaient parfois, secouées d'impatience. Sa jambe blessée ne sentait plus la douleur et se tordait pour piaffer nerveusement. Il avait ce regard fou qui lui collait dans des situations pareilles, écrasé de sourcils furieux, rougi par quelques vaisseaux sanguins éclatés. Ses dents se limaient à force de grincer, et sa mâchoire craquait dans des petits bruits d'os déplacés. Trop de pression, trop de retenue, il pouvait exploser à tout instant... et il fallait qu'il fasse quelque chose.

Marion je voulais te dire qu'à chaque fois que tu fais des descriptions je m'y crois troooop trop trop.

Citation :

Et James eut honte, de cet homme de peu de valeurs qui les représentait, il eut honte de leurs principes reniés et de leur volonté détruite. Leur parler, c'était les considérer, c'était accepter leur présence et leurs idées d'avenir. Envisager une alliance, c'était l'accepter d'avance. Et lui ne pouvait pas, il ne pouvait pas les savoir chez lui. Chez eux ! James resterait muet jusqu'au bout, preuve de sa ténacité, preuve de sa résistance.

Il me fait penser à Caliel... bande d'obstinés là. En vrai c'est beau l'obstination. C'est souvent très bête, mais c'est toujours très beau, de voir toute la conviction qu'on peut avoir, toute l'ardeur qu'on peut mettre dans quelque chose... hm.

Citation :

James avait été séduit par la Guilde, autrefois. Aujourd'hui, elle le décevait, l’écœurait et le trahissait de toutes les manières possibles.

TADAM ! James est un être sensible ! James se sent trahi ! James est blessé ! Ouuuuuh.

Citation :

Fantastique, les choses ne pouvaient pas mieux tourner. « En contrepartie, vous aurez la vie sauve. » Et cette générosité ! On ne pouvait qu'applaudir Reine Indulgence ! Oh comme il les détestait tous...

Ce rageux oh la la il est pas possible XD Mais j'avoue, mon esprit ombrageux pense ainsi ! Mon esprit noble aussi d'ailleurs. (Oui j'ai fait le test et il s'avère que je suis à la fois noble et ombrageuse : coucou dédoublement de personnalité.)

Citation :

Leur fumée noire bloquait Vivendale dans la mort et les braises encore rougeoyantes de leur flambeau infernal affligeaient les Nordiens de l'échec, de la déception, de la faiblesse, du non-retour ; pour le reste de leur misérable vie de vaincus, vaincus par des vainqueurs malhonnêtes et cafards. Ils étaient tous marqués du rouge de la défaite, calcinés jusqu'à l'âme, et entassés dans les sinistres décombres d'un passé qui valait encore mieux que le futur qui se profilait. Le brasier, jamais ne s'éteindrait. Ni dans la ville, ni dans le coeur de James. Surtout pas dans le coeur de James.

Ce morceau-là est trop joli *-* J'aime trop quand il y a de la violence dans les textes en fait. Pas forcément dans le contenu, mais dans la forme, dans les mots. Je trouve ça super beau.

Citation :

Sans tout le sang qui maculait son visage à la Guerre, James ne reconnut pas les traits nets de Freyja Shestën, la vilaine qui avait blessé son ego, sa pire adversaire depuis ce jour. Elle était propre, apprêtée, féminine. Son cheval blanc lui donnait un air royal et sa figure n'avait rien de terrifiant, juste neutre et pâle. Jusqu'à ce que ses yeux délicats se posent sur lui. Et qu'elle se mette à sourire.

Ah comme je ris ! Mouahahahahaaaaaaaaaa !

Citation :

Tout son corps frémit, il eut un élan en avant et sa jambe abîmée se préparait à suivre. « Toi. » Il la méprisa de son regard rouge, serra les dents pour grommeler et répéta, plus fort, comme s'il confirmait l'identification de sa rivale. « Toi !! » On aurait pu le croire fou, et peut-être qu'il l'était. James hurla, comme plus tôt dans la forêt, déversant sa frustration. Il était à l'apothéose du trouble. Et, ô qu'il se réjouissait déjà d'enfermer ses mains sur ce cou gracile et de le serrer jusqu'à ce que la fille devienne blanche.

ON NE TOUCHE PAS A LITTLE MOUSE NON MAIS OH ! Mais oh la la j'aime trop comment il s'énerve, j'ai l'impression que c'est un taureau enragé alors qu'il est taillé comme une crevette XD

Citation :

Il l'imagina sans tête, sans langue, sans jambes et sans seins. Mi-morte sur sa monture, salissant le blanc, de son sang de gueuse et de ses tripes infectes. Ou le visage enfoncé dans une des petites marres brunes de la forêt, noyée dans deux pouces de boue grasse. Trouée par l'épée sur tout le corps, déchirée de toute part. Une épaule déboîtée, un bras pendant, une jambe arrachée et le cou peu solide entouré d'une corde ; toute la chaire pendue, suspendue à une des plus hautes branches pour que  jamais, on ne puisse l'y détacher. Son minois jadis pomponné serait maquillé du bleu jaunâtre de la mort et les quelques vêtements qui lui resteraient seraient baignés d'un grenat foncé. Il l'exposerait à la lisière, en témoignage de son insoumission, argument irrévocable de sa tirade agressive, révolte sérieuse et réelle, affirmation, confirmation que la Guilde était intouchable et que James O'Kinnley n'était pas un homme à froisser. Le soleil et l'orage altéreraient la peau du cadavre. La pluie laverait le sang séché, la couvrirait du sable des vents, les insectes y feraient leur nid et les oiseaux affamés y piqueraient leurs becs. Le temps rongerait le reste et finalement, les os tomberaient par morceaux en contre-bas, et finiraient par s'émietter sur le sol. La Terre aussi réclamait vengeance, et se nourrissait de représailles.

Quand je lis ça je me dis "oh bah c'est tout James tiens". Et après je me rappelle que derrière James, il y a Marion, et là j'ai peur, vraiment peur. Marion j'espère que t'as pas des envies aussi virulentes... pas envers moi en tout cas XD Mais bordel c'est beau toute cette haine. Je trouve tout beau. Ça a dû péter là-haut. Pourtant le nouveau bleu que je me suis découvert, il est sur mon pied, à côté du petit orteil (je ne sais pas comment j'ai fait). Bref il faut que j'arrête de raconter ma vie quand je cite.

Citation :

« Tu le paieras de ta vie Sauvageonne ! » On lui tenait les bras trop fort et il se jetait en avant. « Je t'étriperai ! Je le jure ! » Le doigt en l'air comme s'il faisait du Ciel son témoin, James, en plus d'avertir la guerrière, menaçait le contrat de paix. Pire, il le piétinait ouvertement. L'un des siens le gêna sur sa gauche et le fou lui asséna un coup dans la mâchoire pour s'en débarrasser, sans perdre de sa rage pour Freyja. « Si la mort est trop douce pour un parasite dans ton espèce, elle sera pourtant ta seule issue ! » Il beugla, plus fort encore: « Je ne perdrai pas mon temps en tortures et tourments, ta souffrance ne m'importe peu. Ta simple mort me suffit amplement ! ... Ta vie pour ton offense ! » Un sourire carnassier étira toute sa bouche et un rire abominable s'échappa d'entre ses lèvres. « Oh oui sois-en sûre... » Finlin en eut assez, il agrippa son gourdin. « ... aujourd'hui ou demain, ici ou aill... » Et il frappa la tête du fourbe de toutes ses forces.

*tire la langue* Nananananèreuh ! Je vois trop Freyja avec son sourire fourbe et la main en l'air pour retenir les Témériens, héhéhé.

Citation :

Le sourire de Freyja au loin, qui parut satisfait, se déforma avec la vitesse. Les arbres s'étirèrent et le bleu du ciel diminua curieusement pour former un petit point cabossé. En une seconde la scène s'assombrit, noire et parsemée de légères étoiles. Ses jambes se plièrent et il s'effondra au sol.

Marion apprends-moi à faire des descriptions comme ça ! Je visualise troooop bien !

Citation :

La vengeance de James se ferait donc demain et ailleurs.

HOULALA LES EXPIÉES CA VA CHAUFFER DU PÂTÉ !!

Quand Celia est de retour... Je reste 10 minutes bouche bée devant mon écran et ensuite je relis pour vérifier que j'ai bien lu ce que j'ai pensé avoir lu, et ensuite... bYE

Celia a écrit:

Aimer, c'est donner sans espérer prendre en retour, c'est souhaiter la félicité d'un être quitte à s'oublier de l'autre côté du miroir, c'est chérir son sourire tout en partageant viscéralement ses peines, ancrées en nous comme elles sont ancrées en elle. Aimer, c'est croire sans jamais remettre en question, c'est suivre l'élan du corps et faire taire la raison, c'est avancer pas à pas à tâtons dans le noir, guidé par sa seule voix tout en gardant espoir. Aimer, c'est enfin ce désir de protection intense, celui d'être cette muraille la préservant du danger, celui d'être ce bouclier défenseur qu'elle peut serrer contre son cœur.

A peine les cartes fussent elles distribuées que Dalian sut exactement où, quand et comment il allait les jouer. Quels coups placer, parer, et où frapper. Où l'emmener, où se réfugier. Il ferait tout pour elle. Quitte à déserter. Quitte à les abandonner.

(le seul problème c'est quand quelqu'un écrit un super beau paragraphe sur l'amour en général, associé à un couple que je shippe totalement et que j'adore, mais moi je pense à... non ne dites rien, je sais que vous savez... je pense que je vais juste aller m'asseoir dans un coin...)

Le style de Léa commence à me faire penser, par moments, à Aragon donc autant vous dire que je trouve ça superbe. Je pourrais presque en aimer Aiden.

Léa a écrit:

Il croyait au bonheur. On pouvait être heureux si on s’en donnait les moyens. Il ne l’avait pas fait. S’il paraissait souvent cynique, il portait en réalité cet espoir lourd et fort des cœurs qui ne dorment jamais et des esprits qui ne prennent pas de repos. Il était de ces êtres qui vibraient au son des possibilités et des éventualités. Il avait presque renié cette part de lui-même. Elle était encore là, comme un son de cloche sourd et lointain, qui reste un point de repère pour les pèlerins en perdition.

Je n'ai sélectionné que le passage que j'ai préféré, mais bien sûr tout était très beau, comme d'habitude j'ai envie de dire !

Marianne ♥

Maintenant, les choses sérieuses. Hier soir, prête à aller dormir, je me dis : "allez, je vais lire les annexes que Sha a postées, j'ai trop envie, et j'ai encore assez de forfait". ET LA. LA. ÇA ! https://expiation.forumactif.org/t460-comme-des-aimants-isabelle-aiden#4587 NON MAIS. MA TÊTE, MES TRIPES, MON CŒUR !

Citation :

Ils n'auraient jamais dû et pourtant l'intempérance avait été plus forte : ils avaient cédé. Le monde s'évanouissait autour d'eux, le désir prenait le dessus sur tout. Les dernières cartes étaient abattues sur la table, les murs s'effondraient et chaque limite, chaque danger, appelait à être repoussé.

C'est ça que j'adore chez Isabelle et Aiden. Ils savent qu'ils ne doivent pas, ils ont conscience des règles, mais ils le font quand même. La thug life avant l'heure !

Citation :

le sexe n'offrait aucun perdant

Merci Lucie, j'en ris encore.

Citation :

Mais la Hart n'était pas en reste, l'inventeur cédait peu à peu du terrain, et elle se fondait avec perversion dans cette nouvelle brèche.

Mais Lucie n'était pas en reste, Léa cédait du shippesque terrain, et elle se fondait avec perversion dans cette nouvelle brèche. Là, voilà la vérité, camarades !

Citation :

Ils voulaient tous les deux se libérer de leurs chaînes, défier l'autorité qu'on leur imposait, tout faire basculer, tout détruire... Les deux amants enviaient l'anarchisme le plus total, le plus sombre.

C'est beau comme phrase, ça résume tellement bien la chose... Tout détruire pour tout reconstruire soi-même, à sa façon, loin de ce qui paraît superflu ou dérisoire, et surtout en restant libre.

Citation :

Le jeune homme s'était figé ; Aiden la dévisageait avec intensité, cherchant une vérité encore inconnue derrière ses iris. L'impatience de sa partenaire s'accrut, le sang battait follement à ses tempes et son souffle se saccadait ; tout son être appelait l'inventeur à agir, à la prendre toute entière, à la détruire pour mieux la reconstruire.

J'adore la première phrase, je suis fan, j'imagine trop bien Aiden la regarder comme ça - en se posant plein de questions en même temps x)
Détruire et reconstruire mouahaha j'adore avoir ce pouvoir entre mes mains !

Citation :

Ils se découvraient mutuellement dans cette intimité, nouvelle, tout autant dominant que dominé. Le génie la souleva et passant ses bras autour de son cou, elle s'offrit à lui - et oublia ses réticences passées.

Y'a eu des réticences ? Pas souvenir. On sait tous qu'Isa a cédé depuis le tout début ! Depuis qu'elle a 14 ans elle est raide dingue de lui, c'est tout XD

Citation :

Isabelle sut en cet instant qu'il était celui qu'elle avait toujours cherché, sa complémentarité, son opposé, un monstre comme elle, le seul capable de l'aimer ou de la détruire.

Il me manque le petit smiley de whatsapp qui te fait peur là... J'en aurais bien mis cinq !

Galipettes galipettes galipettes, pouf, dodo ! Enfin, pour Aiden.

Citation :

Isabelle contemplait cet être terriblement imparfait, dont elle était devenue la maîtresse. Ses doigts habiles dessinaient des motifs sur le ventre de son compagnon. Aiden s'était depuis longtemps endormi, mais elle continuait de l'observer. Dans leur intimité, elle avait trouvé la réponse : toute cette soirée n'avait été qu'un mensonge, il pensait avoir défié son égale, il s'était trompé... A présent, Isabelle savait qu'il avait le pouvoir de la mener à sa perte. Qu'il avait tous les pouvoirs... Il n'y avait jamais eu de sentiments entre eux, seulement une étrange attraction qui avait pris source dans leur première rencontre. Comme des aimants. Dès lors, ils n'avaient fait que danser aux précipices de la mort et de la vie. Et la jeune femme se sentait lentement glisser vers le mauvais versant ; peut-être était-il le seul à pouvoir l'en arrêter, mais jamais elle n'accepterait une telle influence. Aiden était venimeux et il l'avait empoisonnée - lui avait-elle infligé le même sort ?

"Terriblement parfait" XD Lucie tu t'es un peu emportée là ! Il est quand même bourré de défauts ce type ! ÉDIT : Grâce à Lucie, Léa a constaté son erreur (j'ai lu "parfait" hier soir et aujourd'hui - coucou petit ego caché dans le subconscient) et est partie s'enterrer loin du monde.
Je sais pas si Aiden a vraiment considéré Isabelle comme son égale... enfin, je veux dire, c'est Aiden, il pète quand même très très haut... hum, faudrait que je réfléchisse à cette question aussi !
"Tous les pouvoirs" : MOUAHAHAHAHAHAHAAA !
"Dès lors, ils n'avaient fait que danser aux précipices de la mort et de la vie." : j'adore cette phrase, c'est trop joli ! Je sais pas pourquoi, je trouve que toutes les liaisons vie, mort, et danse, ça rend bien. C'est poétiiique.
J'aurais dû faire plusieurs petits paragraphes en fait... tant pis !
Venimeux, serpent ! Ouuuh je comprends pourquoi tu aimes moins Aiden, Clémence ! Lucie nous a soufflé la réponse !

Citation :

« Ailleurs, bien loin d'ici ! trop tard ! jamais peut-être ! / Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais, / Ô toi que j'eusse aimée, ô toi qui le savais ! »

Coucou Baudelaire ! J'avais fait un dessin pour ce poème, quand je l'avais choisi pour le mettre dans une anthologie, en première. Ça me rappelle des souvenirs...

Merci pour ce final en beauté (et chaud xD), Linou ! ♥ Trop hâte de finir mon solo pour pouvoir poster les petites retrouvailles, niark !

Résister à l'envie de le vénérer est une tâche un peu plus ardue chaque jour, mais je résiste vaillamment.

Léa a écrit:

Un vague sourire étira ses lèvres. « On ne peut aimer la mer que si l’on est soi-même un peu fou, Isabelle. Peu importe la nature de la folie, il en faut juste assez pour accepter la sienne, et l’adorer. » [...] En s’appuyant sur un bras, il se releva avant de pivoter vers la jeune femme. « Mais l’envie n’est maîtresse que des impulsifs – et des libres. Alors… il fallait bien revenir. » Sa bouche sérieuse céda rapidement la place à un sourire joueur. « Je t’ai manqué ? » Il la scrutait, planté là, ses pages de dessin glissées sous le bras, ses crayons tenus dans une main. Malgré la faible luminosité, on discernait son teint plus mat que de coutume. Il faisait ressortir ses iris qui semblaient avoir aspirés deux morceaux de soleil, et ses cheveux blondis par les rayons éternels. Il avait l’apparence de l’aventurier égaré, du marin échoué, de celui qu’il était peut-être vraiment, mais il avait déjà repris son jeu de faux-semblants.

Oh Léa, je ne sais même plus comment te remercier ! Je suis assise en tailleur l'air un peu hébétée mon ordinateur sur les genoux, en tentant d'intégrer ce que je viens de lire ! Ce que c'est beau ! On dirait un cadeau de plus, c'est magnifique !

Aiden a écrit:

Les étoiles, de leur lueur tendre mais incertaine, valsaient près de la lune. L’océan de minuit accueillait leurs chants silencieux qui apaisaient les cieux. Leur lumière se reflétait directement dans ses yeux. Elles s’y miraient, splendides dans leurs robes éclatantes de blancheur.

La nature entière danse devant les yeux d'Aiden, la danse, la musique... c'est merveilleux ! J'aurais bien cité tout le premier paragraphe, dans son intégralité

Aiden a écrit:

De la nature, il chérissait ce caractère complexe et infini. Il sentait le parfum de l’herbe fraîche, à peine humide, qui était aussitôt chassé par des fragrances plus puissantes : rosiers, lilas, géraniums, lys, acacias, rhododendrons, orangers… La végétation s’épanouissait autour de lui, libre de ramper, grimper et éclore.

♥
Il n'y a pas de mots, je visualise tout simplement et j'aime ce que je vois.

Aiden a écrit:

Le sac lui avait semblé bien vide, en comparaison de sa tête bouleversée par des souvenances avides. Il ne pouvait s’empêcher de penser à ce qu’il avait vu et entendu, et de réfléchir au sens à donner à ce geste de la part de Katharina. Il songeait à Ethel, et à sa sœur ; au petit Ikar, à la vieille Nuria, et à tous les autres.

Aiden qui pense aux autres - ou comment toucher Lucie en plein coeur et l'attendrir.

Aiden a écrit:

C’était toujours Juliet, qui venait le récupérer, dans ces moments-là. Mais ce soir-ci, elle ne viendrait pas. Il ne voulait pas la voir, parce qu’elle seule saurait comment tout gâcher. Elle porterait une rancune vengeresse, blessée par le départ secret et précipité de son amant. Il n’avait pas besoin de cela.

Grrr quand j'ai vu son prénom je n'ai pas pu m'empêcher de grimacer "Ah non pas dans un rp Aiden/Isabelle" puis la suite m'a beaucoup plu XD Je suis une horrible personne...

Aiden a écrit:

Il avait senti la verdure frémir sous ses pieds… et s’était rappelé pourquoi il retirait toujours ses chaussures lorsqu’il était enfant. Ressentir la terre… On n’oubliait trop de choses, avec le temps et les gens. Le temps atténuait la vivacité des souvenirs, et les gens chassaient les habitudes incivilisées, ces habitudes d’hommes libres, paisibles et heureux.

Aiden, enfant, qui s'émerveille du contact avec la terre, ça m'emporte ! ♥

Aiden a écrit:

Demain, j’aurai oublié, se dit-il. Il finissait toujours par oublier l’essentiel. Comme tout le monde. On délaisse le passé pour mieux entrevoir le futur, pourtant si hasardeux et vaporeux. On se projette plus loin, ici ou ailleurs. Ailleurs... Où serai-je dans quelques années ?

Il n'y a pas d'autres mots pour ce que tu as dit, c'est tellement véridique et poignant, ce n'est plus seulement la vérité d'Aiden mais une vérité pour tous ! OH MON DIEU J'ADORE j'ai juste l'impression d'être une hystérique qui lit ton post !

Aiden a écrit:

Dans l’une de ses mains, il tenait un crayon, et d’autres sommeillaient autour de lui, en attendant qu’il s’en emparât pour les faire danser sur le papier. Presque dans un sursaut, il rabaissa la tête pour retourner à son dessin. Ses doigts revinrent doucement apposer la mine, et les traits s’accumulèrent, tantôt avec fluidité, tantôt de manière hachée.

♥♥♥

Aiden a écrit:

[...]lorsqu’une voix familière vint percuter ses tympans. La mine manqua de se briser ; l’objet lui échappa des mains. « Je n’espérais plus te revoir. » Il tourna la tête et discerna une silhouette qu’il avait appris à connaître. Pourtant, elle lui paraissait soudainement étrangère, comme venue d’un autre monde. Elle s’avança un peu, et la lune éclaira mieux ses traits graciles – comme si l’astre devinait qu’au fond, l’Inventeur avait besoin d’une confirmation. C’était bien Isabelle ; Isabelle l’enfant de colère et la femme de regret, l’être qui portait ses échecs et gâchait ses espoirs – un peu comme lui, finalement.

Ohhhh ♥♥♥ Tu m'émeus Léa, j'aime trop, j'aime trop, j'aime trop !

Aiden a écrit:

« On ne peut aimer la mer que si l’on est soi-même un peu fou, Isabelle. Peu importe la nature de la folie, il en faut juste assez pour accepter la sienne, et l’adorer. »

Ohhhh espèce de sale con moralisateur provocateur ce que tu dis c'est intense, magique, infini !

Aiden a écrit:

Sa bouche sérieuse céda rapidement la place à un sourire joueur. « Je t’ai manqué ? »

OHHHHHHH c'est à cet instant précis que mon cerveau a fait BOOOOMMM, une vraiment très grosse explosion ! Je crois que l'hystérie a atteint son apogée !

Aiden a écrit:

Malgré la faible luminosité, on discernait son teint plus mat que de coutume. Il faisait ressortir ses iris qui semblaient avoir aspirés deux morceaux de soleil, et ses cheveux blondis par les rayons éternels. Il avait l’apparence de l’aventurier égaré, du marin échoué

Haha je t'avais dit que je visualisais tellement bien Aiden Ruthendell au retour de son périple ! ♥

Il faut savoir que quand je lis un de tes posts Léa je suis extrêmement appliquée, je savoure les mots, leurs couleurs, leurs goûts, les sensations... Je fais en sorte que le soin que tu as mis à écrire ne soit pas vain. Mais bien sûr il faut toujours un moment où tu fais partir mon esprit en cacahuètes et où à cause de toi l'hystérie me gagne, tout ça parce qu'il faut que tu sortes une foutue phrase du style "Je t'ai manqué ?" Oh mon dieu il faut que je respire ! Donc comme je lis la suite du message en mode hystérique je ne rends plus hommage à ton texte, donc je suis obligée de le relire, une fois, puis une autre, puis encore XD Tout ça parce que j'aime trop !

Et oui un jour j'essaierai de citer ton texte sans commenter avec mon brin d'hystérie mais plutôt par rapport à la qualité du texte XD

Allez, je vais laisser mon esprit divaguer ! Ohhhhh sacré rp... ♥


EDIT

J'AI OUBLIÉ DE TE REMERCIER POUR M'AVOIR FAIT UN DESSIN POUR LE RP TOUT SIMPLEMENT PARCE QUE JE T'AVAIS DEMANDÉ D'EN FAIRE UN ET QUE TU ES TROP MIGNONNE ALORS TU L'AS FAIT !

Leave the door wide open... mais quelle invitation ! Houlala.
Bon alors déjà, Lucie, je ne veux plus t'entendre dire que tu n'arrives pas à faire de longs messages : il y a ici 1378 mots ! Tu sais faire, et bien faire.

Lucie a écrit:

La jeune femme avait cherché à se rappeler une antériorité, un avant tout ça, le souvenir d'une autre époque où tout aurait été pour le mieux dans le meilleur des mondes. Elle n'avait pas trouvé, et avec un sourire résigné, elle se saisit de la bouteille de bourbon et en arrosa le comptoir d'une nouvelle tournée. Les verres s'entrechoquèrent, et ses compagnons d'un soir louèrent sa générosité d'un ton enjoué et braillard.

Ce décalage entre Isabelle et les autres est frappant. C'est l'image même de quelqu'un qui souffre dans l'indifférence, que l'on ne remarque pas pour ça, avec qui l'on s'amuse sans se soucier du reste. Elle est comme une tache d'encre sur une feuille vierge, une tache de sang sur un drap blanc. Elle dénote, et pourtant elle se fond dans la masse, elle a imprégné la feuille, le tissu. C'est touchant, moi j'ai le cœur qui se serre, pauvre Isa :(

Lucie a écrit:

Dans les premiers jours, la noble avait saccagé ses appartements ; telle une furie, elle avait déchiré, brûlé les traces du passé, ses précieux livres n'y avaient pas échappé... Les mots aussi mentaient, et elle ne se sentait plus capable d'affronter la moindre tromperie. “Une demi-vérité est un mensonge complet” lui avait enseigné l'un de ses ouvrages favoris - il était probablement le seul à avoir échappé au carnage. [...] Il avait suffit à Isabelle de croiser son regard, une seule fois, rien qu'une fois... La culpabilité se lisait sur le visage paternel, elle ne s'y trompait pas : il était bel et bien vivant, après être passé pour mort durant des années. Le dégoût et la colère avaient jailli en son sein, s'étaient répandus dans ses membres, l'enflammant toute entière. Elle avait pris la fuite, avait couru aussi vite et aussi loin de ce monstre que ses jambes le lui avaient permis.

D'un côté, on a envie de dire à Isabelle : "mais espèce d'idiote, il est vivant ! sois heureuse ! sois comme Aria ! saute dans ses bras !" et puis, d'un autre, on comprend. On comprend l'incompréhension ; "T'étais pas mort, pourquoi t'es parti ? Tu nous as abandonnées." (et après, ça dépend des caractères, mais on en a parlé Lucie ; on n'oublie pas, donc j'aurais agi comme Isabelle). Une histoire de famille qui promet... je sens que la V4, ça va encore être chaud pour les Hart x) (surtout en lisant la suite de ce rp mouahaha)

Lucie a écrit:

L'enfant abandonnée avait mis le plus de distance possible entre elle-même et ce monstre : elle avait gagné le sommet de la Haute-Tour. Elle s'était réfugiée parmi les poutres de bois et la poussière, quelque chose l'avait attiré en ce lieu. Peut-être un espoir de protection, la quête d'une véritable affection. Et pourtant l'inventeur avait mis les voiles. Elle avait erré seule durant plusieurs heures dans son antre, jusqu'à ce qu'épuisée le sommeil l'emporte sur ses émotions.

Elle pourra pas dire qu'il ne lui a pas manqué sans mentir... et elle en a marre que les gens mentent (je me dis qu'en fait elle va pas pouvoir supporter Aiden à son retour). Niéhéhé. (il s'appelle emoji coquin XD)
Bon, Aiden ferait la gueule s'il apprenait qu'elle est allée dans son... euh... sa caverne (?) sans son autorisation (il n'aime pas qu'on touche à ses affaires, et en plus, son antre, c'est personnel, non mais - enfin je sais pas comment vous l'imaginez mais personnellement je l'imagine les murs recouverts de dessins, de plans, de notes, pareil pour le bureau, et avec plein d'objets partout, parfois des trucs insolites ; enfin un beau foutoir), mais je ne peux pas m'empêcher de trouver ça un minimum attendrissant, parce que Aisa ♥

Lucie a écrit:

A présent, elle se morfondait dans ce bar miteux, comme chaque soir depuis plusieurs semaines, recherchant l'étreinte consolatrice de l'alcool, et quelque fois de l'homme. Elle se souvenait vaguement d'avoir été plusieurs fois raccompagnée, escortée par un bras viril et assuré, lui avait-elle ouvert la porte ? La jeune femme n'en gardait aucun souvenir, peu lui importait d'ailleurs.

Quand je lis ça, je me dis : j'espère vraiment que Thom Hart n'avait pas l'ambition de faire un beau mariage avec cette fille-là, parce que maintenant ça me paraît assez compromis XD heureusement ça ne fait que 50% de pertes : il reste Aria

Lucie a écrit:

Elle était donc tourmentée par de nombreux doutes, incluant ses questionnements quant à l'existence qu'avait clandestinement mené leur père durant toutes ces années. Et surtout, elle s'interrogeait sur la raison de son retour...

J'espère qu'elle va vite trouver la réponse parce que je veux savoir. Haaan si ça se trouve il vénère le Dieu Noir, comme Alexandre, et il est là pour tendre un piège à ses filles ! Et via Isabelle, ils essaient d'atteindre Katharina et les Trois et boum badaboum guerre mondiale et tout n'est plus que cendres... houlalaaa !

Lucie a écrit:

Elle profita de son avance pour se dissimuler dans la brèche d'un mur ; en position d'attente comme ses maîtres d'armes lui avaient jadis enseigné. Les pas se rapprochèrent et elle attendit le tout dernier moment pour se ruer sur son adversaire. Il bascula en arrière sous l'impulsion de l'assaut surprise, mais l'entraîna avec elle dans sa chute. Son corps lui servit de rempart et il referma ses mains de prédateur sur elle, puis l'homme la plaqua sur le dos. La Hart enragée se débattit mais elle fut bientôt immobilisée par le poids de son adversaire.

J'ai lu ce passage et j'ai pensé : Jaideeen ! Je l'ai dit à Lucie et elle a dit : "La comparaison ne me gêne pas, en fait, c'est la rencontre type des ships qui ne sont pas faits pour durer" :o Jaiden ça dure depuis 9 ans inrp ! 9 ans ! (Même si j'avoue que je suis moi-même obligée de me demander : "mais comment ils ont fait pour se supporter tout ce temps ?" XD mais au fond je le sais ; et en plus il se sont pas rencontrés comme ça ! c'est juste la première fois où ils s'adressent la parole - pour bien commencer) Et moi je ne shippe pas Isa et Alex. Cette relation, ça va juste ressembler au syndrome de Stockholm, et c'est hyper malsain ! (Je viens de penser : Isa est à la place d'Aiden et Alex à la place de Juliet... c'est très étrange... je ne crois pas aux coïncidences.)

Lucie a écrit:

Il éclata d'un rire tonitruant et la rage de la lionne s'accentua, elle lui cracha en plein visage. Le poing du géant s'abattit au sol à quelques centimètres de son épaule ; mais il ne l'effrayait pas, tout du moins ne l'effrayait plus... Son geste, ou plutôt son manquement, venait de révéler ses intentions : il ne la blesserait pas. [...] « C'est donc toi le nouveau clébard de mon père ? Chargé d'espionner l'enfant révoltée...  ! »

"La lionne" : je suis une visionnaire, voilà, de rien, ne me remerciez pas, ça me fait plaisir.
Enfant révoltééée ! en y pensant, y'a un paquet de révoltés sur ce forum... et la révolte insatisfaite crée des frustrés !

Lucie a écrit:

Isabelle avait agi en connaissance de cause : elle avait laissé la porte grande ouverte et était sortie. Il était venu à sa rencontre.

Quand je lis le titre du rp et ces dernières phrases, je pense "sexe". Je ne me l'explique pas ; mais il fallait que je vous en fasse part.

Maintenant que j'ai lu ça (et deux fois !) j'ai encore plus envie de voir le personnage de Sha, et encore plus envie que Lucie réponde à A l'ombre des jardins, et encore plus envie de plonger dans la V4, et encore plus envie d'en découvrir l'intrigue et toutes ses ficelles et tous ses protagonistes. Allez, hop hop hop, on va rp !

___________

Ah et je voulais faire une mention spéciale pour Marianne qui a écrit dans TMSLL :

Marianne a écrit:

Le soleil entamait sa fusion sanglante avec l'horizon et un léger courant d'air agitait le tissu des rideaux. Une agréable soirée en perspective. Il se retourna vers la jeune femme, dont la silhouette engageante était élégamment soulignée par les rayons lumineux. Il s'apprêtait à reprendre la conversation mais se tut, subjugué. Elle n'était jamais aussi belle que dans l'inconscience du regard d'autrui. Il brûlait d'envie de mettre un terme à leur discussion, abandonnant les mots pour d'autres moyens de célébrer cet affranchissement nouveau. Mais il n'en fit rien. L'attente éveillait le désir, et le moment de l'abdication n'en était que plus savoureux. Il voulait voir qui d'entre eux cèderait en premier et se délectait de l'idée d'éprouver la résistance de sa partenaire.

Ce passage est juste trop top, je crois que c'est mon préféré. J'adore la description du début, j'imagine vraiment bien le décor. Et puis le regard qu'il a pour Aria... c'est tellement bien dit, on sent qu'il l'aime. Enfin un peu de douceur dans ce ship de brutes !

Ce solo avec Arianna était simplement incroyable, mêlant des images très poétiques et un style hyper élégant. M'enfin vous vous doutez bien qu'une obsession bien installée ne laisse pas de répit...

Clémence a écrit:

La jeune femme jeta un regard noir vers le papier froissé entre ses larmes naissantes. Pour ces quelques lignes écrites à l'intérieur, elle le haïssait, mais plus que tout elle haïssait celui dont le nom était écrit à la fin. Celui qui l'avait trompé, qui s'était joué d'elle, encore, et naïve elle s'était laissé faire, encore. N'avait-il pas eu l'occasion de lui dire, n'avait-il pas eu l'opportunité de la prévenir lorsqu'ils étaient ensemble oh le vil avait du rire en voyant combien elle s'attachait à lui (non, non, nON), sachant que ces intimes moments de tendresse lui seraient bientôt arrachés par une autre femme. Elle se sentait trahie dans l'affection qu'elle lui avait accordé, dans la confiance qu'elle lui avait aveuglément donné, dans l'intimité qu'ils avaient partagés. Noyés dans son coeur sous une vague de colère, tout ces moments semblaient faux à présent, morts, comme des cadavres tombant vers le fond de l'océan.

                       

Clémence a écrit:

La tête sur l'oreiller, elle jeta un coup d’œil vers l'espace vide à côté d'elle puis songea aux fois où cet espace fut comblé, à toutes ces fois où il aurait pu lui dire et où il ne l'avait pas fait, à toutes ces fois où elle l'avait aimé et où il l'avait trompé. Pourquoi lui aurait-il dit après tout ? Une trahison n'est que plus violente lorsqu'elle est découverte ainsi, de la bouche d'un autre et lorsqu'on ne se doute de rien.

Clémence a écrit:

« Je suis prête » murmura-t-elle dans la nuit noire, à présent l'obscurité ne lui faisait plus peur, elle la réconfortait, comme si Thenaar était là à ses côtés, veillant sur elle pendant que les dieux traîtres

Mais que quelqu'un aille la sauver ! pauvre âme en peine

Ohmais mais mais ...................................... *-* Ce post m'a fait rire et m'a serré le coeur. Je suis partagée entre deux ships. Mais en fait je shippe trop trop Aisa ... Isa a tellement changé et pour ça Lucie, franchement je t'admire. Wow quand tu lis les trucs d'Isabelle du tout début, ou même à la Lune de Sang, mais y'a pas photo. Isa a grandi. Aaah nos enfants x))
Ma-gni-fi-que message ! Et Lélé m'a dit qu'il y avait déjà une suite à CDA alors ... fan d'Isa en mode furie !!!!!!!!

Citation :

. Leur désir mutuel se fit plus pressant et l'audacieux la fit basculer, son corps se colla à celui de la jeune femme. Un demi sourire victorieux éclaira ses traits, mais Isabelle s'en contrefichait - le sexe n'offrait aucun perdant - il fondit sur elle et à nouveau ils mêlèrent leurs lèvres, le feu embrasa ses joues. La belle brune n'était plus que volupté, elle s'abandonnait toujours plus à ses caresses, l'espace d'une nuit le temps s'arrêterait. Mais la Hart n'était pas en reste, l'inventeur cédait peu à peu du terrain, et elle se fondait avec perversion dans cette nouvelle brèche. Son corps s'arcbouta, ses membres aspiraient à davantage. Leur bestialité refit surface, et Aiden l'accola brutalement contre un meuble. Un gloussement rauque roula dans sa gorge et il la fit aussitôt taire. Ils voulaient tous les deux se libérer de leurs chaînes, défier l'autorité qu'on leur imposait, tout faire basculer, tout détruire...

Citation :

Le jeune homme s'était figé ; Aiden la dévisageait avec intensité, cherchant une vérité encore inconnue derrière ses iris. L'impatience de sa partenaire s'accrut, le sang battait follement à ses tempes et son souffle se saccadait ; tout son être appelait l'inventeur à agir, à la prendre tout entière, à la détruire pour mieux la reconstruire. Et, il l'embrassa à nouveau avec davantage d'empressement. Ils se découvraient mutuellement dans cette intimité, nouvelle, tout autant dominant que dominé. Le génie la souleva et passant ses bras autour de son cou, elle s'offrit à lui - et oublia ses réticences passées. Aiden entrait en elle, ses coups de rein étaient puissants, exaltants ; il brisait ses remparts. Isabelle sut en cet instant qu'il était celui qu'elle avait toujours cherché, sa complémentarité, son opposé, un monstre comme elle, le seul capable de l'aimer ou de la détruire.

OH MY.

Je sais pas si je suis hystérique d'amour ou folle de jalousie (modejulietrageuse)
Ca doit être un mélange, avec une pincée d'euphorie grisante et de rage passionnée. Je m'embrouille je crois. La frustration me gagne.
Expiasérie aura ma peau

Citation :

Il reposait sur le dos, son torse se soulevant lentement au gré de sa respiration. Isabelle contemplait cet être terriblement imparfait, dont elle était devenue la maîtresse.

Ca y est je reconnais ce sentiment.
C'est de la jalousie, de la jalousie, pure et simple jalousie

Citation :

A présent, Isabelle savait qu'il avait le pouvoir de la mener à sa perte. Qu'il avait tous les pouvoirs... Il n'y avait jamais eu de sentiments entre eux, seulement une étrange attraction qui avait pris source dans leur première rencontre. Comme des aimants.

Hannn

Les citations, qu'est-ce que je ferais sans ce sujet ? Héhé

Au tour de Shainteté parce que LF c'est un rp chiuhzroifh !

Citation :

Les larmes, perles du désespoir, se déversaient frénétiquement, la tristesse et le désespoir s'écoulaient brutalement de ce corps fébrile, secoué par d'hideux sanglots. Sous le poids du chagrin, la dépouilla ploya vers le sol, là où était son destin; à terre, piétinée par les autres, par la vie, par la mort. Telle était leur malédiction à toutes les deux, peu importait combien de fois elles se relèveraient et s’élèveraient, elles étaient condamnées à mordre la poussière gorgée du sang de leurs ancêtres.

Citation :

Une vie pour une vie, voilà ce qu'il s'était donc réellement passé. Voilà pourquoi Lady Airwer, autrefois Lady Hart, était morte, pour sauver sa fille, bien qu'elle n'en avait pas eu conscience lorsqu'on lui passait la corde autour du cou, persuadée que son exécution expirait ses années de péchés, et non le seul crime de sa chair. Crime qu'elle aussi avait pourtant commis par le passé : aimer. Pour s'adonner à son amour interdit, Lady Airwer avait dénoncé son mari, l'amenant à une mort certaine; pour sauver sa soeur, Isabelle avait fait bien pire que dévoiler des faits et des secrets, elle n'avait pas hésité à tuer. La mère et la fille, deux pêcheuses pour une seule potence.

Citation :

Les sourcils de la jeune femme se froncèrent. Que faisait William dans cette histoire ? A l'évocation de ce nom, elle sentit son cœur se serrer et encore d'avantage quand elle imagina une possibilité à laquelle elle n'avait jamais songé auparavant, celle qu'il l'aimait. A cette idée, elle esquissa un léger sourire tout en gravant intérieurement ses mots dans son esprit, se jurant de s'en souvenir la prochaine fois qu'elle le verrait.

Ohhhhhhhh !

Citation :

Ce n'était surement qu'une maigre consolation, l'idée qu'elle aurait pu accepter sa mort avec le sourire, sachant que ses funérailles éviteraient que l'on célèbre celles de sa fille. « Parce que c'est ce que fait une famille... On se protège et on veille les uns sur les autres. »

Citation :

Soudain, une voix retentit derrière les colonnes sombres. « De très belles paroles... » Surprise, la jeune fille sursauta. « Qui va là ? » tonna-t-elle, mais la voix ne lui répondit pas, se contentant de continuer sur ses premières paroles. « ...Qui furent déjà dîtes dans des circonstances tout aussi tragiques. » L'homme s'avança, franchissant le seuil d'obscurité pour montrer son visage. Isabelle, déjà, semblait prête à foncer sur lui et le frapper de toutes ses forces. Arianna, les yeux écarquillés de stupeur, était comme paralysée. « Non... c'est impossible. » souffla-t-elle. Déjà, ses yeux se remplissaient de larmes chaudes. « Papa ? » On aurait presque pu entendre une enfant dans sa voix tremblante. Lentement, un sourire se dessina sur les lèvres de l'homme. « Mes filles... » commença-t-il avec émotion « ... je savais que ce jour viendrait; le jour de la réunification de notre famille. »

OOOOOOOOOOOOOOOOOHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH

Houlalalalala

Hoooouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuulalalalalallalalallaallalala

Han

Choquée

Houuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu que ça promet

Mouahahahah

*se frotte les mains*

J'aimerai tout citer.
C'est juste ... puissant.

https://expiation.forumactif.org/t513-leave-the-door-wide-open#4599

ça fait plusieurs jours que je dois le faire, mais comme je suis fainéante et que je reporte tout j'ai traîné.

J'avais beaucoup aimé le long post de Katharina au procès d'Aiden mais je crois que j'aime tout autant voir plus le solo d'Arianna dans "ça va et ça vient".

Arianna a écrit:

C
a va et ça vient par vagues. Elle était venu à croire que c'était ainsi, par vagues, frappant le rivage de plein fouet et s'effaçant aussitôt, laissant place à une vague suivante, tout aussi violente. La vie était une mer, les hommes avaient beau tenter de la dominer, elle n'avait et n'aura toujours qu'une seule maîtresse, les vagues. A la fois part d'elle et entité différente, sortant de son sein mais crées par des événements extérieurs. La houle était sienne, mais pourtant elle lui était insaisissable. Calme et déchaînée, neutre et passionnée, la vie est une mer, une mer faîte d'instants, passés, présents et à venir, une mer dont les vagues d'émotions frappent de plein fouet ceux qui ont encore la tête hors de l'eau dans l'espoir de les faire couler, les traînant vers le fond, là bas, dans le monde submergé, dans les abysses sombres, là où le soleil ne brille plus et où la vie à la fois perd et prend tout son sens : la mort.

A mon goût, j'aurais pu citer tout le premier paragraphe, mais bon il fallait choisir. Et j'aime vraiment particulièrement cette métaphore avec la mer (je suis certaine qu'Aiden et Léa aussi x) ) C'est vraiment très beau, très harmonieux. ♥

Arianna a écrit:

Ça va et ça vient par vagues, et une fois que l'on est remis du choc d'une vague, que l'on pense que tout va bien, que tout est enfin pour le mieux, que tout ira bien, une autre vague nous frappe.v

♥

Arianna a écrit:

La jeune femme jeta un regard noir vers le papier froissé entre ses larmes naissantes. Pour ces quelques lignes écrites à l'intérieur, elle le haïssait, mais plus que tout elle haïssait celui dont le nom était écrit à la fin. Celui qui l'avait trompé, qui s'était joué d'elle, encore, et naïve elle s'était laissé faire, encore. N'avait-il pas eu l'occasion de lui dire, n'avait-il pas eu l'opportunité de la prévenir lorsqu'ils étaient ensemble oh le vil avait du rire en voyant combien elle s'attachait à lui, sachant que ces intimes moments de tendresse lui seraient bientôt arrachés par une autre femme. Elle se sentait trahie dans l'affection qu'elle lui avait accordé, dans la confiance qu'elle lui avait aveuglément donné, dans l'intimité qu'ils avaient partagés. Noyés dans son coeur sous une vague de colère, tout ces moments semblaient faux à présent, morts, comme des cadavres tombant vers le fond de l'océan.

Aria m'émeut trop ! J'ai tellement de peine pour elle... et maintenant Will et Serena sont des monstres à mes yeux ! Mais que serait la famille Hart sans un bon gros drama ? Et je crois que la suite du post va confirmer ce que j'en dis !

Arianna a écrit:

Déjà, son esprit était ailleurs, loin de la trahison du cœur, alors que ses yeux s'attardait sur l'immense tableau noir autour d'elle, elle se demandait si c'était réel. Thenaar, la Guilde, son père, ils lui avaient tous promis que sa place était auprès d'eux, qu'elle appartenait à leur cause, qu'elle était importante, qu'ils étaient ce qu'elle avait cherché pendant des années. Elle se demandait si c'était vrai, d'abord septique, puis enthousiaste, à présent elle appréhendait l'excitation qui montait en elle chaque fois qu'elle pensait à eux. Elle voulait que ce soit vrai, et c'est peut être ce qui lui faisait le plus peur.

RESISTE PROUVE QUE TU EXISTES BON SANG !

Arianna a écrit:

Au début ils avaient passé du temps ensemble, il disait vouloir tout savoir de ce qu'il s'était passé durant son absence. C'est avec allégresse et tristesse qu'elle lui avait raconté tout depuis sa mort : son arrestation, son interrogatoire, sa libération, la mort de sa soeur, sa fuite, son expérience de voleuse, sa rencontre avec Charlie, Talisa, Maximilian, elle passa sous silence une partie de ses aventures avec Teresa, encore honteuse de ce qu'il s'était passé, elle lui raconta comment elle avait rencontré Isabelle, leurs débuts difficiles, puis l'affection qui était née entre elles. Le père écoutait sa fille en silence, une fois il s'excusa de ne pas avoir été là pour la protéger, de l'avoir abandonné ainsi. Cependant chaque fois qu'elle lui demandait ce qu'il avait fait toutes ces années, il restait évasif, disant qu'il raconterait tout en temps voulu. Jusqu'au jour où ce temps fut venu.

Argh j'aime pas cette façon malsaine dont il en apprend sur Aria/Isa, mais OH MON DIEU la dernière phrase !

Arianna a écrit:

« Tu n'as pas besoin d'être une Enfant de la Mort pour être une Enfant de Thenaar. Tu es ma fille, et cela fait de toi une Victorieuse. La marque au dos de ton épaule, c'est celle de Thenaar. Nous sommes ces descendants directs, ceux des premiers hommes qu'il a crée avant d'être emprisonné par les dieux traîtres. Tu es des nôtres par ton sang, car c'est celui de Thenaar qui coule dans tes veines. Tu es sa fille comme je suis son fils. Nous sommes nés pour accomplir de grandes choses Arianna.

Ohhh *-* ♥

Arianna a écrit:

Allongée sur son lit, elle pensa au Dieu Noir. Etait-il vraiment sa destinée ? La simple évocation de cette idée l'a faisait trépigner d'impatience. Depuis qu'elle l'avait découvert, tout avait prit un sens, tout ce qu'elle n'avait jamais su expliquer jusqu'à aujourd'hui, à présent la poids de ce qu'elle avait longtemps cru être une malédiction s'était allégé, elle n'était plus seule, non, elle ne serait plus jamais seule maintenant qu'elle avait Thenaar. Elle n'attendait plus qu'une chose : être initiée. Elle avait voulu attendre, pour être sûre, mais maintenant qu'elle y repensait il n'y avait plus aucun doute. « Je suis prête » murmura-t-elle dans la nuit noire, à présent l'obscurité ne lui faisait plus peur, elle la réconfortait, comme si Thenaar était là à ses côtés, veillant sur elle pendant que les dieux traîtres sommeillaient.

Non, non, non, non, non ce "je suis prête" n'occasionne rien de bon ! Je meurs ! Je meurs ! Aidez-moi ! Tellement emballée et pressée que l'on passe à la suite !!!!!!

♥

Lucie a écrit:

Isabelle avançait en funambule dans la nuit noire. Les yeux fermés et les bras étendus avec volupté, elle laissait le vent la porter, l'emporter, loin, loin d'ici, ailleurs, encore et toujours plus. Les ténèbres l'enveloppaient, la caressaient perfidement, avidement, et elle épousait avec plaisir cette étreinte dangereuse. Elle oscillait d'un pied à l'autre, tanguait, perdait l'équilibre puis le regagnait, elle entrecroisait ses longues jambes, continuait son ascension, son cheminement. Elle ne vivait que pour ses instants sur le fil, perchée dans les airs, la tête dans les étoiles.

Isabelle, mon ange *-* Vous l'imaginez pas trop bien en ange dans sa robe blanche fouettée par les vents, les yeux plein d'étoiles (même s'ils sont fermés) et la tête pleine d'espoirs ? Je refuse l'image d'une dépressive qui joue au plus malin avec la mort, non non non.

Lucie a écrit:

Il lui semblait parfois être l'unique à percevoir les enjeux de l'existence : s'envoler. Haut toujours plus haut. Elle rejeta la tête en arrière dans un geste de total abandon, elle se dressa sur la pointe des pieds et leva les mains vers le ciel : Un jour, elle s'envolerait et jamais plus elle ne remettrait les pieds sur terre, elle explorerait le ciel et son horizon, le bout du monde...

Aiden aussi il veut voler ! Comme ils doivent aussi brûler Vivendale, je te propose qu'ils se mettent en quête d'un dragon.
Le bout du monde...

Lucie a écrit:

La jeune Lady n'avait jamais eu de ses petits pieds charmants, desquels les danseuses s'élèvent et tournoient. Ses pieds étaient allongés, squelettiques, les veines se dessinaient au commencement de la jambe - et pourtant nul autre n'aurait pu égaler la grâce de la jeune femme lorsqu'elle s'apprêtait à voler.

J'aime beaucoup ce petit détail, cette description supplémentaire. Je ne sais pas trop pourquoi... En fait, c'est comme des pattes d'oie ou de canard (je vais retenir canard parce que c'est mignon et que j'aime pas les oies). C'est moche, mais c'est pratique ! (bon, les canards, c'est pour nager, mais passons, ça reste utile)

Lucie a écrit:

Ici personne ne la troublerait ; elle avait chassé Alexandre au loin après sa requête, il voulait seulement la pousser dans la gueule du loup. Comme tous les autres. Mais il ne s'aventurerait pas ici, elle le savait, sa menace avait été claire. S'il la suivait cette nuit, elle n'hésiterait pas... Mais dans son refus catégorique, il lui semblait perdre quelque chose d'essentiel : Arianna.

Moi aussi je veux savoir ! Viens Marianne on mène l'enquête pour connaître la requête !
On parle des ships... mais les sœurs Hart, c'est pareil. Des montagnes russes ! J'irais pas jusqu'à dire, comme Marianne, "mariez-vous ou tuez-vous", mais bordel aimez-vous, soutenez-vous, kickez les ass des vilains, et fondez une belle famille ! (pas ensemble, ce serait plus pratique ; enfin, vous faites ce que vous voulez... après tout, j'adore Cersei Lannister)

Lucie a écrit:

La Hart était troublée bien plus qu'elle ne souhaitait l'admettre, et à ses questionnements s'ajoutait une rumeur croissante : le retour de l'inventeur maudit, Aiden Ruthendell. Elle n'était pas certaine de son ressenti, ils avaient passé une nuit d'amour, puis il avait disparu. D'une certaine manière, peut-être que l'éloignement avait préservé leur intégrité ; l'espace de quelques heures ils avaient détruit leurs murs respectifs, il n'y avait plus eu aucune limite. Ils avaient été vulnérables. Dangereusement vulnérables. Le départ précipité du Vivendalais y avait mis un terme, et c'était probablement pour le mieux. Et pourtant... Isabelle sentait encore la caresse de son souffle chaud sur sa peau, si vivifiante, tentante... Sous lui, dans l'étreinte de ses bras, et alors qu'elle cédait un toujours un peu plus de terrain, elle s'était sentie entière. Comme intouchable. Plus rien n'aurait pu l'atteindre, si ce n'est lui : et cela ne devait plus arriver.

Vulnérables... c'est tellement ça. Et c'est probablement une des choses que détestent le plus nos deux personnages... mais ils sont prêts à recommencer leur "bêtise" ; et puis non, parce que trop déshonorant, trop affaiblissant, trop effrayant. C'est un vacillement comme celui d'Isabelle la funambule dans la nuit noire, c'est délicieux, c'est dangereux, c'est repoussant, mais c'est pour toutes ces raisons que ça les attire. Piou... pouahlala. Brrr.

Lucie a écrit:

La curiosité la titillait, mais elle résolut à s'immobiliser, à préserver son intimité. Ne l'avait-elle pas déjà violée en s'aventurant dans son antre ?

Ouuuh ouh la la oui ! S'il le découvre... hum-hum ! Il va pas être content. Au début j'ai trouvé que "violée", c'était fort, mais en fait... y'a tellement Aiden dans ce bordel. C'est une grosse partie de son cerveau, aussi bien artistique/émotionnelle que scientifique/réflexive qu'il y a là-bas. Alors... beuh.

Lucie a écrit:

Elle leva les yeux au ciel, il lui semblait toujours qu'à travers chacune de ses paroles, Aiden l'interrogeait, la provoquait. Il remettait en question ses choix et ses actions, leur conversation n'était rien de plus qu'un « Pourquoi, Isabelle ? » inaudible.

Que serait Aiden sans provocation ? Pas grand chose ! Puis Isa, elle lève les yeux au ciel, mais elle est pas mal dans son genre hein x)

Lucie a écrit:

La Hart reconnut la lueur joueuse qui s'éveilla dans ses prunelles, la danse au bord du précipice, la partie d'échec, le jeu du chat et de la souris, tout allait reprendre.

Effet miroir ! "Et que tout le reste recommençait". "Danse au bord du précipice" : on parlait de pyromanie l'autre jour... ils doivent être un peu pareils XD

Lucie a écrit:

Elle soupira et enroula distraitement un brin d'herbe autour de son annulaire. « Oui. » Elle avait été honnête, tout en sachant qu'il ne lui accorderait pas ce luxe. [...] « Mais je suis certaine que ce n'est pas une bonne chose. » Autour d'eux, la nuit s'était tue. L'attraction de ses deux âmes perdues prenait le dessus sur tout. Ils étaient monstrueux et magnifiques, complémentaires et opposés comme deux aimants.

(Je te préviens, je finis cette citation avec en fond La Marseillaise chantée par l'équipe de France féminine de basketball - match contre les USA que non je ne regarderai pas jusqu'au bout). J'adore ce soupir d'Isa, c'est tellement "pourquoi s'obstiner" ? (ou "il me saoule", mais je préfère le "pourquoi s'obstiner" XD) Et si si c'est une bonne chose, même Lucie ta créatrice le sait au fond d'elle-même, c'est bien qu'Aiden te manque, ne nie pas, allez, chut chut chuuut (ça fait 10 minutes que je regarde le match au lieu d'écrire, ce commentaire va devenir n'importe quoi, je ferais mieux de m'arrêter mais je voulais absolument dire que les dernières phrases sont tops, je déteste ce sentiment de fatalité mais c'est joliment dit). Voilà, bisous ! (t'as de la chance je me souvenais bien de ce que j'avais écrit avant que la pub ne vienne m'embêter ! C'est presque authentique du coup !)