Les citations de rp

Je meurs je meurs je meurs ......................................

Déjà SEYRANE ET AIDEN QUOI !! Po po po !!!!!!!!

Mais lààààààààà ................. Oh my

Aiden a écrit:

C'est aussi ce qu'Aiden a pensé. Il est sorti de la Haute-Tour, sa prison de toujours, pour profiter des rayons solaires, de la présence des visages, de la chaleur des corps, de l'ébullition des voix. Il parcourt les rues, plongé dans ses pensées. De son côté, Seyrane a aussi décidé de se laisser aller sous l'astre de jour. Et c'est alors que, devant l'échoppe d'un fleuriste, les deux êtres se croisent. L'inventeur revoit le résultat de ses méfaits, la colère, et Seyrane revient à la source de ses malheurs, la corruption.

Aiden a écrit:

Les hommes possédaient une part d'animalité, mais elle était corrompue par leur humanité.

Aiden a écrit:

Aiden passa une main sur une étoffe pourpre. Des dizaines d'autres l'entouraient. Les tissus et les couleurs se mêlaient dans une dysharmonie réjouissante. Il avait interdiction de quitter l'enclave durant un certain temps. Le marché et ses délices venues d'ailleurs constituaient une de ses rares distractions.

Aiden a écrit:

L'image de Juliet et de ses doux iris bruns vint se poser sur celle de l'étoffe. Il cligna des yeux et se redressa. Il ne l'avait pas revue depuis le procès. Pas un signe, pas une lettre, rien. Ce ne serait pas lui qui ferait le premier pas, qui le premier prendrait la plume pour lui envoyer des mots. Si elle le cherchait, elle savait ou le trouver. Sinon, tant pis. Il en avait assez de jouer à ce petit jeu. C'était terminé. Il avait récupéré cette liberté-là. Il n'avait plus à avoir peur. Et pourtant... pourtant, tu as peur qu'elle ne vienne pas, murmurait une petite voix.

Aiden a écrit:

Pauvre Juliet, si jolie, si douce, si enivrante, et cependant totalement enivrée, violentée et enlaidie par les Trois. Elle ne s'en rendait même pas compte.

Parfaite description, rien à redire c'est totalement ça !

Aiden a écrit:

L'artiste s'arrêta à nouveau mais, cette fois-ci, devant un fleuriste. Les parfums des fleurs se confondaient et entêtaient aisément, tout comme leurs pétales colorés étourdissaient facilement. Aiden rejeta la vue d'ensemble : mieux valait s'attarder sur les détails. Les sens s'en accommodaient mieux. Sur la première rangée, des lys blancs, rouges et jaunes s'enlaçaient. Il passa l'index sur le pétale de l'un d'eux, pensif.

Aiden a écrit:

C'était bien elle. « Lady de Larant ! » Ses yeux pétillaient de malice. « Quel plaisir de vous revoir. Je pensais que vos parents et vous auriez fui la ville, par les temps qui courent. »

Dans ma tête ça fait "casssééééé" (oui oui je suis une vieille)

Aiden a écrit:

Comme à son habitude, la noble portait une tenue adéquate à sa sortie, mais tout en élégance, ce qui rehaussait sans mal sa beauté naturelle. Et, comme à son habitude, le génie arborait le sarcasme avec aisance, et tout en tranquillité, ce qui ne le rendait que plus agaçant.

Magnifico !

J'aime tellement Aiden. Et j'aime tellement Seyrane .. Genre les deux chouchous de toujours, réunis ! (coeurs dans les yeux)
C'est magnifique !

Seyrane a écrit:

Il lui semblait que des années s'étaient écoulées depuis la dernière fois qu'elle y avait mis les pieds. Quoi qu'il en soit, ce lieu singulier où se côtoyaient toutes les castes - et désormais, les Témériens - n'avait pas perdu de son charme et offrait le même spectacle bariolé. Les étals de denrées alimentaires, d'étoffes, de bibelots, de fleurs. Les marchands d'esclaves, autrefois. S'il n'y avait qu'une chose à retenir du jeune règne de Katharina, c'était bien l'abolition de l'esclavage. Il lui était difficile de trouver des aspects positifs à l'invasion témérienne mais au fur et à mesure que les jours passaient, elle constatait que le système vivendalais avait bien besoin d'être bouleversé.

Noooooooooon résiste à Kath ma douce Sey, résiste !!!

Seyrane a écrit:

Seyrane flânait entre les étals, effleurait des doigts une étoffe ou humait les arômes des épices sans avoir conscience des quelques visages qui se retournaient sur son passage. Certains admiraient seulement son teint frais, mais les commères jasaient déjà sur l'apparition publique d'une jeune femme qu'on n'avait pas vue depuis plusieurs semaines.

Tellement élégante. Encore un superbe portrait de la belle Seyrane ! *pouce en l'air*

Seyrane a écrit:

La jeune femme adopta un air dégagé et s'approcha discrètement de sa cible, jusqu'à être presque contre son dos. Elle leva le bras puis suspendit son geste et réfléchit un instant. Le blond ne savait probablement pas quelle serait la raison de cette abordage. Elle-même, avant de le reconnaître, avait oublié cette histoire depuis un long moment. Mais la rancœur est tenace, et le visage d'ange du jeune homme se détachant dans la foule lui avait rappelé que certains comptes étaient en suspens.

J'imagine trop la scène *-*

Seyrane a écrit:

De toute façon, qui aurait prêté à Seyrane d'autres intentions que la plus innocente envie de converser ?

Seyrane a écrit:

Il se retourna lentement et lui offrit un des charmants sourires dont il avait le secret. Si elle n'éprouvait pas un agacement aussi désagréable à sa vue, elle pourrait presque apprécier ces yeux pétillants.

Seyrane a écrit:

« Elles sont effectivement superbes mais... les lys ne sont pas ce que je préfère. » acheva-t-elle en posant fermement sa main gantée sur le bras d'Aiden, lui intimant d'une infime pression de retourner à sa place.

Tout ce que je viens de citer est VRAIMENT genre VRAIMENT magnifique.

Comme je disais à Léa sur la cb, y'a des personnages qui nous collent à la peau. Aiden va parfaitement bien à Léa, elle aime le jouer et le joue à la perfection. C'est différent, c'est multiple et c'est toujours nouveau. Pour Marianne c'est pareil, Seyrane lui colle à la peau. Seyrane est Marianne. Délicate, généreuse et adorable, sensible, presque susceptible, en contrôle en apparence, un peu égarée à l'intérieur, rebelle et revêche, modeste et modérée.
C'est pour ça que je suis si fan du duo. Ce sont deux personnages que j'aime à la folie parce que j'aime à la folie les joueuses.

Naheda a écrit:

Katharina était déjà assez clémente de leur accorder le droit de s'exprimer. Si c'était la jeune femme qui en aurait eu la charge, cela ferait longtemps qu'ils seraient déjà tous exécutés.

Mais cette Bel alors ! xD

Naheda a écrit:

L'air doux et frais fouettait son visage, mais elle n'était pas là pour une promenade de santé. La Témérienne s'arrêta juste devant un attroupement de quatre hommes qui discutaient entre eux en s'esclaffant. Elle les fusilla du regard de ses prunelles émeraude, puis en dégainant soudainement sa dague, elle trancha la gorge de l'un des gardes qui s'effondra sur le sol.

C'est normal que je rigole quand les perso de Bel tuent des gens ?

Robb a écrit:

Naheda était d'un tempérament vif et brusque, et la narguer était enfantin. Mais on avait tantôt oublié un si mauvais caractère devant de si nombreux charmes : le regard des hommes glissait sur ses lèvres roses d'enfant boudeuse, et d'un battement de cils ils étaient siens. Elle était aussi sauvage qu'un étalon avec sa chevelure au vent dans les dunes de sable des déserts. Insaisissable. Et ses hypnotisant yeux verts achevaient de séduire les cœurs les plus secs. Naheda incarnait la beauté témérienne dans toute sa splendeur.

Quel portrait ! :o

Robb a écrit:

Ce qu'il voulait ? Oh de nombreuses choses... Il la rejoignit d'un pas léger et la tête haute ; elle avait beau nier, il parvenait toujours à la mettre hors d'elle-même.

J'aime trop Robb ! xD
Les deux vont vraiment de paire, ce rp est hyper chouette !

Naheda a écrit:

« Ce traître, crois-moi que je vais le retrouver et il payera pour ses actes. Le sang répond par le sang. »

Bel qui a trop regardé The 100 ^^

Robb a écrit:

Naheda était une combattante sans précédent : brillante et avertie, avec un instinct hors pair, un magnétisme inné suscitant le respect de tout homme. Mais elle demeurait une femme de cœur, d'émotions ; un être qui par attachement serait prête à tous les sacrifices, à toutes les inepties. Et cette faiblesse, l'espion témérien en avait parfaitement conscience. La jeune femme avait commis un impair en laissant sa fureur éclatée : elle était blessée, profondément atteinte. Robin allait prendre un plaisir à remuer le couteau dans la plaie !

Robb a écrit:

« Mais pourquoi ne pas avoir lever le moindre petit doigt ? Vois-tu je n'étais pas concerné... puis je dois reconnaître avoir été fasciné par ton joli visage déconfit et stupéfait ! » Il lui caressa furtivement la joue, retirant sa main tout aussi rapidement pour ne pas être dévoré par la bête.

Naheda a écrit:

Ses douloureux souvenirs remontaient à la surface. Ils lui rappelaient qu'elle avait fait une grosse erreur, que ses sentiments l'avaient menée à cette situation. Son amour envers un Ombrageux avait été une faiblesse. Cette maladresse lui avait été fatale et avait conduit à l'exécution d'un de ses plus proches amis. A qui la faute ? Elle ne pouvait que se blâmer elle-même. De toute façon, il était trop tard pour faire machine arrière.

Ouuuuh révélation !! o-O

Naheda a écrit:

« Oses me toucher encore une fois et je t'arrache les doigts un par un pour les donner aux écureuils en guise de repas. »

XD

On m'a demandé de citer, je cite ! (désolée c'est long, mais y'a vraiment beaucoup à citer !)

Aiden a écrit:

Aiden la suivit des yeux un instant avant de se détourner. Ses pupilles se posèrent sur l'orbe ronde et blanche de l'astre nocturne. C'était une petite victoire. Il ne s'en contenterait pas.

Caaaalme tes ardeurs mon mignon ! :o

Aiden a écrit:

Le lion lui-même nécessitait parfois de paraître pour un lionceau. On se focalisait sur ses grands yeux emplis de douceur, sur son pelage soyeux, et on oubliait que sous les babines se cachaient les crocs, que derrière les coussinets se terraient les griffes.

Aiden a écrit:

« Aiden ! » Il tourna la tête et vit s'approcher une femme parée d'une somptueuse robe lilas. « Dame Sidna. » répondit-il avec un sourire. « Nous vous cherchions. » Comme elle arrivait à sa hauteur, elle passa élégamment son bras sous le sien. « Vous me cherchiez ? » Il arqua un sourcil. « Vous avez promis une danse à mon aînée. » - « Vraiment ? Je fais de drôles de promesses... » La jeune femme éclata d'un rire cristallin. « Ne lui causez pas du tort ! » - « Dans ce cas, vous conviendrez qu'il vaut mieux que je ne danse pas avec elle. Je crains qu'étant donné les temps qui courent... sa réputation en serait quelque peu ternie. » - « Mais... » Il leva la main pour l'interrompre. « Je suis certain qu'elle ne m'en tiendra pas rigueur, puisque je suis plus que sûr de ne jamais avoir proposé une telle chose. Passez le bonjour à votre père. » Avec délicatesse, il se défit de son emprise. « Aiden... » Il allait s'éloigner, mais il se ravisa et ajouta : « Et dites-lui, avec tout le respect que je lui dois, que je ne suis plus à sa disposition. Il a perdu sa place, et j'ai perdu la mienne. » Pour le moment. Viendrait un jour où Katharina aurait besoin d'un homme tel que lui. Il inclina la tête en guise de salut, et quitta la jeune dame.

Marion happy !!!!!!!!! :D
Dans ma tête : Sidna ? Il t'a CASSSSSEEEEEEE !!

Aiden a écrit:

Il se laissa penser quelques minutes, scrutant la foule harmonieuse, puis se redressa, vida sa coupe d'un trait, la posa in extremis sur le plateau d'un serveur qui passait, et s'en alla.

J'imagine toujours la scène parfaitement quand on parle de poser son verre in extremis sur un plateau héhé

Aiden a écrit:

Il se glissa dans l'allée et fit comme s'il venait de les apercevoir : « Ah, vous voilà ! » lança-t-il en frappant dans ses mains, l'air réjoui.

Mais ce jeu d'acteur !! *admirative*

Aiden a écrit:

Elle fit un signe de tête et son collègue jeta la fuyarde dans les bras du menteur, comme s'il lui froissait hargneusement sur le torse une liasse de paperasse dérangeante. Dans des cliquetis, ils s'éloignèrent.

Jetée dans ses bras *-* Mais c'est pas un rp ce truc, c'est un fillmmmmmm !!!!!!
Ennncooooree *bave*

Aiden a écrit:

Comme elle le repoussait, il retira les mains qu'il avait posées sur ses épaules pour la rattraper. Il les garda levées devant lui. « Houlà, doucement ma biche, je ne vais pas te manger ! » Il sourit moqueusement. Elle chercha à s'en aller, mais il la retint par le bras. « Tatata ! Tes appartements sont de l'autre côté. » Il la ramena à lui et passa son bras sous le sien, puis l'entraîna dans la bonne direction.

Isa a écrit:

Isabelle le dévisagea avec haine, quel mensonge inventait-il encore ? Elle refuserait tout bonnement de poursuivre sa route avec lui ! Mais avant même qu'elle ne puisse objecter, sa gardienne attaqua, piquée à vif. La jeune femme ne put réprimer un sourire victorieux, la garde n'était pas si stupide. Une fois encore Isabelle avait sous-estimé la ruse du bel inventeur, à moins qu'il ne s'agisse de son charme... Les soldats échangèrent un regard et d'un commun accord la livrèrent au plus vil prédateur.

Isa a écrit:

Isabelle bascula contre le torse du génie et les bras de ce dernier se refermèrent sur son bassin.

aaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh *fangirling*

Isa a écrit:

Argh. Il glissa son bras sous le sien, et il lui fut impossible d'en réchapper. Le jeune homme l'entraîna à sa suite dans les longs corridors de la Haute-Tour. La belle brune était déterminée à conserver le silence et à l'ignorer.

Mais J'AIME TROOOOPPPP

Isa a écrit:

l haussa un sourcil, provocateur... et Isabelle se mordit la lèvre pour ne pas le gifler. Il avait beau être prétentieux et agaçant, il n'en demeurait pas moins divin... Elle secoua la tête hantée par cette pensée, les retombées de l'alcool se faisaient sentir et elle désirait seulement rejoindre ses appartements maintenant. Aiden en avait décidé autrement : il s'était immobilisé, lui faisant face. « Très bien. » Isabelle plongea son regard dans celui ambré et verdoyant de son interlocuteur. « Je répondrai à tes questions. »

Haaaaaaaaaaaan *-*

Isa a écrit:

« Alors qui es-tu vraiment Aiden Ruthendell ? Si le masque tombait qui découvrirais-je ? Et ne prétends pas ne pas jouer de rôle pour conserver le dessus, je ne te croirais pas. » Elle fixa avec attention ses yeux émeraudes, guettant la moindre réaction, le moindre signe de faiblesse... Une trace d'humanité...

Oh ma pauvre Isa.. si innocente

Isa a écrit:

« Et bordel, pourquoi ai-je l'impression que tu connais parfaitement le chemin jusqu'à mes appartements ?! »

Ahah ! x'D

Aiden a écrit:

Il était là, le mécanisme du piège : vouloir résister, et s'y perdre encore plus. Il la jaugea, scruta son regard, mais ne dit rien. Le silence, en cet instant, valait mille mots d'or. Elle parlerait. « Très bien. » lâcha-t-elle. Le coin gauche de la bouche de l'inventeur remonta légèrement. « Je répondrai à tes questions. » Ah, elle répondrait ! Il sourit plus franchement. Pourtant, ce sourire était plus narquois que satisfait. C'était trop simple, il n'aimait pas les victoires faciles... et elle n'aimait pas les défaites lâches.

Aiden a écrit:

Fière de sa répartie, elle ne put s'empêcher de minauder, de pavaner.

Mais Aiden ! xD Donne-lui un peu de crédit quand même x)

Aiden a écrit:

Des masques, il en avait des centaines, des milliers. Ils en avaient tous autant. La question n'était pas de voir tomber le masque : elle était de trouver ceux qui paraissaient les plus authentiques.

Trop ça
Après on se demande pourquoi Jaiden, ça colle. (Mais oui oui je shippe Aisa aussi !) (après ça, comment ne pas shipper ?)

Aiden a écrit:

Il sourit. « Ah... tu te le demandes bien, hein ? » rétorqua-t-il en haussant les sourcils. Il passa sa langue derrière ses dents, comme s'il affûtait ses crocs.

Je le vois trop faire ça !

Aiden a écrit:

« Ah mais ça n'est pas une impression ! Je sais parfaitement où tu habites, et je sais même pourquoi Katharina t'a enfermée là-bas. »

Mais Léa, si t'avais écrit ça anonymement, j'aurai su. C'est tellement toi ! Je sais pas, la tournure, le choix des mots. C'est plus Aiden qui parle c'est Léa !!

Aiden a écrit:

Peut-être un peu trop lâche, aussi. Enfin il faut dire que les dragons et les méchantes sorcières... ça n'a rien de rassurant. Pas que je justifie la lâcheté, hein ! Non non, la lâcheté, vraiment... »

Mais quelle pipelette ! :o

Aiden a écrit:

« Alors, tu vois, Isabelle... qui je suis, c'est un amas de probabilités entremêlées. C'est plus que subjectif : c'est intersubjectif. Ça dépend de moi, de ce que je veux bien te montrer, de ce que je veux faire de toi, mais ça dépend aussi de toi, de ce que tu veux bien voir en moi, et de ce que tu veux faire de moi. »

Mama ..

Aiden a écrit:

« Partant de là... tu peux toujours essayer de chercher mon « vrai visage », de poser des questions pour me percer à jour... Je ne pense pas que tu arriveras à tes fins. Et si tu y arrives, eh bien... tu auras gagné ton pari, et tu seras bien déçue. On aura perdu la beauté d'une relation : le mystère. N'est-ce pas là ce qui fait tout tenir ? » Le mystère, le secret, l'inconnu. Tant de raisons de poursuivre le chemin que l'on avait emprunté. « Je crois profondément que sans ça, l'autre n'a plus d'intérêt. Mais vas-y, pose tes questions, et j'y répondrai. » Aussi honnêtement qu'un menteur comme lui pouvait le faire.

C'est possible de mourir temporairement à cause des mots ?
*murmure* Issaaaa ne lui fait pas confiannnnceee !

Aiden a écrit:

Il avait tenté de déterrer des bribes de diamant brut chez certains, mais il n'était tombé que sur des roches artificielles. Aussi, il avait arrêté d'attendre ça. Désormais, il s'attaquait à ceux qui se trouvaient si bien emmurés qu'on avait même de la peine à voir les cailloux contrefaits... il se heurtait à ceux qui se montraient les moins authentiques. Le goût du défi, peut-être ?

Isa a écrit:

De quoi as-tu peur ? Du vide. De ce vide infini et perpétuel qui engloutit tout et qui réduit à néant. Qui défie toute logique. Qu'adviendrait-il demain si je n'étais plus là ? Et si mon existence entière définissait les limites de ce monde... Cesserait-il de vivre avec moi ? Je ne suis simplement pas prête à disparaître. C'est présomptueux mais je dois marqué cet univers, le changer et le façonner. Nous sommes des être humains, de véritables héros. Je suis faible et forte, courageuse et lâche. Je suis la création de ce monde qui m'environne : un monstre, un ange. Simplement, un immuable signe d'humanité.

Tout en finesse, précis et bien dit. De l'art, de l'art

Isa a écrit:

Aiden se leurrait, le monstre Hart était de ces êtres que l'on ne peut posséder.

Isa a écrit:

L'interrogation lui arracha un sourire, Aiden Ruthendell voulait tout maîtriser. Être insensible pour devenir invincible, infaillible. Mais ne perdait-il pas quelque chose d'essentiel en chemin ?

Isabelle a toujours raison !
*tape la tête d'Aiden* écoute-la un peu !

Isa a écrit:

L'aurait-elle voulu, aurait-elle aimé qu'il soit son sauveur ? Elle baissa la tête se concentrant sur la régularité de ses pas, ses cheveux bruns se balançant en rythme. L'inventeur était complexe, en tout point, mais ne l'était-elle pas aussi... A deux, ils avançaient, gravissaient encore et toujours les escaliers en colimaçon.

OOoooh douce enfant .. pauvre de toi, jolie princesse, éprise d'un cochon.

Isa a écrit:

Elle avait besoin de ce mal intérieur pourrait être stimulée, éveillée. Aimait-elle souffrir, se perdre peu à peu ? Peut-être.

Isa a écrit:

Fréquenter le génie était étourdissant, vertigineux. Mais Isabelle n'avait jamais été de celles qui repoussent l'ivresse des actes, des mots, des sentiments. Durant toute cette soirée, elle avait affirmée ne pas vouloir entrer dans le jeu, elle avait prétendu être forte, bien plus forte que lui. Maintenant, elle se dédisait. Et si ce qui lui manquait était un être similaire et opposé pour l'entraîner un peu plus - toujours plus - dans les tréfonds des ténèbres ? Arianna l'avait abandonné, plus rien ne la retenait.

Isa a écrit:

Cette fois la jolie brune lui répondit par un rire franc. Il la jaugea de ses prunelles interrogatrices, incapable de comprendre la réaction. « Je suis admirative Aiden, vraiment. » Elle se détourna et reprit son ascension, le visage éclairé par l'espièglerie. « Vivendale a raison de te craindre, ton intelligence est époustouflante. Je ne le nierai pas... et je ne prétendrai pas l'être davantage. Mais, émotionnellement... il me semble te devancer. »

Popopopo ! Cassé ! XD

Isa a écrit:

La silhouette vengeresse s'approchait toujours plus de son dessein final : la mort du tueur. Elle avait aisément passé la troupe de garde, aguichant et accolant d'un faux sourire prude. Ils avaient manqué à leur devoir, elle était irrésistible. Elle grimpait à présent quatre à quatre les marches de la tour Est, son excitation grandissait d'instant en instant, simultanément avec son appréhension. La cape noire ondulait à sa suite, elle était sulfureuse, dangereuse. La froideur se répandait dans son coeur au contact de la fiole de verre, cachée dans son corset : arsenic. Quelques gouttes dans son vin de nuit, et il disparaîtrait à jamais.

J'adore tout ce passage !

Isa a écrit:

L'animosité se lut sur son visage, un traître de plus à la merci des rouages de Vivendale. Au loin, des armures se firent entendre. Elle esquissa un pas pour fuir mais il bondit et l'intercepta. Isabelle se débattit mais le jeune homme était bien plus grand qu'elle, un sourire sournois se dessinait peu à peu sur ses lèvres. « Isabelle Raven Hart, la prunelle du grand Jason... venu ici pour le tuer ? » La lame siffla et se posa sur le cou de cygne du garçon. La surprise se lut dans ses yeux mais son sourire redoubla. « Un geste de plus et je t'égorge chien. » Il n'en tint pas compte et la renversa en arrière faisant voler le poignard. Elle s'abattit sur le sol, le souffle coupé. Elle voulut fuir mais déjà il la retenait et la relevait. La belle voleuse était prisonnière de ses bras, sa corpulence et carrure féminine insignifiante face à la force du cerbère. Elle lui cracha au visage telle une furie. « Qu'attends-tu ? Dénonce-moi ! Malheureusement, je crains que ça n'aura pas l'effet escompté. Jason, au lieu de t'estimer, te tuera pour ne pas ébruiter ma trahison. » Isabelle le défia du regard mais contrairement à bien des gens, il ne cilla pas. Au contraire, elle eut soudainement envie de reculer, comme pousser dans ses retranchements. Elle fuit résolument le mélange d'obscurité et de lumière dans les yeux d'Aiden. Elle était intimidée, quelque chose en elle lui souffla qu'un jour, elle saurait lui faire face. Il la relâcha finalement et elle recula toujours soustraite à l'étrange magnétisme du beau brun. « J'ai rêvé qu'un jour cette grande cité serait sauvée, unifiée. Cela ne vaut-il pas le coup d'attendre, Isabelle ? »

OH PUNAISE
Ce paragraphe est cpjcoizhcnuzhouehfcnoiu

Isa a écrit:

L'adolescente n'avait pas répondu et s'était enfuie, mais aujourd'hui encore la jeune femme s'interrogeait sur ces paroles. « Alors te souviens-tu de ce rêve d'une ville unifiée ? » Mais derrière cette question se cachaient d'autres mots pourquoi-as-tu-cédé-à-l'obscurité, quel acte avait signé le changement inaliénable de l'inventeur ?

Isabelle s'adossa contre la porte de ses appartements, le regard voilé par de nombreux doutes. « Je ne suis pas sûre de devoir te laisser entrer Aiden Ruthendell... » Entrer dans ces lieux, dans mon intimité, dans ma tête.

Je suis morte, ça y est.

Aiden a écrit:

Souvenirs... Survivances. Ils sont ce qui n'est plus ; les instants morts. Pourtant, ils demeurent vivaces ; présents dans l'absence. Ils ont échappé à l'oubli, ils ont trouvé un refuge dans le cocon mémoriel. Ils attendent au chaud qu'on les y réveille.

Quand y'a des rimes dans un texte ça me bouleverse. Alors déjà que Aisa transperce mon coeur, avec les assonances et cette magnifique prosodie qu'il s'instaure d'elle-même, je suis au paradis !

Aiden a écrit:

Il était voué à se rappeler du passé avec une exactitude dérangeante.

Ca, ça me touche. Quand les mots sont si précis, qu'ils touchent le lecteur, c'est que le texte est réussi. Léa, t'es une artiste. Vous êtes toutes les deux des magiciennes des mots. Vous êtes des peintres de situations, des sculpteures de ressentis, des musiciennes des phrases. Vous êtes nos artistes expiées.

Aiden a écrit:

Même l'ancien soi, elle ne le rejette pas. Elle l'accueille, le chérit, le materne, jusqu'à ce que vous y songiez une nouvelle fois avec une mélancolie tremblotante aux envies annihilatrices.

Aiden a écrit:

Les couloirs de la tour Est sont tranquilles. Pas vides, mais tranquilles. Les gardes veillent, la lance fermement tenue. Ils ont l'habitude des errances du jeune inventeur. Ils ont arrêté de lui demander à chaque fois où il se rendait, voire de le suivre, pour certains. Il fait désormais partie du décor. Il est comme cette souris qui sort de son petit trou chaque soir à la même heure. Il ne dérange personne.

Aiden a écrit:

Il a déjà croisé ses boucles brunes et ses yeux malicieux. Chant métallique. Aiden arque un sourcil. Elle se jette en avant pour fuir mais il se décale à temps et lui attrape le poignet. A l'aide de son poids, il la pousse et remonte sa poigne sur son bras pour la tenir plus fermement. Les portes sont derrière eux : ils ne sont plus visibles. Quiconque passerait ne verrait qu'une pièce vide. Nul ne serait assez averti à cette heure pour noter la présence d'une étoffe et de verre brisé, d'autant plus que les deux éléments se fondent dans le tapis qui recouvre le sol.

Aiden a écrit:

A ses paroles, son sourire reparaît. Il se mord la lèvre puis la laisse glisser entre ses dents, occasionnant ainsi l'apparition d'une petite moue.

trop d'émotions là .. x)

Aiden a écrit:

Elle le fixe sans vraiment comprendre. Son regard a perdu son animosité. Tout au plus, il est farouche, mais surtout, il traduit une méfiance fascinée, ou une fascination méfiante

Aiden a écrit:

Peut-être aurait-il dû la laisser tuer Jason. Les choses auraient, pour tous, été bien différentes. Leur rencontre avait bouleversé le cours des événements. Elle avait été le point de retournement de la courbe du fatum. Ils avaient bondi sur l'une des mains de la balance. Sans même le savoir, ils avaient créé l'équilibre qui avait perduré si longtemps, à coup de manipulations, de traîtrises et de mensonges pour couvrir le tout. Ils auraient dû appréhender ces retrouvailles qui suivaient la Guerre d'Un Jour. Ils n'étaient pas à l'abri d'eux-mêmes. Jamais.

Pooooh ça c'est des mots ..

Aiden a écrit:

« Oui, je me souviens. »

Oh mon dieu. Isabelle, je t'autorise à céder à l'amour que ce magnifique enculé

Aiden a écrit:

Il s'arrêta. Rationnel... des bribes de mémoire lui revenaient. Rationnel... « J'ai arrêté d'espérer pour Vivendale. Cette ville est pourrie jusqu'à la moelle. » Il faisait partie de ces bactéries qui la gangrenaient. Katharina était arrivée, alors désormais il rongeait son os. Il n'avait plus rien à se mettre sous la dent, le lion.

Aiden a écrit:

Il s'inclina légèrement vers la jeune femme. « Satisfaite de la réponse à ta première question ? »

Aiden a écrit:

« Toujours pas sûre de "devoir" m'ouvrir ? » Il se pencha un peu plus et posa une main sur la poignée de la porte. « Je dirais plutôt que tu n'es pas sûre de vouloir connaître la suite. »

Aiden a écrit:

Finalement, ce n'était plus une question de devoir, mais d'envie. « J'ai dit que je répondrai à tes questions. Je le ferai. Si tu ouvres la porte... Chacun son tour, Isabelle. » Son sourire revint, malin. A moi de rentrer dans un monde de souvenirs bousculés.

MON COEUUUUUUUUURRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRR

Isa a écrit:

Spoiler:

Quelle belle gosse. J'aime tellement Willa dans cet épisode, le noir lui va hyyyper bien ! *-*

Plus que deux posts à lire .. bizarrement j'ai traîné pour le lire mais maintenant j'ai plus envie que ça finisse

Isa a écrit:

Tick, oscillation vers la droite, tock, fluctuation vers le bas. L'aiguille se soumet à un inlassable mouvement de va-et-vient. Elle bat cette même et perpétuelle cadence au sein de l'horloge. Tick, changement vers la gauche, tock, attraction vers le haut. Il suffit de tendre l'oreille pour succomber aux battements réguliers de ce cœur mécanique.

Même tes descriptions d'horloges sont sublimes quoi *-* Mais vous êtes des machines !! Vous savez, dans genre 50-60 ans quand l'humain sera plus capable de donner de l'émotion aux autres (ouais plus tard l'homme pourra être ému, mais pas par l'homme. L'homme se dégoûtera lui même, il ne pourra resentir que via les médias ou la robotique) donc, quand on aura inventé des robots générateurs et producteurs de sentiments, c'est qu'on aura puissé les idées dans les cerveaux de Lucie et Léa. J'imagine leurs morceaux de cerveaux dans des bocaux et les scientifiques "mais comment elles font ça ?!"
#marionpartloin

Isa a écrit:

Nous naissons avec un nombre d'années, de mois, de jours, d'instants à vivre après quoi nous succombons. Time out. Et, si l'on s'aventurait à briser les règles du temps ? S'il devenait secondaire et non plus primordial, vivrions-nous aussi passionnément ? Amour, haine, violence, joie, tristesse, félicité, deuil. Break time. Il ne s'agirait plus de survivre mais de vivre pleinement, plus de début, de fin, de milieu seulement l'infini.

Pff cette beauté !

Isa a écrit:

Isabelle se rappelait parfaitement sa mère lui avouant que là, où les hommes jugeaient l'instant trop bref, elle ne voyait qu'une éternité séparant le moment présent du suivant. Madame Airwell n'aurait pas pu voir plus juste dans la personnalité de son unique fille...

Madame Airwell, la sage :o

Isa a écrit:

Elle fouilla dans toute la pièce, vidant les tiroirs et renversant leur contenu au sol. Ce n'était pas ses appartements, tout du moins, plus maintenant : la trace de Katharina était partout.

Isabelle est vraiment un personnage puissant, chargé en émotion. Rien qu'en deux lignes tu vois sa détresse, sa rage, comme elle se sent violée dans son intimité, elle est en colère, elle est triste, elle est impuissante face à tout ce qu'il arrive et elle déteste être comme ça.

Isa a écrit:

Il lui fallait remonter aux origines pour comprendre. Ses doigts se posèrent délicatement sur les aiguilles en argent. Et s'il suffisait d'aller à contre sens ?

Mais PUNAISE c'est poétique !!!!

Isa a écrit:

Aiden se pinça les lèvres, il était séduisant. Terriblement. Le génie dégageait une sorte de magnétisme dans chacun de ses gestes, dans chaque parole. Son interlocuteur était impitoyablement invité à se rendre et à s'écraser devant tant de charmes. Au demeurant, Isabelle restait indifférente à ses qualités physiques - tout du moins elle les relayait au second ordre - l'enfant du vice avait depuis longtemps compris que les plus belles fleurs étaient les plus dangereuses : un poison à l'état pur.

Han.

Isa a écrit:

La belle insolente le défia du regard, elle savait quel genre de partie se jouait entre eux, et elle ne s'avouerait pas aisément vaincue. « Pour cette fois... oui. »

Isa a écrit:

Elle ne put retenir un petit rire quitte à froisser l'ego de monsieur Ruthendell - quelle prétention ! Isabelle songea au génie inscrivant sur feuille quelques unes de ses meilleures tirades afin de les prêcher à bon entendeur, et son rire redoubla. « Je n'ai pas peur de toi, absolument pas. » Etait-ce tout à fait vrai ? La main d'Aiden se posa fermement sur la poignée.

Aiden a écrit:

La main de la femme vint embrasser celle de l'artiste, ses doigts délicats se refermèrent sur les siens, et la poignée, dans un mouvement synchrone, fut tournée. La porte céda à l'injonction et les mains se séparèrent.

Comment tuer marion ? Facile !

Aiden a écrit:

La peur est l'émotion universelle par excellence. Nous sommes humains parce que nous tremblons.

Aiden a écrit:

Isabelle n'avait pas peur de lui ? Elle mentait.

Laisse-la tranquillleeeee ! :'(

Aiden a écrit:

Plusieurs camps s'étaient mêlés, et leur rencontre au grand jour n'avait abouti qu'à un homicide familial. Le tableau s'était enflammé. Dans les cendres, d'autres perspectives s'étaient dégagées, renaissances éphémères après l'hécatombe... Pourquoi tu souffres ?

Aiden a écrit:

Silence et immobilisme. Seules les rumeurs de la Haute-Tour leur parvenaient. Le génie avait visé juste : le mutisme d'Isabelle valait tous les mots du monde. Elle était, encore une fois, confrontée à l'une de ses incohérences.

Aiden a écrit:

« Par des actes. » lâcha-t-il, comme elle ne se manifestait plus. « Nous en sommes arrivés là par des actes. » L'action, clé du mouvement du monde.

ppppppppppppppppppppppppppppppoooooooooooooooooooooooouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuhhhhhhhhhh

Y'a pas mal de commentaires constructifs, je sais xD
Je vous montre par quelles émotions je suis passée. En fait c'était surtout de la surprise, de l'excitation, de l'impatience, de l'espérance et un flot continuel d'amour tout du long

Breffff j'ai adoré ! Tout tout ! C'est bien détaillé alors je m'imagine parfaitement les scènes, leurs expressions faciales, leurs pensées contradictoires et multiples, et même la suite du rp ! C'est un vrai épisode de la série Expiation. Franchement si jamais la série est en effet réalisée *croise les doigts* l'audience va se faire pipi dessus !!! (...) TROP BIEN !
Je vais rêver cette nuit, je vous dis pas

J'aiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii tttttttttttttttrrrrrrrrrrrrrrrrrrrroooooooooooooopppppppppppppp aimééééééééééééééééééééééé

Je ris, je pleure

J'ai mal et je suis heureuse

J'en veux plus, je veux plus que ça s'arrête

JE VOUS AIME

J'AIME ISABELLE DE TOUT MON COEUR

J'AIME AIDEN DE TOUTE MON ÂME

J'AIME LUCIE A LA FOLIE

J'AIME LEA COMME PAS POSSIBLE

JE VOUS AIME LES MEUFS

VOUS ÊTES UNE INSPIRATION, VOUS ÊTES MAGIQUES !!!!

J'ECRIS EN CAPITALES PARCE QUE JE SUIS HYPER PERTURBEE

VOUS M'AVEZ BRISÉE
JE SUIS BRISEE PUTAIN

Hahaha à chaque fois que je vois le message du dessus, je suis morte de rire, et mon ego est multiplié par 100 XD

Marion, je peux épouser Charlie ? Sérieux, il est trop mignon. Et c'est pas une brute sans cervelle ! Puis il me fait trop de peine. Il est trop courageux (me dis pas le contraire ! Lui, il essaie d'affronter ses erreurs, au moins). Laisse-moi l'épouser, et je te prête Aiden *o*

Bon j'avoue que j'ai été fascinée pendant tout le rp, et il faudrait que je cite tout, mais je vais pas le faire, parce que sinon, ça n'a pas vraiment d'intérêt ! Mais alors déjà, les premiers paragraphes, mais mamamia ! Marion revient en force ! Et puis ça annonce bien la suite du rp quoi... ah non mais, je suis vraiment fan de Charlie. Il faudrait que tu le joues plus souvent :p

Marion a écrit:

La mollesse de ses bras, à laquelle il avait pourtant fini par céder, fit surgir en lui une pointe d'agacement. Il se trouva tout à coup faible, pathétique même. Il était là, fade et végétatif, contre ce mur terriblement poisseux, les pensées étouffées, le corps meurtri, l'espoir consumé. Au moindre mouvement, il aurait pu se briser des os. Il sentait les bleus sur son ventre, les lignes cuisantes dans son dos et le goût métallique d'amertume dans sa bouche ne l'avait pas quitté depuis son premier interrogatoire. Les blessures les plus anciennes n'étaient qu'un souvenir douloureux qui anéantissait la moindre lueur d'espoir. Les autres, encore vives, encore rouges, éreintaient les forces qui lui restaient.

Depuis quand était-il si fragile ? Avait-il abandonné ? Misérable, décrépit, altéré par le temps et l'effort inutile. Il n'était que le fantôme de l'ancien Charlie. Contrairement au précédent, il n'avait plus de raison de continuer. Il n'avait plus rien. Plus de Vivendale, plus de village, plus d'objectif, plus de rêve, plus de foyer, plus de famille, plus de Talia, plus d'Aria. Tous détruits. Par le temps, par l'ennemi, par la mort. Tous anéantis.

Ce portrait est magnifique !

Citation :

Mais la jeune femme lui rappelait son amie. Le même visage, précis et gracieux, les mêmes mèches brunes le long de sa mâchoire ... et le même hasard atroce qui planait sur sa personne. Il connaissait aux deux soeurs, cette malédiction familiale de l'infortune. Mais à cet instant, dans la prison glaciale, Isabelle était plus malheureuse que ne l'avait jamais été Arianna. Elle avait les mêmes yeux tristes, et le même cœur lourd de secrets et de deuils. Isabelle Hart était elle aussi, un fantôme. Le fantôme de sa soeur. Plus terne, plus effacée que la vraie, plus silencieuse, plus froide et plus abattue.

#teamvivendale Je devrais être de ce côté-là... j'ai plus de persos vivendalais que témériens.

Citation :

Il aurait aimé se réjouir de sa présence, même vaguement. Mais à quoi bon. Ils finiraient exécutés tous les deux. Assassinés par des voleurs, tués pour simple motif d'avoir vécu sur une Terre convoitée, et de l'avoir défendue à son assaut.

Tant de culpabilité... j'ai envie de leur faire un câlin, à Charlie et Isa !

Citation :

N'était-ce pas de sa faute si sa famille n'avait pas quitté la ville à tant ? Il avait prévu leur départ depuis des années, sans jamais avoir le courage de sauter le pas. Et pour la mort d'Aria, il n'obtiendrait jamais de pardon. Ni indulgence, ni rédemption. Il ne le méritait pas. C'était sa faute, ils auraient dû partir bien plus tôt. Il aurait dû lui dire de s'enfuir lorsqu'il l'avait croisée dans l'Enclave, de ne pas l'attendre lorsqu'elle prévoyait son arrivée à leur point de rendez-vous. Il ne se le pardonnerait jamais. Comme Isabelle, il vivrait avec sa culpabilité. Jusqu'à la délivrance que leur offrirait Katharina.

Héhé j'ai hâte de voir sa réaction quand il saura + les retrouvailles, ça va être trop chou je pense !

Citation :

Elle ne savait donc pas qu'elle était morte ? Il avait cru ... Maintenant, il devait lui annoncer la terrible nouvelle. Que sa soeur n'était plus. Tuée dans une ruelle sale, poignardée comme un animal, gisant dans son sang, en murmurant dans un dernier souffle le nom de son assassin. Charlie. Charlie était seul responsable, comme Arianna avait été seule pour mourir. Elle avait été seule. Par sa faute, à lui.

Je suis tellement d'accord là-dessus.

Citation :

Il se souvint de sa faiblesse, de sa lâcheté, de son impuissance. La rigidité de ses bras, la mollesse de ses jambes. Incapable. Dans le pire moment, il avait été incapable de la sauver. Lui qui s'était cru courageux, lui qui avait cru se battre pour plus de chance, pour plus de justesse. Il avait cru s'en sortir, il avait cru se soustraire au destin, éviter les problèmes, échapper à la faim, au froid, aux lois. Il avait cru être différent. Il avait cru mériter une échappatoire. Il s'était trompé. Parce que personne ne pouvait échapper à ça. La conséquence de ses actes.

Zifnvokzcoiemdsllekzcgoxpaillgbaxkolexip

Citation :

Il se souvint de son regard vide, de son visage blessé contre le sol, de ses boucles ébène trempées du rouge de sa défaite. Mais Arianna avait lutté, comme toujours, avec la force d'une guerrière. « Elle s'est battue. » Il hocha la tête, convaincu. « Je ne mérite rien sinon ta haine. » [...] « Je ne vois pas l'ombre d'un monstre en toi. Et maintenant, tu sais la vérité Isabelle. »

J'hésite entre l'exaspération associée à l'envie de balancer un coup de genoux dans les organes sensibles de James, et une profonde envie de rire. Mais je suis susceptible alors je ne vais pas rire.

Citation :

James croyait que si la chance lui souriait, c'était qu'elle le trouvait charmant. Après tout, un homme tel que lui pouvait séduire n'importe qui, même le Destin. Il avait cette maligne habitude de pouvoir flatter son propre ego dans n'importe quelle situation, pour la simple et bonne raison que James O'Kinnley se trouvait merveilleux... que dis-je ! ... il se trouvait parfait.

Excellent x)

Citation :

L'opportunité d'une prochaine rencontre n'était pas envisageable puisque celle-ci serait l'unique, et la dernière.

Quelle assurance ! attends de voir, Malbinou, tu serais surprise.

Citation :

Les bras ouverts, la tête baissée, il leva ses iris vers la charmante et ses sourcils ébènes se soulevèrent. N'était-il pas irrésistible ?

Et bien... je t'épargne le suspense... non.

Citation :

Il leva le nez en l'air. Partager le récit de ses missions avec la demoiselle était envisageable, il aimait parler de sa personne et il aimait encore plus qu'on l'écoute. Si la belle n'était pas trop distraite par son coeur trop rapide, tambourinant dans sa poitrine, elle ferait certainement un bon public. Mais il était plus enclin à la fuite qu'elle avait mentionnée, ou plutôt à la poursuite qu'il envisageait. Et comme il était d'une extrême générosité, il lui laisserait probablement de l'avance.

Elle n'oubliera pas de l'en remercier.

J'ai un peu avancé dans les lectures ! :p Ce matin j'ai lu Jasmine/Aria et Will/Aria !
J'ai adoré les deux rp ! Jas est adorable et ça fait plaisir de voir Arianna faire confiance à quelqu'un dès la première rencontre. Vos deux damoiselles font un joli duo et c'est quand même étonnant de voir s'allier deux ennemis !
Waria. Comment dire. Oui, oui je les shippe ! Je les adore ! Et puis Marianne tu t'es vraiment donnée pour ce rp, c'est très très bien écrit et j'ai envie de citer plein de trucs. Alors je vais le faire héhé

Marianne a écrit:

La scène qu'il visualisait derrière ses yeux fermés était saisissante de réalisme et terrifiante de vérité. Il sursauta et la lumière aveuglante du soleil matinal frappa ses pupilles. Ébloui et désorienté, il dut s'arrêter quelques secondes en plein milieu de la rue pour recouvrer ses sens. Quelques jours auparavant, il aurait été bousculé sans ménagement et les exclamations agacées auraient fusé : c'était l'une des rues les plus passantes de l'Enclave et on ne pouvait s'y arrêter, même un instant, sans déranger tout le monde. Mais ce matin-là, aucune voix excédée ne s'éleva et William reprit son chemin en pensant amèrement que Vivendale n'était plus elle-même. L'invasion des Témériens affectait jusqu'à l'essence même de la ville, dont le fonctionnement était bouleversé. Rien ne serait plus jamais comme avant.

Wowowowowow ! J'étais scotchée, trop dans la scène ! Tout ce message est superbe, mais comme les autres en fait. J'aimerais tout citer ! Mais je sais que j'ai pas le droit x)

Marianne a écrit:

Dans sa grande expérience des relations humaines, l'Ombrageux ne se rendait pas compte que tout dans son comportement dénotait exactement ce qu'il voulait dissimuler : qu'il était froissé par le comportement d'Arianna. Qu'il était mortifié par le fait qu'elle soit partie sans un regard, sans au moins lui dire. Qu'il était dépité devant le peu de gratitude qu'elle avait manifestée à son égard. En un mot, qu'elle l'avait blessé dans son amour-propre d'homme orgueilleux. Et pourquoi cela ? Parce qu'il tenait à elle. Parce que quelqu'un qui n'attache aucune importance à un individu ne se soucie pas qu'il parte du jour au lendemain sans prévenir personne. Et parce que c'était gros comme une montagne, mais qu'il n'en avait pas conscience, et Arianna non plus.

Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!!!!

Marianne a écrit:

Son courroux déferlait et le visage de la brune se décomposait, et il n'attendait que ça ! De la piquer au vif, que ses mots fassent mouche, pour lui rendre la monnaie de sa pièce et se venger lâchement d'une déception.

Mama ce post petite soeur. Par-fait !

Clémence a écrit:

Ces gifs sont trop jolis et illustrent parfaitement la scène ! *applaudit*

Clémence a écrit:

Comment pouvons-nous nous lever chaque matin pensant que nous aurions pu faire mieux, que nous aurions dû faire mieux ? Est-ce qu'un désolé est suffisant ? Une excuse peut-elle vraiment soulager la peine causée ? Aider à guérir les blessures ? Nous racheter ? Peut-il réparer les dommages que nous avons causés ? Dire un simple désolée serait tellement simple... La réalité, elle, est bien plus complexe.

Mais cette pauvre Aria... Elle a toutes les misères du monde.

Clémence a écrit:

Aussi cruelles que vicieuses, les paroles assassines vinrent directement atteindre leur cible. Naïve, elle ne s'était pas attendu à tout ça... à de la déception peut être, mais pas à ça. Les excuses formulées intérieurement s'envolèrent, comme emportées au loin avec la surprise, partant au loin en la laissant derrière, comme elle l'avait fait avec ceux qui lui étaient pourtant venu en aide.

J'ai envie de frapper Will xD Nannnn j'ai envie de prendre la main des deux et de les mettre l'une dans l'autre en mode "mais aimezzz-vouuussss" !

Clémence a écrit:

« Comment oses-tu dire ça ? Je prétends qu'aucune discussion ne s'impose ? Sérieusement ?! Aux dernières nouvelles tu évitais toutes formes de conversation, pas moi. Je... » Au fur et à mesure qu'elle parlait, son cri indigné se mua en murmure blessé. « ...j'ai essayé de parler, mais tu ne voulais jamais. »

Aimezzz-voussss !

Marianne a écrit:

Dans quel accès de générosité, ou plutôt de folie, avait-il accepté d'aider Isabelle ? Tout ceci n'avait aucun sens. Rien n'avait plus aucun sens depuis la Guerre d'Un Jour. C'était bien pour cela qu'il avait accepté cette mission des plus imprudentes, parce que il n'y avait rien qui le motiva plus ces jours-ci que d'aller se jeter dans la gueule du loup. Téméraire ou suicidaire ?

Trop beau ...

Marianne a écrit:

Tout d'abord, il refusa d'y croire. Quelques instants s'écoulèrent dans le silence de la forêt ; il soutenait avec peine le corps de la jeune femme et observait ses traits fins malgré le mélange de terre et de sang qui les couvrait, incrédule. Son esprit cartésien l'empêchait d'y croire : les morts ne reviennent pas à la vie. Et pourtant, il aurait reconnu ce visage entre mille autres, même sali par la terre et abîmé par les coups.

Wouh *-*

Marianne a écrit:

Le temps pressait. Il attrapa doucement le menton de l'esclave et l'obligea à le regarder dans les yeux : « Regardes moi ! Ce n'est que moi. » « Will ? » Elle était bien trop faible pour marcher. Il passa une main sous son épaule, une sous ses genoux et la souleva sans effort. Elle l'étreignit comme un enfant s'accrocherait à son père et une grande chaleur l'envahit, une ivresse.

Et mon coeur de shippeuse se serra dans toute la force de cette scène !

Marianne a écrit:

« Tu es quand même une sacrée garce. Tu as essayé de parler, mais je ne voulais jamais ? Tu as bien du culot pour affirmer ça aussi impunément ; ou alors tu ne te souviens pas peut-être ? C'est toujours plus facile, le tri sélectif de la mémoire qui efface les souvenirs gênants, je sais. Mais tu ne pourras pas toujours te cacher derrière ton ombre, Aria. » Il marqua une pause et la dévisagea en fournissant un effort inhumain pour conserver un masque de marbre. Le calme avant la tempête. « Et tu oses me parler de mes propres responsabilités ? Mais, qui est venu te chercher aux fins fonds des bois pour te tirer des griffes de la mort ? Tu insinues que j'agis comme si rien ne s'était passé, mais c'est bien toi qui t'es barrée lâchement après tout ce que j'ai fait pour toi ! Alors tu peux ignorer tout ce que je te dis ; mais le passé te rattrapera toujours. Regardes, c'est déjà le cas. Chaque jour un peu plus, tu es battue avant d'avoir commencé. Ton pessimisme te ronge de l'intérieur, mais tu ne veux rien admettre, tu nies tout en bloc et tu fuies encore ! Mais la fuite ne résout rien ! Ouvre les yeux, bon sang ! C'est trop facile de formuler des reproches quand soi-même, on a tout à se reprocher ! »

Haaaan mais Clémence, j'ai mal pour Aria ! :o Les rps de confrontation amoureuse, ça me noue les tripes. oye oye ..

Marianne a écrit:

Un rictus de colère déforma ses traits impassibles l'instant précédent et il s'avança d'un mouvement brusque vers Arianna, l'obligeant à reculer jusqu'à être acculée contre la pierre. Si un regard avait pu tuer, ses prunelles incendiaires auraient été plus meurtrières encore que la menace qu'il représentait physiquement.

Mais Marianne, c'est tellement bien dit ! T'es vraiment douée pour l'écriture, j't'assure !

Clémence a écrit:

Nous aimons croire que connaître l'origine d'un traumatisme nous permet de voir au delà de la confusion de la blessure et, finalement, de savoir quelle est exactement l'étendue des dégâts.  Mais parfois les dégâts sont irréparables : la blessure; bien trop profonde, l'esprit; déjà brisé. Et même si on sait exactement comment on en est arrivé là, cela ne signifie pas qu'on peut réparer le mal fait...

J'adore ! *-*

Clémence a écrit:

Elle rouvrit les yeux et baissa le regard, n'osant pas affronter celui de William. Ses yeux se posèrent sur ses mains - elles tremblaient - et les cacha aussitôt dans son dos. Elle ne comprenait pas ce qui lui arrivait. Bien qu'il est déjà levé la main sur elle dans le passé, elle savait bien que cela ne se reproduirait plus. A l'époque, ils ne se connaissaient pas, maintenant les choses étaient différentes. Et pourtant...elle avait sursauté, elle avait fermé les yeux. Ce ne fut qu'un instant seulement, durant cet instant, aussi minime fut-il, elle avait eu peur. Peur de lui. Peur qu'il lui fasse du mal.

Aaaaah l'amour sauvage :k J'aime trop comment Aria se comporte et pense quand elle est près de Will. Elle est forte et fragile à la fois, on ne peut que l'aimer d'avantage. C'est vraiment un personnage super attachant !

Clémence a écrit:

Rester assise ou couchée l'insupportait; sans parler de cette horrible sensation de solitude, elle qui n'était jamais vraiment seule malgré ça. Désireux d'honorer leur promesse jusque là abandonnée, les mercenaires assurèrent qu'elle ne manqua de rien. Ils l'accueillir comme si elle avait toujours été des leurs, elle, la fille perdue de Tom Hart. Cela la rendait mal à l'aise. Cette atmosphère l'oppressait terriblement, à leurs yeux, elle n'était que ça : la fille de.

Joliiii ! :o

Clémence a écrit:

Elle aperçut William non loin, nettoyant ses armes, et avança dans sa direction. Seulement, lorsqu'il l'aperçut à son tour, le jeune homme détourna le regard et se releva pour partir dans la direction opposée. Le sourire sur les lèvres de la jeune femme mourut aussitôt qu'il tourna les talons, s'éloignant d'elle comme si c'était un mauvais souvenir qu'il voulait effacer de sa mémoire. Elle pensait que tout ce qui s'était passé depuis le matin de la guerre d'Un-Jour les aurait rapprocher; au lieu de cela, il semblait que cela avait juste creusé un  fossé encore plus profond entre eux.

Je suis trop à fond !!!!!

J'ai beaucoup cité Marianne dans ce rp-ci, parce qu'elle s'est vraiment donnée à fond et j'ai adoré chaque phrase. Et après tu fais ta modeste à dire que tu n'as pas notre niveau. MAIS MARIANNE TU ECRIS PUTAIN PUTAIN DE BIEN ! C'est un bouquin ce rp !!!

Et bien entendu il faut citer pour ce dernier post magnifico ! Tu voulais mon avis, le voilà ♥

Marianne a écrit:

Spoiler:

*bave* ... Ses yeux ! Moi il m'engueule comme ça, je me jette à son cou x)

Marianne a écrit:

La proximité physique entre Arianna et lui le mettait mal à l'aise. Elle lui rappelait d'une part les multiples occasions où il avait profité de sa supériorité physique pour la menacer, et d'autre part un évènement qui ne s'était produit qu'une fois mais qui demeurait inscrit dans sa mémoire, cette nuit... Il secoua la tête et détacha son regard de son interlocutrice avec un soupir exaspéré. N'importe quoi. Ils étaient tous les deux complètement ivres après une soirée généreusement arrosée. Il n'y avait aucune interprétation à tirer de ce qui s'était passé, et pas plus de conséquences.

Ohlalala j'aime tellement William ! Ses réflexions, ses remises en question. J'aime comme il pense, ses gestes, ses paroles. Tout est beau chez lui. J'aime trop tes perso Seysey !!!!! Seyrane et William sont tellement bien ... je meurs de beauté de perso, de beauté de mots ! Adieu ...

Marianne a écrit:

Ainsi, c'était une compétition pour déterminer lequel ferait le plus abstraction du passé ? Lequel se voilerait le plus la face quant à ses torts ? William était simplement sidéré par l'aisance avec laquelle l'esclave affirmait ses reproches. Et les paroles assassines qu'elle proférait produisaient un effet de douleur semblable au déchirement des chairs lorsqu'une lame bien aiguisée y pénètre.

Ton style s'est vraiment bien développé. Tes phrases sont plus complexes mais plus fluides. On te sent beaucoup plus à l'aise, très appliquée et tu connais vraiment bien ton personnage. Mieux. Avant tu disais que tu avais du mal à trouver la personnalité de Will, que tu avais l'impression de t'éloigner de ce que tu voulais au départ. Mais là c'est vraiment bien. Will a évolué avec toi, avec ton style. Il est plus profond, plus complexe et j'aime beaucoup toutes les facettes de sa personnalité. On sent que tu aimes écrire ce rp, et que, finalement tu aimes ce que tu écris aussi. Même si tu trouves que c'est pas parfait, que t'es pas encore à la hauteur... Marianne, ça l'est et tu l'es ! Largement même, que dis-je : carrément ! Tes post c'est des chapitres de bouquin. J'te donne mon avis clairement, je suis fan de tes mots et de tes perso !

Marianne a écrit:

Son rythme cardiaque ralentissait doucement. À l'horizon, au-dessus de la cime des arbres, le ciel s'éclaircissait déjà, l'aube approchait. Comme toutes les autres nuits, un peu avant le lever du jour, il retourna à sa propre tente et se glissa dans les draps frais. La respiration régulière de Lara, à quelques mètres, contrastait avec ses pensées tumultueuses, mais il ne tarda pas à se rendormir.

Ouiiiiiiii ouiiiiiiii !!!!!!!! :D Le Willara s'immisce dans votre rp ahahahahahah !! Je suis trop heureuse !! ♥♥♥ Lalalala !

Marianne a écrit:

Lorsqu'il s'éveilla à nouveau, le soleil était déjà haut dans le ciel et ses rayons dorés traversaient la canopée d'arbres et éclairaient le camp d'une lumière presque irréelle. Son premier réflexe fut d'aller voir Arianna. Elle était l'une des dernières en convalescence et bénéficiait donc d'une petite tente d'infirmerie pour elle seule. Il se glissa à l'intérieur et constata qu'elle dormait encore. Rares étaient les occasions où il avait pu la regarder sans qu'elle en ait en conscience ; à vrai dire, c'était seulement la deuxième fois. Il lui semblait être un peu plus proche d'elle ainsi, la connaître mieux.

Adorable :)

Marianne a écrit:

Et malgré ce malaise, il ne pouvait détacher ses yeux de ces épaules qui se soulevaient au rythme régulier du souffle, couvertes par l'épaisse masse de cheveux bruns. Il voulut vérifier une nouvelle fois que la cicatrisation continuait, mais s'en trouva incapable. Une pudeur d'adolescent, irrépressible. Il tourna les talons et sortit à grands pas.

:3 Willyyyyy ♥

Marianne a écrit:

À son tour de se dissimuler derrière de faux reproches, des arguments tronqués. Il préférait entretenir son ressentiment plutôt que d'admettre que la brunette avait mis le doigt sur la raison de ses agissements : il était vexé. Atteint dans son amour-propre d'avoir dévoilé un aspect de lui si préoccupé à ses collègues Ombrageux, lorsqu'elle était encore au camp et qu'il s'enquérait de son état, et n'avoir rien reçu en retour.

Marianne a écrit:

Il reporta ses prunelles claires sur Arianna, et rien qu'à la vision de cette jeune femme brune il se sentait déchiré entre une envie difficilement répressible de l'enlacer et sa fierté, la plus exigeante, la plus implacable de ses amantes. À d'innombrables reprises, il avait choisi cette dernière, intimement convaincu que l'attachement affectif n'amenait que de la souffrance. Définitivement, cette théorie était confirmée. Mais le jeu n'en valait-il pas la chandelle ?

*-*


...


*-*

Je sais que j'ai pas le droit de tout citer alors je mets juste ça, pour déclarer mon amour à Jaiden et mon amour à Léa :

Léa a écrit:

https://expiation.forumactif.org/t481-tell-me-you-hate-me-but-show-me-you-love-me#4311

Tellement parfait <3
Bim ! "ne peut pas citer un post entier" est déjoué ! Ahahahahah !

Récemment j'ai dit que tous les jours étaient sources d'émotions nouvelles et violentes pour moi. Aujourd'hui s'annonçait plutôt calme à part mon conseil de classe. C'était sans compter sur Clémence...

Clémence a écrit:

Enfants des dieux, créateurs de la terre, de l'air et des océans, ils étaient à la fois semblables à leurs créateurs et aux créations de ces derniers. Fille d'Aryn, Arianna incarnait le courage et la témérité que l'on connaît au Dieu qui avait insufflé à son fils, William, son désir de protéger de la main du glaive. Fils et fille de Malsa, tout deux éprouvaient l'un pour l'autre toutes les passions connues de leur mère : la haine, la crainte, le désir, l'amour... jusqu'à avoir, durant une nuit, cédé à l'une de ses passions. Quand à Thôl, dieu de la paix et de la prospérité, il représentait les désirs de ses enfants qui, malgré leurs différends, n'aspiraient qu'à une seule et même chose : la paix. Mais ses aspirations n'étaient pas pour tout de suite car, enfants des dieux, William et Arianna étaient des hommes; nés pour détruire. Nés pour blesser, pour blesser l'autre.

Ce passage est tellement... shfkshqkhsfjùkdljkhq.

Clémence a écrit:

[...] porté par l'une des passions les plus destructrices après l'amour; la colère. Nourrissant le coeur des Hommes, elle est le foyer des plus simples querelles comme des plus grandes guerres.

Clémence a écrit:

« Que je te suis reconnaissante, que je te remercie... tu sais déjà que c'est le cas, et je t'aurais bien dis merci mais tu n'étais pas là. » [...] « Tu n'arrêtes pas de dire que tout est ma faute mais au dernière nouvelle ce n'est pas ma faute si tu étais toujours tellement occupé. Après tout tu ne l'étais pas tant que ça n'est-ce pas. Si tu avais le temps de tourner autour de cette Lara tu aurais bien pu m'accorder cinq minutes et tu l'aurais eu ton merci. » Elle aurait pu tout lui dire, le remercier pour l'avoir sauvé, lui expliquer les raisons de son départ, et ainsi de lui dire au revoir. Mais il n'avait pas été là. Et elle n'avait pas attendu qu'il le soit.

BYE

Hier nous avons été gâté par deux messages totalement wbaovaoq - enfin un rp et une fiche pour être précise - qui méritent bien d'être cités !

Tour d'abord il y a eu Vinciane alias Miss Douceur - le nouveau bébé de Léa - dont l'histoire est aussi bien magnifiquement trouvée que magnifiquement bien écrite !

Citation :

Depuis quelques années, Vinciane commence à croire que si « enfance » rime avec « innocence », ce n'est pas tout à fait un hasard. Avant, ce n'était qu'une assonance comme une autre. Elle lui évoquait des images claires, épurées, tranquilles et belles. C'était vraiment poétique. Désormais, elle s'entache du liquide mémoriel, elle s'enroule dans le drapé du souvenir. La rime lui paraît aussi amère que douce. Sur le moment, elle saisit d'un élan de joie, puis elle laisse un arrière-goût douloureux. Être un enfant... elle n'a, finalement, rien connu de plus simple. Il s'agissait de se laisser porter. On ne contrôlait rien, mais on avait l'impression d'être le roi du monde. A vingt ans, on doit être sorti de l'enfance. Si on le refuse, la vie s'évertue à nous arracher notre innocence. Elle nous bafoue jusqu'à ce que l'on abaisse les barrières et que la pureté s'échappe à grands coups de sanglot, jusqu'à ce que le corps ne la vomisse et ne s'arrache les tripes. Même être enrubanné dans le cocon de la haute société ne suffit pas. Pis encore, on s'y croit à l'abri, tandis qu'en réalité... on fonce droit dans le mur, sans protection.

Certes le prologue ne date pas d'hier mais chaque fois je suis scotchée devant

Citation :

Elle s'était assise dans la baignoire, tremblante, et désormais, elle suivait des yeux la vie qui s'écoulait devant elle. Parfois, la rivière se ponctuait de petits barrages ; des caillots, des morceaux de fœtus, d'autres choses. Elle ne voyait plus très bien, de toute façon. Sa vision se brouillait sous l'assaut des larmes. Celles-ci se chargeaient de tristesse, de colère, mais aussi de soulagement. Ses douleurs lancinantes prenaient fin, et le doute s'estompait. Elle chassa une perle d'eau d'un revers de main. Elle ne pouvait, cependant, l'empêcher d'être remplacée par d'autres. Enfin, elle était délivrée des maux physiques, mais ceux-ci n'avaient fait que déblayer le terrain pour les maux psychiques. Sur l'écran flou de sa vue, elle observait des scènes, fruits d'espoirs mourants, se dérouler. Elle imaginait cet enfant qui n'avait pas connu la vie ; elle le regardait naître, puis grandir, et vieillir, jusqu'à ce qu'elle passe, la première, de l'autre côté du miroir. Elle imaginait ce qui n'aurait jamais lieu d'être, non pas pour se faire du mal, mais parce qu'elle faisait le deuil d'un petit être. A chaque deuil sa part de souvenirs ; elle ne pouvait qu'inventer la plupart des siens, des leurs.

Ce passage est tellement baisvalsbaheiabqisbzld. J'étais en mode " Naaaaaan Vince ! Viens je vais te faire un câlin ! "

Citation :

Elle émergeait à peine de l'adolescence. Bercée par la naïveté, elle n'avait rien d'une femme mûre. Trop enfantine, trop frêle ; de corps comme d'esprit. Elle devait s'endurcir. Avoir un enfant, cela lui faisait peur. Elle n'était tout simplement pas prête. Il y avait beaucoup de choses pour lesquelles elle n'était pas prête, beaucoup trop.

*-*

Citation :

Vivendale était mise à feu et à sang. Les flèchent tombaient comme la pluie et les corps comme des mouches. Elle porta lentement la main à sa bouche. Des gouttes salées venaient s'y fondre. Pourquoi s’entre-tuait-on ? Pour quoi ? Des terres ? L'honneur ? Le pouvoir ? Quel sens avait ces concepts quand tant de vies étaient sacrifiées en leur nom ? Revêtaient-ils seulement une once de légitimité ? Pourquoi s'écharper quand il était envisageable de conclure des accords... et de sauver des centaines d'êtres humains ? Pourquoi ce besoin de tout détruire...?

Ce passage ah mais il est PARFAIT !


Passons donc au message de William dans Damage Case où Marianne a mit le paquet #wariaforever #avecmemeunetouchedewillara

Citation :

La courte morte de l'esclave avait été l'occasion de romancer leur stupide relation, d'y voir plus que ce qu'il y avait réellement, d'inventer une alchimie inexistante. Quels fantasmes ! Quelles chimères ! Il avait voulu - et cru, par divagations de son esprit frustré - trouver en Arianna un absolu. Le réceptacle d'un sentiment noble et entier. Mais la jeune femme ne se confortait pas à ses exigences d'un côté, et les dépassait de l'autre. Il détestait cette sensation de ne pas avoir toutes les cartes en main.

* creuse sa tombe de shippeuse *

Citation :

Néanmoins, devant ces invectives William manquait cruellement d'arguments. Il comptait effectivement un certain nombre de torts, passés et sur lesquels il aurait préféré ne pas revenir, mais cette concurrence n'était que trop loyale.

AAAAAAH

Citation :

. « Alors ne m'obliges pas à dire ce que tu sais déjà. Si nous en étions restés à ce stade, je ne te parlerais pas de ce que j'ai vécu en lien avec toi. Est-ce que tu penses vraiment que j'aurais suivi ton écervelée de demi-sœur dans une mission aussi dangereuse si elle ne m'avait pas fait miroiter autre chose que la libération de nos camarades ? Est-ce que cela ne te laisse pas à penser que, peut-être, j'ai moins bien vécu l'annonce de ta mort, même si elle s'est avérée fausse, que ce que je veux bien admettre ? Est-ce que tout cela n'est déjà pas suffisamment évident ? » Il esquissa un large geste de la main, désignant l'environnement autour d'eux. « Est-ce que je m'amuserais à t'intercepter dans la rue s'il s'agissait uniquement de mes amis emprisonnés ? Sérieusement, Aria ! Regarde les choses en face. Tout ce que je t'expose là, tu l'as déjà pressenti mais tu ne veux pas te l'avouer. » Le blond serra les dents et s'imposa un détachement feint qui contrastait avec ce qu'il dévoilait dans ses propos. Depuis combien de temps n'avait-il pas emprunté ce masque de marbre autrefois habituel devant Arianna ? Quelle que soit la réponse, il avait fait un premier pas. À son tour désormais d'effectuer un geste dans sa direction.

Haaaaaanw j'avais pas vuuu, trop mignon ! Encore merci ♥ (en plus Lagertha et Ragnar hawn mes bébés)

Et je confirme, DC c'était encore trop bien, et je pense que ce rp va signer votre mort à toutes les deux si ça continue comme ça ! *s'en va chercher deux défibrillateurs*

Ohlalalala Damage Case ... Damage de mon coeur, torture mon coeur et mets-le en caisse, mets-le en pièces.
Pffiou. William t'es un grand fou, on est toutes folles de toi mon gars. Nan mais. Nan mais William. Aie un peu de pitié !
Marianne, t'as encore une fois prouvé tes talents .. On meurt devant notre écran !

Je cite aussi, même si Clémence a fait du bon boulot. Voilà mes passages favoris :

William a écrit:

Aucun jeu amoureux n'en a jamais valu la chandelle. Nul besoin d'occulter la vérité. Si, pendant plusieurs mois voire plusieurs années, William avait écarté toute passion de sa vie à l'âge pourtant où l'on éprouve les plus sincères élans, c'était bien pour une raison. Qu'il ne veuille pas l'entendre, c'était une chose ; mais il ne pouvait ignorer complètement le lot quotidien de tourments qu'apporte l'attachement.

William a écrit:

La courte mort de l'esclave avait été l'occasion de romancer leur stupide relation, d'y voir plus que ce qu'il y avait réellement, d'inventer une alchimie inexistante. Quels fantasmes ! Quelles chimères ! Il avait voulu - et cru, par divagations de son esprit frustré - trouver en Arianna un absolu. Le réceptacle d'un sentiment noble et entier. Mais la jeune femme ne se conformait pas à ses exigences d'un côté, et les dépassait de l'autre. Il détestait cette sensation de ne pas avoir toutes les cartes en main.

Sha l'a cité aussi, mais c'est vraiment très beau ! *-*

William a écrit:

La scène entière semblait un vaste quiproquo. Ils étaient véritablement incapables de se comprendre, c'en aurait été comique si ça n'avait pas été désespérant. L'œil d'un observateur avisé aurait saisi les enjeux d'une telle discussion en moins d'une minute ; mais eux, ils étaient trop profondément impliqués, ils ne savaient pas prendre le recul nécessaire pour constater l'évidence. Et donc en toute logique, plutôt que d'essayer maladroitement d'exprimer ce que leur subconscient hurlait, ils préféraient attiser les braises de leur colère, entretenir la flamme de leur conflit et ne surtout pas se remettre en question. Il est nettement plus facile d'adresser des reproches à son entourage que de se les formuler à soi-même.

Mais ohlalala je peux même pas choisir deux ou trois phrases .. J'adore comment tu tournes ça ! c'en aurait été comique si ça n'avait pas été désespérant J'adoooreeee !!! L'œil d'un observateur avisé aurait saisi les enjeux d'une telle discussion en moins d'une minute ; mais eux, ils étaient trop profondément impliqués, ils ne savaient pas prendre le recul nécessaire pour constater l'évidence. Je suis obligée de re citer quoi xD

William a écrit:

les prunelles foudroyées par un éclair de douleur

Aria espèce de folle ! Embrasse-le au lieu de lui faire de mal ! Comment changer de camp entre Will et Aria à chaque nouveau post xD

William a écrit:

Le timbre ironique de sa voix était aussi douloureux qu'une morsure. « Et par-dessus tout, tu oses impliquer Lara dans tout cela ? Lara ? dans ce qui ne concerne que toi et moi ? Si ça n'est pas un abus de faiblesse, ça ! »

Tu sais ce que j'en pense ? xheouhfoefijqieivcpevju !!! *-*

William a écrit:

Elle se déchaînait à son tour, et alors c'était l'irréparable. Il n'avait plus qu'à ajouter d'autres mots tranchants comme des lames, et ainsi de suite jusqu'à ce que mort s'ensuive. À chaque nouvelle réplique, son esprit exercé trouvait une justification. Cette fois, ce serait la jalousie inconsidérée à l'égard de Lara. Le visage d'ange auréolé de cheveux blonds s'imposa à lui, mais il aurait préféré ne pas y penser. Le problème n'était pas tant qu'Arianna en soit jalouse, il résidait plutôt dans ses sentiments partagés et équivoques, et par conséquent coupables. L'absolu est un idéal fou.

Ouille, mon coeur. Le problème n'était pas tant qu'Arianna en soit jalouse, il résidait plutôt dans ses sentiments partagés et équivoques, et par conséquent coupables. L'absolu est un idéal fou. Vraiment trop beau... TROP TROP BEAUUUUU !!!!

William a écrit:

« Pourquoi tu nies tout ce qui s'est passé ? Parce que tu ne l'assumes pas ? En plus, ça n'est pas comme si tu avais contracté une quelconque forme d'engagement ou que je t'avais demandé quoi que ce soit en retour ! Tu n'imagines même pas les nuits entières que j'ai passées à ton chevet, à te veiller, je me suis occupé de toute ta guérison, j'ai préféré rester à tes côtés plutôt que d'aider mes propres compagnons blessés comme toi ! Une partie importante de la Guilde me l'a reproché, d'ailleurs, mais à l'époque ce sacrifice allait de soi. Aujourd'hui, il en serait probablement autrement. » asséna-t-il amèrement.

Time of death. 19:18.

William a écrit:

L'effort nécessaire à l'arrêt de cette dispute absurde était englouti par ce déferlement d'accusations. Il demandait trop d'énergie, trop de remise en question ; ainsi, et comme toujours, il était plus facile de s'entêter, même dans une voie sans issue, que d'admettre ses erreurs.

Je pense que ça résume aussi bien le caractère de William que celui d'Arianna quand il en vient à leur duo. Trop d'efforts, penchés vers la facilité, la colère. Cédezzzzz mes petits, cédezzzz !

William a écrit:

« Aria... » Son ton se fit presque implorant tant il était fatigué de ces conflits qui s'amoncelaient. « Tu ne peux pas comparer ce qui s'est passé avant... et après. »

William a écrit:

« Nous étions ouvertement ennemis lorsque tout cela s'est déroulé. Mais depuis, les choses ont changé. Tu m'as sauvé une fois, j'ai remboursé ma dette et nous sommes quittes. »

William a écrit:

« Alors ne m'obliges pas à dire ce que tu sais déjà. Si nous en étions restés à ce stade, je ne te parlerais pas de ce que j'ai vécu en lien avec toi. Est-ce que tu penses vraiment que j'aurais suivi ton insupportable demi-sœur (hihi Isaaaa le caaacaaa) dans une mission aussi dangereuse si elle ne m'avait pas fait miroiter autre chose que la libération de nos camarades ? Est-ce que cela ne te laisse pas à penser que, peut-être, j'ai moins bien vécu l'annonce de ta mort, même si elle s'est avérée fausse, que ce que je veux bien admettre ? Est-ce que tout cela n'est déjà pas suffisamment évident ? »

OMD !!!!

William a écrit:

Sérieusement, Aria ! Regarde les choses en face. Tout ce que je t'expose là, tu l'as déjà pressenti mais tu ne veux pas te l'avouer. » Le blond serra les dents et s'imposa un détachement feint qui contrastait avec ce qu'il dévoilait dans ses propos. Depuis combien de temps n'avait-il pas emprunté ce masque de marbre autrefois habituel devant Arianna ?

Pffiou. J'en ressors changée, j'vous le dis.

Passage éclair de Zélie avec sa belle Adelynn. Un sublime message pour un retour qui ne passe pas inaperçu ! DU TOUT ♥

Sednille a écrit:

Chaque seconde de plus passée face à Dalian était une torture mentale et physique.

On est des grandes shippeuses sur expipi alors là je te dis pas le fan club x)

Sednille a écrit:

Que faire face à la personne que l’on pensait ne jamais revoir ? C’était une question qu’Adelynn ne s’était jamais posée, et après l’acte offensif de la blonde, c’était au beau brun d’y répondre.

Sednille a écrit:

Il s'était visiblement donné en sacrifice pour se faire pardonner de ses actes, en sachant pourtant que la blonde était tout aussi incapable de le pardonner que de lui donner la mort. Plus elle regardait Dalian, et plus les souvenirs refaisaient surface. Adelynn se torturait mentalement pour s'empêcher d'éprouver une quelconque compassion, une quelconque émotion autre que la haine envers celui qui avait tué son frère. Mais cela lui était tout à fait impossible. Elle ne pouvait le haïr autant qu'elle l'avait aimé, et c'était bien là la plus grande faiblesse de la jeune femme.

*-*

Sednille a écrit:

A cet instant, Adelynn était on ne peut plus désorientée, le cœur vagabondant entre le devoir et l'interdit, errant de pulsions en pulsions.

J'ai vraiment aimé cette phrase !

Sednille a écrit:

Adelynn n'était alors plus qu'un corps bouillonnant guidé par un esprit déterminé, matière et âme n'aspiraient plus qu'à une chose, exploser. Ce premier pas de Dalian était si symbolique ; il détruisit la distance qui permettait encore de contenir l'excès de folie de la blonde, et de l'empêcher d'agir sous le chef dictatorial de ses pulsions.

Sednille a écrit:

Plus rien ne semblait être contrôlé ni contrôlable, d'un côté comme de l'autre. Les bêtes étaient lâchées. Elle le regardait comme un chasseur regarde sa proie. La simple présence de Dalian lui donnait des frissons, et voir la distance séparant les deux corps se réduire la faisait trembler. Un tremblement de passion, sensationnel, qui faisait rougir ses pommettes et accélérer son souffle.

Pffiou, vous m'avez perdue *-*

Sednille a écrit:

Alors, spontanément, et bravant tous les interdits, Adelynn s'empressa vers Lui.

Haaaaaaaan j'aime trop !

Sednille a écrit:

D'une seconde à l'autre, elle se retrouva si proche de Dalian qu'elle pouvait désormais sentir son parfum et admirer en un coup d'oeil chaque détail de son visage, ce visage qu'elle ne put s'empêcher d'attraper de ses mains avec un zèle étonnant. Plongeant ses yeux dans ceux du brun, et tenant fermement son visage de brut entre ses douces mains, elle lâcha un dernier souffle. Alors, Adelynn posa ses lèvres avec ardeur sur celles de Dalian, fermant les yeux comme pour éterniser l'instant. Elle savait qu'elle ressentait pour le beau brun ce qu'elle ne pouvait ressentir pour personne d'autre. Elle l'aimait, c'était puissant, sensationnel. C'était mortel.

Votre lien est génial, vraiment que de bonnes idées ! Et puis avec des écrivains, le tout est juste extra ! J'adore j'adore j'adore !

Oh jésus Sed, ce message était qsfkjdhqljfshqkdhdkn ! Ton style est super agréable, et puis Dalian et Adelynn c'est le feu :D

Citation :

Elle ne pouvait le haïr autant qu'elle l'avait aimé, et c'était bien là la plus grande faiblesse de la jeune femme.

Citation :

Ce premier pas de Dalian était si symbolique ; il détruisit la distance qui permettait encore de contenir l'excès de folie de la blonde, et de l'empêcher d'agir sous le chef dictatorial de ses pulsions. Il était donc trop tard, et comme un premier pas en implique au moins un suivant, le beau brun continua de se rapprocher dangereusement d'Adelynn, la rendant pas après pas plus vulnérable. Plus rien ne semblait être contrôlé ni contrôlable, d'un côté comme de l'autre. Les bêtes étaient lâchées. Elle le regardait comme un chasseur regarde sa proie. La simple présence de Dalian lui donnait des frissons, et voir la distance séparant les deux corps se réduire la faisait trembler. Un tremblement de passion, sensationnel, qui faisait rougir ses pommettes et accélérer son souffle.

Je sais que Malbe a déjà cité mais j'étais obligée de le faire apparaître une deuxième fois histoire d'être sûre que tout le monde ait lu cette merveille.

Je rattrape un peu mes lectures et j'ai vu le post de la belle Athéna à l'event !

Crunch a écrit:

Elles souffraient. Tantôt rauques, tantôt chevrotantes, assurées ou faibles, elles n'étaient que le reflet des émotions de leurs propriétaires. Et rien qu'en écoutant leurs inflexions, la pensées des ombrageux se trahissait. Ils étaient essoufflés, à bout de forces. Abandonnés. Lassés de pourchasser des chimères. Ce n'était pas la première fois que les ombrageux se retrouvaient en position de faiblesse, mais c'était bien la première fois qu'ils semblaient faibles. Ils avaient trop perdus, leur sang, leurs proches, leur fierté. Ils s'étaient fait balayer si facilement, bazardant leurs espoirs au tiroir. Concédant la couronne à cette bande de merdeux. Il ne planait, dans l'air, plus qu'une vague odeur de regret. Et de solitude.

On a gagné une membre de talent sur Expia. Ohlala je me régale à te lire ! C'est très joli ! *-*

Crunch a écrit:

Leurs âmes avaient été consumées par le désir. Ils s'étaient fait bouffer par la réalité. On leur avait arraché les leurs, les punissant même d'avoir trop longtemps rêvé, plané dans un idéal inatteignable. Bernés par leurs propres illusions, par leurs propres espérances. Celle d'un monde libre, sans entraves.

Crunch a écrit:

L'ivresse de pouvoir les avait fauchés, eux, pauvres soldats charmés par l'équité. La vie leur en avait foutu une belle, pour s'être laisser enjôler par leurs utopies. Elle leur avait craché à la gueule, volant leurs biens les plus précieux, leurs rêves et leurs existences. Ils avaient voulu jouer avec le feu, ils en payaient à présent le prix fort. A force de voler trop près du soleil on finit par se brûler les ailes, et ça, ce n'était que le début de la chute. Le début de la guerre.

Haaan le pathos dans ton style d'écriture ! J'adore ! Ca me fait penser au lycée quand ma prof de français encourageait mon pathos. C'est quand tu fais des jolies répétitions, quand tu insistes sur certains mots pour les mettre en valeur, quand tu utilises la passion dans les mots. J'adore j'adore. ce n'était que le début de la chute. Le début de la guerre Voilà c'est ça, c'est de l'art :) Toutes tes phrases sont poétiques. Elles s'assemblent en harmonie et c'est vraiment chouette à lire. Il y a même des rimes de temps en temps, je sais pas si c'est le hasard ou si c'est fait exprès mais j'adore ahah ! J'aime beaucoup les rimes, ça donne un rythme au texte, ça ne l'alourdi pas, au contraire je trouve que ça adouci. Bref, très joli !

Crunch a écrit:

A regarder leurs cendres s'éloigner dans une bourrasque. Éteignant le feu qui animait leurs cœurs éreintés. Et sans plus besoin de les détruire, il ne lui restait plus qu'à admirer son joyeux massacre, et leurs âmes brulées par la perte. Mais la reine devrait prendre garde à elle, si elle rencontre le vent, la flamme peut bien vite se raviver.

joyeux massacre Ouuh le bel oxymore. J'ai l'impression que t'es une bête en français ! Franchement Unchy, c'est très bien dit ! Je me répète : j'adore ! On adore jamais assez ^^ Expia de mon coeur, merci pour toutes ces plumes merveilleuses !

Crunch a écrit:

Et les yeux perdus dans le vague, le coude posé sur la table, Athéna écrasa sa joue contre la paume de sa main. L'impatience grandissait à mesure que les ombrageux pénétraient dans la salle. Ils devaient être à présent une vingtaine, et s'étaient mis à bavarder furieusement. La porte se poussa une nouvelle fois et tous les regard se braquèrent sur le nouvel arrivant, Caliel. Il était rentré au campement ensanglanté, blessé. Elle avait pansé ses plaies. On dit que c'est en tombant qu'on apprend, et bien si les ombrageux continuait à chutait, elle finirait par devenir médecin.

Crunch a écrit:

Elle échappa un léger rire, résonnant dans la pièce comme un intrus.

Oh joli !

Crunch a écrit:

Sa langue était lourde, comme si chaque mot lui avait pesé. Pesé d'admettre qu'ils étaient à présent les victimes, faibles, traqués. Pesés d'admettre qu'ils n'avançaient plus, que le pouvoir leur avait lentement glissé entre les doigts. Une bande de pantins voilà ce qu'ils étaient, de vulgaires marionnettes réduites en miettes. Plongés dans cette quête de grandeur où ils s'étaient noyés.

Youuuh Unchy *-* Fais d'autres post comme ça et on va mourir de beauté !

Je lis Robb et Jade ! C'est vraiment cool !

Bel, ton premier post est juste jcizhvcpzjczjvc j'ai envie de tout citer ^^

Jade a écrit:

Elle était incapable de déterminer depuis combien d'heures ou de jours elle était enfermée ici. La pièce était très étroite et humide. Les parois épaisses et grisâtres la séparaient de certains autres membres de la Guilde qui étaient également capturés. Allongée sur le sol dur et froid, des frissons lui parcoururent l'échine tandis qu'elle luttait pour se redresser. La brune n'avait aucun souvenir de la façon dont la bataille s'était terminée. Les seuls fragments qu'elle revoyait en détail, c'était le moment où Dante lui avait sauvé la mise, son combat inégal avec un Témérien déchaîné et les corps qui s’effondraient tous un par un. Le reste s'était un trou noir complet.

Jade a écrit:

Jade s'adossa contre l'un des murs en gémissant de douleur. Même si l'apprentie guerrière s'était débrouillée pour réduire en bouillie ses adversaires, elle avait été bien amochée. Prise de fatigue, ses paupières se baissèrent d'elles-mêmes. Mais un bruit retînt son attention et la dissuada de continuer sa sieste. Essayant de se relever, elle s'écroula plusieurs fois en toussant avant de réussir à tenir debout. Des gardes arrivaient, s'assurant que les prisonniers étaient toujours à leur place. L'Ombrageuse s'approcha des barreaux et tenta de les attirer vers sa cellule.

Jade a écrit:

« Vous n'auriez pas un peu d'eau par hasard ? Bon d'accord je l'avoue, j'ai peut-être tué quelques uns de vos amis mais c'est eux qui m'ont attaquée en premier. J'ai rien à voir avec ce complot foireux, si j'en avais été à la charge on aurait remporté la bataille ! »

XD

Jade a écrit:

Elle recula d'un pas instinctivement et plissa des yeux afin de voir son visage. Le brun la scrutant de haut en bas en affichant un petit sourire en coin. Franchement était-ce si drôle de voir une fille en cage ?

Jade a écrit:

Le séduisant Témérien était armé et arborait une silhouette athlétique. Jade le fixait de ses prunelles noisettes, à la fois méfiante et intriguée. « Salut beau brun. »

Ahah ! Je vais mettre ça dans les awards ! Trop bien sorti Jade ! xD

Jade a écrit:

À peine venait-elle de lui adresser la parole qu'il fît sur le point de décamper. Il avait certainement autre chose de bien mieux à faire que de parler avec une ennemie et une prisonnière mais la brunette comptait bien le retenir. « Non, attends ! S'il te plait. »

J'aime trop, j'ai l'impression d'être dans la scène !

Jade a écrit:

La jeune femme était prête à trahir les siens pour son propre intérêt. Elle ne changerait jamais. Jade est égoïste, manipulatrice et peut mentir à la perfection. Elle n'aura donc aucun regret à choisir le camp adverse si il le fallait. Sa propre personne passait avant tout.

Vraiment cool ce rp !!! :D Je le dévore !!

Robb a écrit:

Il marchait d'un pas mesuré et implacable, abattant son bâton de garde sur les barreaux des cellules. Robin jouissait de cet écho assourdissant, il aimait le chaos et le désordre tout autant que les dépravés et le sang.

J'aime les perso sadiques x)

Robb a écrit:

Robb se plaisait ainsi à penser qu'il était un passeur de mort : le nocher des Enfers, un Charon humain. Il ne répondait de personne, n'était soumis à aucune loi terrestre, il était l'être suprême, unique... le pilier entre deux mondes : la vie et la mort. Son sourire redoubla face à l'évocation de son dessein et il mit toute sa hargne dans ses coups. Le sifflement du fer se répandait dans l'atmosphère, et la vibration du bâton gagnait son bras, son cœur puis son corps tout entier dans une fulgurante explosion. Il soupira d'extase, cette journée s'annonçait exquise !

J'adorrrreee :p

Robb a écrit:

Parmi la cohue des plaintes humaines, il discerna une voix féminine. Rauque et douce. Entêtante et exquise. Il laissa libre cours à ses sens et s'enfonça dans les galeries, à un tournant, il perçut le pas précipité de deux gardes et s'engagea à leur suite. La jeune femme enlaçait ses barreaux dans un ultime effort pour se maintenir debout.

Robb a écrit:

L'espion devina, au demeurant, la beauté dans ce tableau de bataille. Elle portait haut la tête, fière et orgueilleuse, semblable à ces femmes assurée de leur pouvoir. Des reflets cuivrés jouaient dans sa crinière, elle était svelte et bien plus musclée que la plupart des femmes.

Quelle description !

Robb a écrit:

« Il serait affligeant que Kath apprenne que l'un de ses plus fidèles soldats coure les bordels al... » Le gardien ne lui laissa pas le temps d'achever, et s'éloigna d'un pas furieux, bousculant l'espion au passage.

Héhé ^^

Robb a écrit:

Robb était intrigué et l'ennui commençait à assombrir son humeur. Il appuya nonchalamment ses coudes sur les barreaux, et darda ses prunelles embrasées sur elle. Il déshabillait son interlocutrice du regard, débattant de ses charmes et de ses manques apparents. « Persuade-moi de rester dans ce cas. » Le défi était lancé.

oooooooouuuuh j'adore !! *_*

Jade a écrit:

Nina est vraiment magnifique. Les gifs sont parfaits pour ce post !

Jade a écrit:

Contrairement aux autres Témériens, il avait un visage plus doux et enfantin. Il semblait plus sage et indulgent, mais comme on lui répétait souvent, ne jamais se fier aux apparences.

Jade a écrit:

Elle allait devoir réfléchir d'elle-même. La prisonnière afficha alors un léger sourire avant de retirer son haut à moitié déchiré et tâché de sang. « J'ai ces vêtements depuis plusieurs jours, j'espère que ça ne te dérange pas si... » Sans aucune gêne, elle fît de même avec son bas, en s'accoudant ensuite sur l'un des murs, posant son autre main sur sa hanche.

Ahlalala cette Jade me fait trop rire x)

Jade a écrit:

Qu'est-ce qu'elle apprécier dans ce groupe ? Leur esprit d'équipe, leur force, leur capacité à s'adapter à toutes situations et bien évidemment leur tempérament rebelle et indiscipliné. Mais cela n'avait pas suffit pour remporter le combat. Ils avaient lamentablement échoué. Il était peut-être temps de changer de camp. Ses les Étrangers venaient à contrôler pleinement l'Enclave, elle serait prête à les rejoindre. Ça serait de la trahison.

Jade a écrit:

« Tu veux me rejoindre dans ma cellule ? On pourrait jouer aux fauves. »

Oh mon dieu XDXD

Excellent ce rp ! La suite, la suite !!!

J'avais oublié que Jamesa, c'est le feu.

Malbe a écrit:

Il s'évertuait à voir le bon côté des choses, sans trop savoir pourquoi. Il ne voulait pas vraiment qu'elle vive. Mais il ne voulait pas non plus qu'elle meure. Pas ici, pas comme ça. Ils avaient encore trop à faire, trop d'affaires en suspens, trop d'affaires à conclure. Leur duo ne pouvait s'arrêter ainsi, sur une note d'inachevé. L'amertume serait trop grande et la rancœur envers la victime et les bourreaux le rongerait. Il lui fallait sa revanche, un jour ou l'autre. Et il était prêt à attendre.

Malbe a écrit:

Elle était libre malgré tout. Malgré ses erreurs, malgré la désapprobation de ses frères du Nord, malgré le désir ardent de vengeance du peuple. A cet instant, James perçu la peur de son ennemie jurée, la véritable déception d'avoir échappé à sa mort, la certitude de ne mériter ni compassion, ni pardon. James la trouva faible. Et il la détesta pour être si lasse de vivre. Margaery n'avait pas sauvé Teresa. Elle l'avait condamnée, condamnée à sa liberté.

Malbe a écrit:

On l'autorisa à la toucher, on les laissa se parler. Leurs corps se frôlèrent. La main du malin alla effleurer la joue de la graciée. Il retrouva la douceur de sa peau et la rudesse de son caractère. [...] Puis il osa prolonger son regard sur ses épaules et ses bras, pour le jeter dans le sien. Un mélange de Terre de Sienne et de bleu givré, les braises enflammées et les cristaux glacés. Ils étaient inaccordables et pourtant leur duo allait de soi.

Léa la machine !

Caliel a écrit:

Parce que c'était cela, la vérité, la terrible vérité : ils avaient perdus. Eux, les frères d'armes, les frères d'idées, les frères de cœur. Ils avaient joué toutes leurs cartes ; et elles s'étaient toutes enflammées dans l'ardeur de la bataille. Ils n'étaient plus rien qu'un tas d'insectes écrasés qui osaient encore lutter pour vivre. Ils étaient pitoyables...

Caliel a écrit:

Pourtant, ce fut ce sentiment profond de vide et de mollesse qui tira jusqu'à lui les émotions. Tristesse et haine revinrent au galop, juchées avec prestance sur leurs fougueux destriers du malheur. Ses pupilles s'humidifièrent sans qu'il pût rien y faire et de ses lèvres entrouvertes s'échappa un souffle vibrant.

*-*

Caliel a écrit:

Il avait l'impression d'avoir été ramené plus bas que jamais, d'être incapable de tout et promis à rien.

Cette phrase m'a tapée dans l'oeil :3

Caliel a écrit:

En son for intérieur, Caliel espérait que les Ombrageux seraient de ces hommes et de ces femmes de courage ; de ceux qui ne s'écroulent, se déchirent, se brisent, uniquement pour revenir plus grands et plus forts. Oh oui, il l'espérait. Si ardemment. Le rêve ne pouvait pas se finir ainsi.

Caliel a écrit:

Du fait de son agitation intérieure, il n'avait rien senti mais, plus le temps passait, plus la douleur s'installait. Et la fatigue, aussi, avait repris ses droits en chassant l'adrénaline. Il s'était écroulé sur un lit de camp et avait dormi tout l'après-midi, d'un sommeil troublé par les tiraillements de ses blessures et les songes de son esprit.

Caliel a écrit:

Il conservait un doute simplement parce qu'il ne pourrait se résoudre à y croire pleinement que lorsqu'il l'aurait aperçue, que lorsqu'il l'aurait touchée et serrée dans ses bras, son amie.

Moooooh :3 mon petit coeur est en joie ♪♪♪

Caliel a écrit:

Il s'approcha précipitamment et grimaça aussitôt : les marques de la guerre lui rappelèrent bien vite son état de convalescent. Toutefois, il poursuivit son avancée, trop heureux de voir son amie d'enfance en vie pour s'arrêter sous la pression de quelques douleurs. Lorsqu'il fut assez près d'elle, il posa une main enveloppée d'un bandage sur son épaule, pour l'amener à se retourner.

J'aime beaucoup ce lien que vous avez :)

Et pour Vinciane, que je lis un peu un retard ! (Pas trop en retard, comparé à certaines lectures hmhm)

Vinciane a écrit:

Au loin, le soleil commençait à poindre. Il fallait qu'elle rejoignît le Village. Elle n'avait absolument aucune idée de la direction à prendre. Il ne s'agissait plus que de mettre un pied devant l'autre, en priant que le destin jouât en sa faveur. Il s'agissait de confier sa vie au hasard... quelle drôle d'idée.

Vinciane a écrit:

Tandis qu'elle marchait, elle ne cessait d'observer son environnement. Si elle n'avait pas été sur le point de s'évanouir de terreur, peut-être aurait-elle pris le temps d'admirer la verdure luxuriante et le reflet du soleil sur les feuilles couvertes de rosée, d'écouter le chant cristallin des oiseaux et le murmure tendre du vent.

Vinciane a écrit:

Désormais, elle allait devoir envisager d'apprendre à se protéger par ses propres moyens. Beaucoup de choses allaient changer... Rien qu'à cette pensée, sa gorge se nouait. Elle n'aimait pas les changements brutaux. Celui-ci, encore moins. Brutal, et irrévocable. Sûrement.

Vinciane a écrit:

Toute seule. Cela aussi, c'était nouveau. Elle avait toujours eu quelqu'un sur qui compter, sur qui délester ses soucis lorsqu'ils lui pesaient trop ; sa mère, sa gouvernante, son père, Andrew. Mais ils avaient tous disparus. Sa mère, malade, et sa gouvernante, âgée, avaient rejoint les milliers d'âmes qui les attendaient de l'autre côté. Quant à son père, il était parti en voyage d'affaire plusieurs mois auparavant. Les Dieux seuls savaient lorsqu'il rentrerait - s'il rentrait. Il ne donnait, comme à son habitude, aucun signe de vie. Vinciane doutait même qu'il eût connaissance de la situation que subissait Vivendale. Et s'il l'apprenait... rentrerait-il ? Risquerait-il sa vie pour aller chercher une fille qui avait toutes les chances d'être morte ? Elle voulait croire que oui, parce qu'elle connaissait son amour pour elle, mais elle ne pouvait s'empêcher de douter. L'instinct de survie n'allait clairement pas dans ce sens...

Vinciane a écrit:

Et Andrew. Andrew. Elle serra les dents et raffermit son emprise sur la couverture. Probablement embroché sur le champ de bataille. Taillé en pièce. Strié de coup d'épée. Percé de pointes de flèches. Perclus par la cage solide et inviolable de la mort. La jeune femme ne voulait pas s'y résigner. Elle voulait encore espérer, mais tout accablait sa lueur d'espoir. Il l'aurait rejointe, s'il l'avait pu. Elle en était sûre.

Vinciane a écrit:

Vinciane avait cette foi inébranlable en certaines choses. Elle n'avait pas nécessairement besoin de les voir, de les entendre, de les toucher, de les goûter ou de les sentir : elle les ressentait. Et pour cela, elle n'avait besoin d'aucune preuve : il lui suffisait d'y croire avec sa candeur d'enfant et sa ferveur d'adolescente. L'amour d'Andrew en faisait partie.

Citation :

Sur ses gardes, elle ne bougeait plus, sans trop savoir si elle était pétrifiée par la terreur ou si sa raison, subtilement, lui intimait que fuir ne s'avérerait pas être la bonne solution, cette fois-ci.

Citation :

Elle tendait devant elle la dague, comme si la petite arme pouvait la protéger d'une quelconque façon ; grosse bêtise mais douce illusion.

Joli !
Je pense que je t'ai déjà dit que je m'identifiais à elle, un peu à toi du coup. On a vraiment beaucoup de choses en commun, ça fait peur ^^ (le délire : on est la même personne :oooo) La peur du changement, l'appréhension, l'hésitation, la solitude.
J'ai beaucoup aimé lire Caliel et Vinciane, les deux sont attachants. Mais Caliel on commence à le connaître et on l'aime sous toutes les coutures ! Et pour le premier post de Vinciane, je trouve que l'entrée est pas mal réussie. Elle se pose beaucoup de questions, elle se cherche, ça change beaucoup de tes personnages hyper badass. Une petite pointe de douceur dans ce monde de brutes. J'aime ! :)

Les premiers mots m'ont totalement charmée :)

James a écrit:

Il y avait peu de choses qui comptaient pour James, pour ne pas dire que rien ne comptait vraiment. Sa survie, son bien-être, son plaisir personnel, ça oui, c'était important. Mais il n'avait jamais tenu à quelqu'un.

J'aime trop la vision que James a de Teresa.

James a écrit:

Elle avait tant de fois échappé à la mort, par hasard ou par stratégie. Car tandis que certains semblaient attirer les ennuis, Teresa elle, avait ce don, celui de se sortir du pétrin, quoi qu'il en coûte. Mais cette fois, la Chance ne souriait pas, elle tirait plutôt sa bouche mécontente vers le bas et s'alliait à la fatalité.

James a écrit:

Il avait pensé à l'épargner, autrefois, plus d'une fois. Et il s'était même plu à s'y résoudre. Une seule. Une seule âme qui échapperait à la sentence. Unique, cas isolé, preuve de sa grande clémence. Elle avait réussi à changer ses priorités. Le plaisir avant la vengeance. Mais il ne se ferait plus avoir. Voir l'assassine ainsi, dépouillée de sa dignité, chétive et tremblante sur ses jambes, avait suffit à lui faire oublier qu'il avait un jour pensé à elle en de bons termes.

James a écrit:

Il était déçu. Il avait pensé qu'elle était plus intéressante que les autres. Mais peut-être qu'elle était aussi faible que tous ces misérables qui la regardaient, aussi inutile que la rousse aux grands airs sur son trône de velours.

Dans ma tête ? "BOUM MARGA DANS TA FACE !" Je sais pas pourquoi. J'aime bien Marga. Ça doit être mon subconscient qui veut la punir pour ce qu'elle fait endurer à Aaron...

Mais en vrai elle prend trop cher XD

James a écrit:

Peut-être qu'elle n'était pas aussi misérable que la foule, ni aussi inutile que la rousse.

James a écrit:

Il s'évertuait à voir le bon côté des choses, sans trop savoir pourquoi. Il ne voulait pas vraiment qu'elle vive. Mais il ne voulait pas non plus qu'elle meure. Pas ici, pas comme ça. Ils avaient encore trop à faire, trop d'affaires en suspens, trop d'affaires à conclure. Leur duo ne pouvait s'arrêter ainsi, sur une note d'inachevé. L'amertume serait trop grande et la rancœur envers la victime et les bourreaux le rongerait. Il lui fallait sa revanche, un jour ou l'autre. Et il était prêt à attendre.

J'aime trop cette relation parfaitement malsaine entre eux !

James a écrit:

Margaery se leva, une main en l'air en signe d'apaisement et aussitôt, on se calma. Il détesta cette soumission. Il aurait voulu que la foule se jette sur la rousse. Le vicieux voyait bien la tête de l'envahisseuse sur un piquet, sa tresse rouge dans le vent et son cou déchiré comme le bord d'un tricot raté. Oh il se régalait de cette représentation. Elle se permettait de condamner les Nordiens alors qu'elle venait de leur arracher leurs droits, leurs familles et leurs rêves.

Allez hop, encore pour la pomme de Marga ! Mais quand j'ai lu ça, j'ai trop pensé à James et Caliel en mode gros frustrés de la vie x) Ce qu'il dit c'est teeellement ce que Cal pense...

James a écrit:

Petites fourmis sans cervelle, partisanes de la machination. Ils étaient aveugles, tous, tous ces dociles, tous ces barbares, ces crétins aux parures et ces idiots en guenilles. Incapables de voir qu'on les nourrissait de mensonges, qu'on les gavaient de parades pour oublier l'injustice.

*-*

James a écrit:

A cet instant, James perçu la peur de son ennemie jurée, la véritable déception d'avoir échappé à sa mort, la certitude de ne mériter ni compassion, ni pardon. James la trouva faible. Et il la détesta pour être si lasse de vivre. Margaery n'avait pas sauvé Teresa. Elle l'avait condamnée, condamnée à sa liberté.

Juste, oui.

James a écrit:

Elle osa lever le menton et croisa les regards de dizaines d'impatients. Elle les soutint, fière, hautaine de nouveau. James eut un battement de coeur joyeux, et les coins de sa bouche se relevèrent lorsqu'elle posa ses mirettes mordorées sur lui.

Ils s'observèrent un temps, pour retrouver les traits familiers de leur visage, pour s'assurer que c'était bien réel, que la Chance n'avait pas triché.

BATTEMENT DE CŒUR JOYEUX.

James a écrit:

Il retrouva la douceur de sa peau et la rudesse de son caractère.

J'aime trop cette phrase !

James a écrit:

Puis il sourit doucement et souffla: « J'aime bien. » Il haussa les épaules, comme si ce n'était pas si important.

AH ! Il feint le détachement ! Il est conquis ! Pécho-le Teresa ! Pécho-le devant tous les Témériens et fout leur le seum de leur vie !

James a écrit:

Un mélange de Terre de Sienne et de bleu givré, les braises enflammées et les cristaux glacés. Ils étaient inaccordables et pourtant leur duo allait de soi.

Ça aussi j'aime beaucoup.

James a écrit:

La sicaire était toujours elle-même, intense, brûlante, révoltée. James charmé par le hasard, par la conjoncture improbable, s'enivra de l'odeur de la victoire. La belle regagnerait bientôt  de sa férocité, elle allait retrouver son audace. Car déjà le voile de désespoir fuyait son visage, et quand les fers quitteraient définitivement ses poignets, elle se vengerait. « T'as de la Chance, Teresa Labonaire. » Il laissa retomber ses doigts lentement. « Une putain d'chance. »

J'aime j'aime j'aime.

Mon dieu j'ai enfin terminé... c'est pour ça que je cite pas souvent ! Trop long et trop dur !

Alors comme je me convertis au citation... je vais citer au fur et à mesure de ma lecture !

Déjà, ça : " — IT'S TOO LATE TO APOLOGIZE — " Dans ma tête = "Oh ! One Republic ! Blind test je te défonce !" Puis : "Nooon elle va pas lui faire ça nooon, Belinnnnnn". Voilà. En gros.

Dunya a écrit:

Ils avaient échoué, ils avaient abandonné. Pouvait-elle les blâmer ? La jeune femme n'avait même pas participé à la bataille. Elle n'avait pas été présente à leurs côtés pour les aider, était-ce lâche ? Non, du moins pas vraiment. C'était son choix de rester au campement, désormais elle allait devoir faire avec, oublier sa possible erreur. Dans tous les cas, elle n'aurait pas été d'une grande aide. Sachant seulement se battre convenablement avec une épée en main, l'Ombrageuse n'était pas assez brutale et forte mentalement pour endosser le rôle de guerrière. C'était comme si les étoiles tombaient à ses pieds, la gardant clouée au sol. Face à un ennemi, aurait été-t-elle capable de le tuer ? Certainement pas. Elle l'aurait sûrement blessé légèrement pour le stopper et se défendre un minimum, mais n'aurait pas fait l'effort d'aller jusqu'au bout de sa mission. Elle était bien trop sensible et fragile. Cependant, ce n'était pas une question de peur. Non, elle n'était pas effrayée. Elle gardait espoir. C'était le temps d'allumer la flamme juste avant qu'il pleuve.

Dunya on s'en fout que tu sois pas capable de tuer, au moins t'es pas un monstre, moi je t'aime ! (Vraiment, j'aime trop ce personnage, elle est trooop mignonne.)

Dunya a écrit:

Assise près du feu, la jolie blonde essuya d'un revers de main la chaude larme qui roulait sur sa joue pâle et rosée. Le monde n'était donc pas encore assez cruel ? Ces derniers jours avaient été bien trop durs et éprouvants. La nuit commençait à tomber doucement, cela dit la journée avait été interminable. Scrutant les nuages noirs et épais au dessus de sa tête, Dunya, épuisée, ferma un instant ses paupières. Mais la sensation était encore pire. Le peu de fois qu'elle tentait de se reposer, l'Ombrageuse revoyait ces horribles images. Un groupe de membres de la Guilde des Ombres qui s'écroulait sur le sol boueux, trop fatigués et amochés suite au combat contre les Étrangers. Certains étaient en pleurs tandis que d'autres hurlaient de douleur. Essayant de faire tout leur possible pour sauver leurs acolytes, la plupart s'étaient sacrifiés pour eux comme si c'était des membres de leur propre famille.

Ce petit morceau est trop émouvant. Je me représente trop les ombrageux comme ça, toujours prêts à se sacrifier pour les leurs, le prix important peu finalement... et toujours cette douleur de voir cette grande famille faillir.

Dunya a écrit:

Qu'attendait-il au juste ? Qu'elle lui pardonne et fasse comme si rien ne s'était passé ? Elle ne pouvait pas. Il avait fui sans explications des années de cela, et le voilà qui réapparaît de nouveau comme une fleur. Dunya lui avait déjà laissé l'occasion de s'expliquer lors de leur dernière rencontre, mais il ne l'avait pas fait. Il n'avait même pas tenté de se faire pardonner. De toute façon, elle n'accepterait pas ses excuses. C'était trop tard.

Mais non mais non dis pas ça ils vont se réconcilier ! (Le Caliel en moi est extrêmement blessé et a envie de bouder XD)

Dunya a écrit:

« Qu'est-ce que tu veux Cal ? Tu n'en as pas marre de jouer avec mes émotions ? »

Alors là... j'ai souri parce que j'ai entendu Sey XD Notre petite Sey tuée chaque jour par ses ships haha.

Dunya a écrit:

« Tu me dis que tu as besoin de moi puis tu pars et coupes les liens. Ne pensais-tu pas que je te tournerais le dos à mon tour ? Ne me dis pas que tu es désolé car il est trop tard pour s'excuser. » Furieuse, elle ne remarqua pas que le ton de sa voix monta d'un cran. « J'ai eu tort d'avoir essayé de recoller les morceaux la dernière fois. De toute façon je me porte mieux sans toi. » C'était presque méchant et cruel de lui dire cela, mais ses mots étaient partis plus vite qu'elle ne le pensait. La colère avait parlé.

Mon état émotionnel est lui aussi monté ostensiblement d'un cran... Mais en vrai c'est trop une sale histoire triste ça. Un peu de bonheur sur Expiation svp !

J'aime trop la relation Seyrane/Aiden x) Quand je pense à eux je vois deux gamins qui se font des coups foireux, genre mettre du poil à gratter dans le lit de l'autre, foutre la brosse à dents dans la cuvette des chiottes puis la remettre à sa place...

Seyrane a écrit:

Il se jouait de la bienséance et des manières vivendalaises avec une aisance que Seyrane ne pouvait qu'admirer, voire même envier - bien qu'elle eût préféré mourir que d'admettre quoi que ce soit de positif à propos d'un personnage aussi insupportable.

Vas-y Seyrane cèèède. Mais en vrai je crois qu'un compliment sincère de Seyrane le déstabiliserait énormément aha.

Seyrane a écrit:

C'était une sorte de prologue à la véritable discussion, exaspérant et inévitable, qu'elle subit sans broncher malgré l'impertinence des propos. Transgresser les normes, provoquer ses adversaires, telle était sa tactique.

Oui, l'Aidenblabla fait toujours son petit effet détestable !

Seyrane a écrit:

La jeune femme se crispa intérieurement. Cette manière qu'il avait de se moquer d'elle, cette jubilation qu'il affichait ouvertement sans le moindre égard pour l'étiquette...

Allez, BITCH SLAP ! Il le mérite, c'est vraiment un enfoiré.

Seyrane a écrit:

« La gloire... Un concept bien superficiel, n'est-ce pas ? On prétend savoir la dompter et en être maître, mais après tout lorsque vous êtes au sommet, une épée de Damocles menace en permanence votre tête... Le choix ne vous appartient plus... Comme vous devez être soulagé d'être revenu à la condition d'homme normal... libre ! »

Je dois avoir un sourire à peu près aussi détestable que celui d'Aiden en lisant ça (pardon)... Mais y'a une part de moi qui soutient Seyrane (vas-y Seyounette ! Défonce-le !) ! Y'a juste la partie Aiden qui rigole bien et sait déjà ce qu'il va répondre gniahaha.

Seyrane a écrit:

Et Seyrane était parfaitement conscience que cet affrontement ne relevait que du jeu dans l'esprit tordu du blond. Mais la revanche, si petite et mesquine soit-elle, est impitoyable.

Mais en fait j'aime bien ce rp parce qu'elle peut tellement pas le blairer qu'elle est limite la plus objective de toutes !

Seyrane a écrit:

Mais il était odieux, et sa punition était taillée à la mesure de son arrogance. Bien méritée.

Ah je l'adore, je l'adore, elle me tue XD Elle est merveilleuse ! (Et puis cette petite pensée de rageuse aaah.)

Seyrane a écrit:

L'esprit vagabond de Seyrane s'éloigna de l'instant présent. L'Enclave était le réceptacle de tant de rumeurs malveillantes, de ragots indiscrets... Les péripéties des dernières semaines étaient déjà suffisamment épuisantes pour ne pas avoir à supporter, en outre, la perfidie des Vivendalais. Mais la brunette ne pouvait rien contre ces langues de vipères, elle était née dans ce nid de serpents et y avait été élevée. Les artifices de la dissimulation ne lui étaient que trop familiers.

Je veux trooop savoir ! J'avoue j'ai essayé de t'extorquer la vérité via Aiden... mais il réussira ! Il réussira à savoir, niark ! (même s'il y arrive pas tout seul il le saura :p)
Et j'aime beaucoup ce petit paragraphe.

Seyrane a écrit:

Aiden ne manquerait pas de relever cette dérobade et de la confronter à nouveau. Mais peu importait, elle serait évasive jusqu'à ce qu'il se lasse. Se lassait-il parfois ?

D'accord, tu nous a vus venir à des kilomètres x) Mais non il ne se lasse pas ! Jamais ! JA-MAIS ! (En fait en général il a pas le temps parce qu'il est tellement chiant que les autres en ont marre avant lui XD)

Ma petite Sey, comme d'habitude, c'était trop bien, et j'ai hâte de répondre, mais je vais essayer de répondre après tes épreuves écrites pour que tu sois pas trop déconcentrée ;)

C'est rigolo au moins quand je cite... vous pouvez voir dans quel état d'hystérie légère me met la lecture d'un rp...

Caliel a écrit:

Il inspira un grand coup, puis admit, presque dans un murmure : « Je peux pas vivre en sachant qu'ils n'ont pas été vengés. Pareil pour Caelan... » Ses yeux scrutèrent le visage de la jeune blonde. « Ils étaient ma famille, Dunya. » Qui n'aurait pas agi de la même façon ? Qui ne désirerait pas venger ses pairs ? L'Ombrageux avait aimé cette famille plus que tout au monde. Et, depuis qu'elle avait disparu, peut-être plus encore. Il entretenait un souvenir un peu malsain, bercé par la douleur, les désirs de revanche et l'amour inconditionnel qu'il avait eu pour elle. Un souvenir qui le bouffait. « Ça n'excuse pas le fait que je sois parti, et ça n'explique pas celui que je n'aie rien dit. Mais j'ai rien dit parce que la seule personne à qui j'en ai parlé, elle a essayé de me retenir. Et je savais pertinemment que si on me disait de rester, je serais resté. » Aveu de faiblesse. Sa faiblesse la plus grande, c'étaient les autres. Ils l'affaiblissaient au moins autant qu'ils lui donnaient sa force. Aveu d'amour. « Je pouvais pas rester. Je m'en serais voulu toute ma vie de ne pas essayer. Quelle sorte de lâche et de fils, de frère, indigne laisserait une telle... une telle chose impunie ? »

Ouuuuh ce rp ! :p

Willara est dans mon coeur depuis bien trop longtemps ! Je suis trop trop heureuse que ça se fasse enfin ! <3<3

William a écrit:

Passé le premier soulagement de constater que Lara était vivante et qu'elle tenait debout, le jeune homme détailla avec plus d'attention la frêle silhouette qui se tenait face à lui. Elle ne semblait présenter aucune blessure préoccupante, quoique les coups ne l'aient pas épargnée, et un bandage autour de son avant-bras indiquait son passage par l'infirmerie. Il aurait du s'y trouver aussi, ne serait-ce que pour filer un coup de main et soutenir les blessés, si ça n'était pas pour être lui-même soigné. Mais ce soir, William n'avait définitivement pas le courage de jouer à l'Ombrageux modèle.

WILLARA PUTAIN !

William a écrit:

Il préférait donc s'isoler plutôt que d'ajouter sa peine à la somme des difficultés que traversaient la Guilde. De toute façon, il n'était pas connu pour être d'un grand réconfort ; en des temps aussi troublés, son peu de loquacité décourageait même les plus bavards.

Vraiment bien ce passage

William a écrit:

Avec Lara, toutefois, les choses étaient différentes ; ils se connaissaient trop bien pour interférer dans leurs tourments respectifs

Oui oui oui !!!! :D

William a écrit:

Elle vint se caler contre son épaule valide et il referma ses bras autour d'elle, la joue contre ses cheveux sales et emmêlés. D'ordinaire peu tactile et réticent aux contacts prolongés, qu'il jugeait excessifs, William se surprit à trouver de la consolation dans cette étreinte. Une telle spontanéité était plus appréciable que ce qu'il ne pensait, lui qui réfléchissait toujours à chacun de ses mouvements - tout du moins c'était l'illusion dans laquelle il aimait à se bercer.

William a écrit:

La perspective de sortir dans le froid et dans la nuit ne l'enthousiasmait pas spécialement, sans compter que vu l'heure avancée, les soigneurs s'accordaient probablement un peu de repos. Il ne parviendrait pas à réaliser cette opération seul, mais ne désirait pas non plus demander de l'aide à Lara. Elle avait du faire suffisamment d'assistance médicale pour les prochains jours. Il se tourna alors, à la recherche d'un simple bandage qui suffirait pour la nuit, et intercepta les iris dorés de la blonde, qui fixaient la coupure encore béante. Elle fronça les sourcils et il comprit à l'instant même qu'elle allait insister pour s'en occuper. « C'est rien, ça, juste une écorchure. J'irai à l'infirmerie demain. » affirma-t-il en espérant être dissuasif.

Hiiiiiiii marion contente ^^

NON MAIS ALORS LUCIE. LUCIE, BORDEL.

Line a écrit:

Des yeux de biche, des lèvres boudeuses, des seins indomptés et des hanches à saisir... Le plaisir masculin dépendant de son seul bon vouloir ! Oh, les maîtresses jouissent de ce sentiment de puissance lorsque les amants se raidissent et implorent la caresse finale... à leur merci ! Pas étonnant que la luxure soit un péché capital ! Indomptable et pourtant dompteuse du monde... avait-il dit, il était loin d'imaginer la réalité ! Mais lorsque l'on attise l'appétit du prédateur, il ne faut pas craindre d'être dévoré...

Merci pour cette flopée de sous-entendus XD Non mais j'ai lu ça et j'étais en mode : "Non. Non non non. Ce rp part trop en couilles. Elle va pas faire ça. Non non non."

Line a écrit:

Il lui adressa un sourire narquois puis un voile passa à nouveau dans ses yeux, il cherchait. Il tentait de la mettre à jour, de la percer, de cerner l'ensemble de son âme. Aiden était de ces êtres à la fois plaisant et grossier qui cherche tout autant à vous enflammer qu'à vous brûler !
[...]
Il ne s'agissait plus de plaisanter, Aiden allait attaquer à l'endroit où cela ferait le plus mal, là où il y aurait le plus de dégâts...

Héhéhéhéhéhéhéhéhéhéhé.

Line a écrit:

Elle se pencha en avant, se rapprochant dangereusement du traître, son visage à seulement quelques centimètres du sien. « Aiden Ruthendell, toujours si sérieux... nul devoir ? Libre comme l'air ? Aucune entrave ? » A nouveau, un gloussement lui échappa.

Ma première pensée ? JULIET. Quand Aiden dit qu'il est un esclave à Kat et qu'il n'a pas de libertés, il ment pas ! Il est contraint tout le temps, pour tout.

Line a écrit:

La belle brune rejoignit son lit et défit les draps en quête de son nectar ; ses mains se refermèrent enfin sur le petit sachet et elle le porta à son cœur comme une enfant. Les cordelettes ne tardèrent pas à tomber et elle passa son nez avec volupté dans le sac d'opium. Ses yeux s'agrandirent et elle darda son regard enflammé sur Aiden. « Et si, tu prenais quelques risques pour une fois... ? »

WTF MAIS LINE. DE L'OPIUM. Mais par contre la question d'Isa est omgesque. Trop d'idées dans mon cerveau.

Line a écrit:

Isabelle vacilla et s'effondra sur le torse de son tortionnaire. Leur proximité la fit rougir, et elle passa une main de prédateur dans sa crinière de lion. Elle n'aspirait qu'à le dévorer ou... à être dévorée ! Elle voulait qu'il la brise toute entière, qu'il la réduise à rien, à néant. Ainsi se définissait la passion, étroitement entremêlée avec le tourment. Un éclair sournois traversa son regard de chasseresse. « ...prendre un risque ! » Elle déposa délicatement ses lèvres esseulées sur les siennes... Mais sa bouche ne tarda pas à prendre vie et à se mouvoir, elle s'écrasa contre sa proie, assouvi par un besoin désespéré. Son corps tout entier appelait à être aimé dans les bras du serpent.

NON. ELLE L'A FAIT. Je suis sûre que c'est à cause du mec de term ! T'es frustrée et tu reportes ça sur Aiden ! Le pauvre ! Mon pauvre petit chéri d'amour ! (#crédibilité)

Non mais sérieux Line ce post... t'es partie en couilles là, je peux même plus dire en cacahuètes tellement ça a fait un boum shaka boum, j'en étais sûre mais en même temps je me disais que tu oserais jamais. Ben si. Tu m'as tuée XD

Je pense qu'il me faudrait un cardiologue à domicile, 24/7, Expiation devient trop dangereux pour moi.

Sha a écrit:

De la chaire, des os et des muscles partageant l'espace d'un corps solide, marqué par la vie, dans lequel circulait un sang mêlé, bâtard. Le sang d'un traître, d'une femme qui était parti sans se retourner, sans même le temps de dire au revoir ou bien merci. Avait-elle eu tort ? Oui. En était-elle conscience ? Pas tout à fait. Enfermée dans une enveloppe charnelle craquée, elle ne pouvait plus saisir le monde comme autrefois, ses nuits était pavées de cauchemars et ses journées de mauvais souvenirs. Ils la hantaient, se jouaient d'elle, s'infiltraient dans son esprit pour lui rappeler que, quoi qu'il arrive, quoi qu'elle fasse, rien ne serait plus pareil. Le réceptacle jadis imperméable de son corps était brisé, tout comme l'enveloppe protégeant son esprit; tout deux étaient percés à jour, la laissant blessée, exposée, vulnérable... ignorante sur ce qu'il s'était passé. Est-ce vraiment de la traîtrise si on ignorait tous les enjeux; si on ignorait que ce que l'on a fait était commettre une trahison ?

Sha a écrit:

Elle ne savait pas... Crédule, elle ignorait qu'il avait été aussi présent à ses côtés, qu'il avait été à son chevet des jours et des nuits durant, veillant sur elle, s'occupant d'elle, s'inquiétant de son sort. Comment pouvait-elle savoir ? Ses souvenirs s'effilochaient avec le temps, elle se rappelait de la peine, la douleur, l'agonie ressentie durant ses semaines où tous l'avaient cru morte, où elle s'était cru mourir. Ses images là revenaient sans cesse et sans cesse. Tel un cercle vicieux, dès qu'une image passée, une autre, tout aussi terrible, venait prendre sa place. Le reste de ses souvenirs étaient flous, imprécis, comme des silhouettes dansant derrière un nuage de fumée, ils étaient là, elle les voyait, mais ils étaient inatteignables. [...] Lui savait. Il avait été là auprès d'elle, quand elle même n'était pas présente; absente, inconsciente, tourmentée... [...] Seulement ça, elle n'en avait pas conscience.

MAIS QUE QUELQU'UN LUI DISE NOM DE DIEU !

Sha a écrit:

« Probablement n'aurais-tu pas du faire cet énorme sacrifice, ça t'aurais surement évité tellement de souffrances... » asséna-t-elle sèchement.

Sha a écrit:

Cela aurait pu être suffisant, cela aurait du être suffisant. Seulement, comme nous l'avons dit, il n'y a de complications dans la vie que celles que que l'on veut bien admettre, et ces complications que l'on admet... ce sont celles que nous créons nous même...

Sha a écrit:

« Et bien tu sais quoi, non je ne sais pas ! Je ne sais pas pourquoi tu es là. Je ne sais pas ce que tu veux, ce que tu me veux ! Je me suis excusée, je t'ai remerciée, qu'est-ce que tu veux de plus ?! » s'emporta-t-elle.

Sha a écrit:

« Et il n'y a pas d'avant ou d'après. Ça ne s'est pas passé comme ça. Je n'étais pas morte, il y-a peut être une pierre tombale à mon nom devant mais j'étais là, juste sous vos nez à tous, vivante et consciente. Et ça n'a rien changé du tout. Ce qu'il s'est passé avant et après n'ont strictement aucun rapport. Tu m'avais poignardé, quand j'essayais de sauver ma demi-soeur, ma soeur. Je voulais juste tenir ma promesse, protéger ma famille, protéger votre serment que vous aviez fait à mon père, mais non, tu m'as poignardé. Alors bien sûr que nous étions ennemis ! Mais même après ça, je t'ai aidé. J'aurais pu te laisser crever avec cette vermine dans les souterrains, j'aurais pu la laisser te tuer, mais je ne l'ai pas fait. S'il y-a un avant et après c'est ici; j'ai décidé de t'aider. Malgré tout ce que tu m'avais fait ! »

Citation :

« Tu sais quoi, j'en ai marre de devoir me justifier auprès de toi. Tu l'as dis, nous sommes quittes. Tu vas bien, je vais bien, tout va bien. Pourquoi s'évertuer à continuer cette conversation. » conclut-elle. A ces mots, elle tourna les talons et s'éloigna. Elle en avait fini avec lui, avec les drames, avec les complications.

1) DC ! Je regarde pas ce qu'a cité Sey ! (je regarderai après parce que vu les gifs c'est drôle)

Aria a écrit:

Enfermée dans une enveloppe charnelle craquée, elle ne pouvait plus saisir le monde comme autrefois, ses nuits était pavées de cauchemars et ses journées de mauvais souvenirs. Ils la hantaient, se jouaient d'elle, s'infiltraient dans son esprit pour lui rappeler que, quoi qu'il arrive, quoi qu'elle fasse, rien ne serait plus pareil. Le réceptacle jadis imperméable de son corps était brisé, tout comme l'enveloppe protégeant son esprit; tout deux étaient percés à jour, la laissant blessée, exposée, vulnérable...

Sha je sais pas si je t'ai dit, mais ça fait un moment que je me le dis, alors je vais te le dire : je trouve que tu écris encore mieux qu'avant ! C'est plus vivant, plus fluide, plus... je sais pas. Mais j'aime ! Bravo bravo bravo.

Aria a écrit:

Le reste de ses souvenirs étaient flous, imprécis, comme des silhouettes dansant derrière un nuage de fumée, ils étaient là, elle les voyait, mais ils étaient inatteignables.

J'aime trop l'image ! Je vois trop les petits gens danser derrière un feu *_*

Aria a écrit:

« Probablement n'aurais-tu pas du faire cet énorme sacrifice, ça t'aurais surement évité tellement de souffrances... » asséna-t-elle sèchement.

Non mais Aria. Aria XD

Aria a écrit:

« Et bien tu sais quoi, non je ne sais pas ! Je ne sais pas pourquoi tu es là. Je ne sais pas ce que tu veux, ce que tu me veux ! Je me suis excusée, je t'ai remerciée, qu'est-ce que tu veux de plus ?! »

WILL EMBRASSE-LA PUTAIN.

Aria a écrit:

« J'aurais pu te laisser crever avec cette vermine dans les souterrains, j'aurais pu la laisser te tuer, mais je ne l'ai pas fait. S'il y-a un avant et après c'est ici; j'ai décidé de t'aider. Malgré tout ce que tu m'avais fait ! »

Oh comment elle le démonte... C'est pas Aria ! C'est Rexaria ! Attaque Rexaria !

Aria a écrit:

« Tu... » Ses mots se suspendirent dans l'espace. Elle avait encore tant de choses à dire, tant de choses à lui dire, à lui reprocher comme il lui en avait reproché aussi. Seulement les mots ne venaient plus. Ses poings se fermèrent, dévoilant ses jointures blanches sous la pression de sa colère. Elle était furieuse, au point qu'elle en perdait ses mots. « Ah merde ! » s'écria-t-elle, relâchant la pression sur ses poings. « Tu sais quoi, j'en ai marre de devoir me justifier auprès de toi. Tu l'as dis, nous sommes quittes. Tu vas bien, je vais bien, tout va bien. Pourquoi s'évertuer à continuer cette conversation. » conclut-elle. A ces mots, elle tourna les talons et s'éloigna. Elle en avait fini avec lui, avec les drames, avec les complications.

OH I KNOW WHAT IS COMING. (And it's not winter.)

Franchement je vous ai déjà dit, j'aime ce rp, j'aime Will, j'aime Aria. Mais j'adooore comment tu la rends vivante, Clémence. On a vraiment l'impression de la voir, de l'entendre, l'impression qu'elle pourrait être là juste à côté de nous. Elle est authentique !

Maintenant je vais lire les commentaires de Sey x) Hahaha elle me tue XD Non mais n'importe quoi ! Le dernier gif avec Jack Sparrow... ah je meurs x)

2) Bon, maintenant, BS !!

Hildr a écrit:

D'habitude, le regard des autres lui importait peu. Elle avait su vivre avec, elle avait apprit à en rire, à en faire une force plutôt qu'un poids, à surpasser les moqueries et les regards de travers pour mieux marcher la tête haute. Le regard des autres n'avaient pas pour habitude de l'écraser, bien au contraire, il avait pour coutume de l'élever, de la faire se surpasser, de la rendre meilleure.

Ça c'est mon bébé *-*

Hildr a écrit:

Elles deux, mieux que quiconque, savaient ce qu'il était de vivre avec le regard d'autrui. Elles qui furent deux femmes entrant dans le cercle exclusivement masculin qu'est l'armée alors, qu'à l'époque, ils étaient encore régis par un roi, et non une reine. Freyja avait toujours su faire abstraction du regard des autres, elle, une femme parmi les hommes, l'enfant sauvage, sortie d'on ne sait où. Nombreuses furent les rumeurs au retour de la jeune femme, mais aussi nombreuses soient-elles, aucune ne l'atteignit. Freyja avait su vivre malgré le regard d'autrui, et Hildr ferait de même avec ceux qui jugeront sa grossesse.

Quand je pense à Hildr et Freyja je me dis "bestaaah" mais quand je lis ça, je me dis "BESTAH FOR EVER BITCHES WE'RE GONNA KICK YOUR ASS".

Hildr a écrit:

Hildr avait toujours voulu avoir un ou des enfants. Elle se souvenait de sa belle, douce et innocente vie d'enfant, de sa joie enfantine, du sourire de ses parents, du bonheur d'être une famille. Elle voulait construire une famille, elle avait d'ailleurs commencé à construire cette famille, avec son fiancé, et maintenant... il n'était plus. Telle une maison mal construite, sa famille rêvée s'était effondrée, ne lui laissant plus qu'un enfant à naître dont le père n'était pas celui qu'il aurait du être.

Mais Noah est le papa PARFAIT ! C'est Clive Standen, on NE PEUT PAS rejeter Mister Standen. NEIN NEIN NEIN NEIN NEIN. J'espère que vous comprenez mes références sinon vous devez penser que je suis vraiment tarée.

Hildr a écrit:

Certains s'amusaient à dire que la guerrière ne savait manier que l'épée, et pas les mots, mais aujourd'hui, elle avait dit exactement ce qu'Hildr avait besoin d'entendre. « Merci. » souffla-t-elle à voix basse.

HAAANW. Mes bébés !

Hildr a écrit:

Elle leva son regard vers celui de son amie, et la fixa de son oeil encore valide. Elles étaient toutes deux très similaires mais aussi très différentes. Quand Hildr rêvait de fonder une famille, Freyja rêvait de dégainer son épée; mais, à la fin de la journée, malgré ses différences, elles étaient toujours là l'une pour l'autre. Et c'était ça qui comptait.

En vrai Freyja elle aura des enfants un jour ! Mais ouais c'est clair que c'est pas sa priorité. Pour le moment, elle préfère botter des culs plutôt que d'en essuyer le caca :D

Hildr a écrit:

« Tu sais, beaucoup de gens ont peur de toi, ils craignent tes réactions, ils te trouvent dure voir même sans cœur mais... ils ont tort. Tu es une personne merveilleuse, et une amie formidable. Et je sais que, si jamais j'ai besoin de toi, tu seras là, comme tu l'as été aujourd'hui. Et je ferais de même pour toi tu sais, si jamais tu as besoin de quelqu'un, je suis là. »

C'est trop mignon ! Mais quand je vous dis que je ressemble à mes personnages... Freyja et moi on sait pas quoi répondre à ce genre de choses. On est un peu hésitantes, contentes, intimidées, et souvent ça se finit par : "ah euh merci, toi aussi t'es une amie super. Merci !" #l'artdesrelationshumainesparLéaetFreyja

J'ai adoré *-* Mais en fait je suis trop pas à jour là ! Il faut que je réponde à Belin, à Sey, à Clémence, et à tous mes rps sur les autres forums... gnut gnut. (Je crois que c'est Marion qui dit ça ? Je commence à le dire ! Fusion de doublettes !)