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Lorna V. Hansen

Clarence A. Wellington
Clarence A. Wellington

Vrai de vrai, cent pour cent pur jus
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13/06/2014

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Mer 25 Fév - 17:55

LE CONTRAT - A L'ATTENTION DES EXPIES ♥:




Lorna Victory Hansen
— « Le poison est remède à tous les maux. » —



— « a savoir » —
Bienvenue à vous, permettez moi de vous faire une présentation rapide de moi. Originaire du Village on me connait sous le nom de Lorna V. Hansen. Actuellement on peut me trouver à Vivendale. Sachez en passant que j'ai 29 années et que je suis empoisonneuse.



— « Who Am I ?» —
La vipère déambulait lentement, langoureusement, faisant vibrer la multitude d’écailles opale constituant sa carapace visqueuse, élastique. Ses mires assassines, fendues en leur centre par cette entaille plus sombre que les nuits renvoyaient la froideur du verre, la force du diamant. Elles n’étaient qu’ondée cristalline, cependant sa psyché n’en était pas des plus limpides. Apparence et artifice. Le reptile au corps souple et gracile, beauté répulsive et envoûtante, attendait patiemment sa proie pour dégainer ses crocs, cracher le venin recouvrant ses deux lames de rasoir. Sa présence en un lieu dit n’est jamais fruit du hasard.

La brune laissa retomber sa manche, défigurant le tatouage et camouflant sa signification malsaine. Elle éleva subitement les yeux, deux gouttes d’eau salée qui pareils à l’élément, semblaient mettre un point d’honneur à écorcher tous ce qu’ils effleuraient. Froideur et amertume. Elle fronça les sourcils, semblant défier son propre reflet. L’image renvoyée par le miroir inspirait à beaucoup crainte et respect, horreur et malheur. La Mort, tapie dans l’ombre, contemplait avec approbation les actions couvertes de gloire de sa disciple. Alliée infaillible et indélogeable, elle la suivait où qu’elle aille, l’auréolait de sa lumière ténébreuse qui, la course du temps aidant, était finalement devenue sienne. Désormais ces deux entités ne semblaient plus former qu’un, regroupées en l’enveloppe charnelle de la jeune femme. Elle fauchait ainsi vie et flambeau, malmenant le corps et en délogeant l’esprit, réduisant l’âme en charpie. Ce visage de marbre que restituait la glace avait été témoin de plus de crimes qu’une existence entière n’en saurait supporter. Et pourtant, elle était toujours là, fidèle au poste qui lui avait été confié. Et ce depuis que le mécanisme était enclenché.

Chaque jour elle semblait un peu plus inaccessible, incapable d’éprouver le moindre sentiment envers le commun des mortels. Rouge et gelé, son cœur était aujourd’hui inatteignable, inapprochable. Enragée, elle-même y montait farouchement la garde. Le réchauffer serait la tuer. Il avait été tellement plus simple pour elle de se laisser couler, emporter par ce tourbillon alliant fureur et désespoir, que de lutter pour se maintenir à la surface ! Désormais, remonter était chose impossible, même si elle devait avouer l’avoir un temps souhaité. Son destin était scellé, et le sort jeté. Elle ne reviendrait jamais en arrière, ne désirant se rappeler de ce temps où les souvenirs hantaient ses nuits, hallucinations de l’esprit néfastes et si réelles à la fois. Elle ne souhaitait renouer avec ses faiblesses d’antan, raviver le feu qui mettrait à jour la faille.

Car chacun possède la sienne, ce mot de trop qu’il suffit de prononcer pour rouvrir la blessure et pour que se déverse le sang, écarlate, infiltrant les parois poreuses de l’esprit et allant jusqu’à le paralyser complètement. Trop de douleur fait sauter le barrage que l’on pensait pourtant étanche, et libère le flot tari des larmes du passé.
Alors tout un chacun cherche à masquer sa faiblesse, lui à choisi luxure, pour elle ce sera crime, meurtre et concoctions. Mais qui peut en vouloir à ces pauvres âmes en peine de désirer l’oubli, de ne renoncer devant rien pour l’obtenir, lui qui constitue selon eux une fin en soit ?

Lorna est manipulatrice, vengeresse, traîtresse, inquisitrice, assoiffée, perfide, déloyale, sournoise, mauvaise, démoniaque, détestable. Mais avant toute chose, humaine.



— « Because we all have a story» —
Perché au sommet de sa tour d’ivoire, tout ce qu’elle percevait de cet être infâme résidait dans un vêtement à la teinture douteuse, et dont elle n’arrivait pas à détourner le regard. Se pavanant comme un paon, monsieur voyait sans nul doute en sa cape couleur hémoglobine grenat velouté un signe de distinction, marquant sa supériorité vis-à-vis de son auditoire, et plus particulièrement de la gamine qui gesticulait là, juste en deçà ses appartements, lui jetant quelque œillade venimeuse. L’insolente n’avait plus toute sa tête, et pour un peu, il aurait pu la prendre en pitié. Gâcher un si joli minois, des formes pures et harmonieuses, offrir cette chair fraîche en pâture à la potence ! Si ça n’avait tenu qu’à lui, il lui aurait dédié un avenir plus clément, plus excitant, plus … sensuel. Contraint d’afficher porte close à son désir naissant, c’est donc l’esprit pensif que le Haut Juge de Vivendale ouvrit le procès.

Plaqué derrière elle, le bourreau lui enserrait la nuque. Trop fort. C’est tout juste si elle pouvait relever les yeux. Soudain, l’autre, du haut de son perchoir, aboya des mots dont elle ne put saisir le sens, mais qui eurent le don de ramener le silence. Un calme mortuaire régnait à présent sur cette place bondée. Esseulée en son centre, sur l’estrade, elle se sentait sale/exposée telle une malpropre, à la vue des regards de tous. Elle n’était plus qu’un animal que l’on trainait devant eux. Ils lui avaient arraché le peu d’humanité qu’il lui restait. Souillon, sale, elle n’était vêtue que de quelques loques, le peu qu’on avait bien voulu lui accorder. Elle n’était ni noble ni reine, elle devrait s’en contenter. Le bourreau la serait tout contre sa poitrine, comme s’il avait peur qu’elle ne lui échappe. Pourtant, elle n’avait même plus la force de tenir debout. Elle sentait la chaleur de sa respiration contre son cou dénudé, la puissance de ses bras qui entourait son corps frêle. Elle le haïssait, mais pourtant elle devait le remercier. S’il l’avait lâchée, elle se serait écroulée à terre, et la, aurait été plus misérable que jamais. Poupée désarticulée. Au moins était-elle debout, faisant face à la cours. Ainsi qu’à la mort. C’est alors que le bouffon en toge et perruque poudrée prit la parole.

« Nous sommes tous réunis ici en ce jour afin d’expier les pêcher de Mlle Mathilde Cristina Hansen. Accusée de tentative d’infanticide, la coupable nie encore aujourd’hui les faits en bloc. Sa sentence ne sera autre que la peine capitale. Que le châtiment qui lui soit infligé reste à jamais gravé dans vos mémoires. Et qu’il vous serve d’exemple.»  La jeune femme pleurait à présent à chaudes larmes, incapable de se concentrer sur les paroles du magistrat, bien que devinant leur signification. Ca ne pouvait pas se finir comme ça ! Pas ici, pas maintenant ! Etait-ce ce qu’elle avait mérité ? Elle qui était sur le point de rétablie la justice ?

« Comme le veut la loi, nous laissons la parole à l’accusée. Avez-vous quelque chose à dire pour votre défense ? »

« Eh, on’te cause Mam’zelle » chuchota le balourd dans son dos pour qu’elle réagisse et sorte de sa torpeur. « Si t’veux balancer un truc, c’est maint’na, avant de t’taire à tout jamais. » avança-t-il en accompagnant le tout d’un rire gras.
Elle ne pouvait plus respirer. Son haleine empestait, elle aurait voulu que jamais il ne l’ouvre, elle aurait voulu qu’il la boucle et la laisse s’emmurer dans son silence. La colère s’empara d’elle, bouillonnant avec violence dans ses veines. Haine à l’égard de ces institutions débiles qui n’étaient même pas capables de discerner le vrai du faux, le bien du mal. Elle était innocente, et ce depuis le début ! Elle ne savait même pas ce qu’elle faisait là, mais ne se faisait pas d’illusion. Il fallait un coupable, et elle semblait toute désignée. Elle paierait pour les autres. Et ce peuple, cette bande de brebis galleuses qui ne valait pas mieux qu’elle, qui avait commis les pires crimes était là, à la regarder comme si elle était demeurée, comme si elle était fautive, hérétique, sorcière, coupable. Ce n’est pas moi la sorcière.

« Lâche-moi, imbécile. » susurra-t-elle entre ses dents tout en lui assenant un coup de coude. « Comm’tu voudras, Chérie. Je m’dois d’respe’ter ta dernièr’vo’onté ! » A ces mots, elle sentit l’étau qui l’emprisonnait se desserrer, et mordit la poussière sous les rires d’une foule en délire. Allongée sur le flanc, elle se mit en boule et prit une longue inspiration. Ca n’était pas fini ! A vrai dire, ça ne faisait que commencer ! Quitte à mourir, autant marquer les esprits de cette bande d’abrutis ! Sa faiblesse devait devenir sa force. Autant leur balancer leurs quatre vérités à la gueule. Rebelle et entêtée, elle se devait de le faire. Au prix de longues secondes de souffrance, elle parvint à se mettre à quatre pattes, puis posa un pied au sol. Un puissant élancement la paralysa dans la démarche, lui arrachant une grimace mêlant colère à frustration. Tout son corps n’était plus qu’une large blessure. Couverte de bleus et d’autres hématomes, la douleur semblait profondément ancrée dans son être, marquant sa peau après avoir déchiré sa chair. Puis, se mettant tout à coup en action, elle se leva d’une traite. Muscles endoloris. Ses membres courbaturés ne pourraient la soutenir longtemps. Assez longtemps pour ce que j’ai à dire.

« La justice de Vivendale, hein ? A-t-elle seulement un jour existé ? » Lâcha-t-elle avec un ricanement nerveux. « Pas plus hier qu’aujourd’hui ! » La jeune femme prit une longue inspiration avant de continuer.
« Je n’ai jamais voulu tuer une enfant. J’AI VOULU TUER UN MONSTRE ! ET JE NE REGRETTE RIEN ! C’EST UN MONSTRE ! Vous n’avez rien compris, vous n’avez pas cherché à comprendre ! VOUS M’AVEZ TORTUREE PARCE QUE VOUS NE CROYIEZ PAS CE QUE JE DISAIS ! VOUS VOULIEZ DES RAISONS VALABLES ! Vous vouliez des aveux que je n’ai pas à faire ! DANS QUELQUES ANNEES, VOUS VERREZ CE QUE VOUS AVEZ FAIT ! VOUS VERREZ CE QUE VOUS AVEZ CREE ! » Mathilde criait maintenant à n’en plus finir, s’époumonant plaçant ces dernières forces dans ce discours improvisé. Inspirant la pitié, le dégout, personne ne la croirait et pourtant elle se devait de parler, de confier ses sentiments, de transmettre le message. De les mettre en garde. «  ELLE ME FAISAIT PEUR … Elle me faisait peur … elle … peur. »
Ses yeux hallucinés papillonnaient à n’en plus finir, dans un mouvement rapide et saccadé. Elle semblait chercher quelqu’un dans la foule, un visage, un enfant, une enfant. « ELLE EST LA ! » s’écria-t-elle soudain la en pointant du doigt tandis que le garçon qui se tenait près de sa fille, protecteur, se plaçait devant cette dernière, la masquant à ses prunelles enragées. « VIVENDALE, TU AS ENGENDRE EN TON SEIN UN MONSTRE ! TU AS … » C’est alors que le bourreau plaqua sa main large et crasseuse sur la bouche de la brune, coupant court à son plaidoyer affligeant.

S’ils ne voulaient plus l’entendre, au moins ils ne pourraient l’empêcher de penser. De penser avec force, d'aboyer ses injures, fusse mentalement, à un peuple qui ne les avaient que trop méritées. De stigmatiser un gouvernement injuste, violent et aveugle. Son bâillon improvisé fut bientôt remplacé par un tissu immaculé, que le colosse resserra avec force, lui arrachant une plainte aigue. Misérable Mathilde, seule contre tous. Et tandis qu’il la rapprochait lentement de la potence, une évidence s’imposa à son esprit.

« Je déclare l’accusée COUPABLE ! »

La foule applaudit, s’exclamant d’un seul homme dans un chahut qui était insupportable à ses oreilles. Qu’on en finisse. Tandis que le bourreau lui passait la corde au coup, elle se surprit à regarder vers le ciel. Le ciel d’un bleu azur, si pur, si frais, dépourvu de toute trace du passage de l’Homme, de celui qui détruisait tout ce qu’il touchait. Le ciel limpide, où Nature était encore reine, et où Liberté semblait faire loi. Bientôt, elle irait le rejoindre.

Il parait que l’on peut voir sa vie défiler devant ses yeux quand approche l’instant funeste ; et ce pendant encore trois secondes encore après la FIN.

Car c’était tout ce qu’il lui restait désormais. Plus que trois secondes avant que les portes ne s’ouvrent devant elle, la guidant vers ce Nouveau Monde.

Encore trois paragraphes comme ça et j'aurai fini la fiche de Lorna ! Great ♪


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— « les liens » —
Teresa Labonaire, l'Alliée d’une autre époque.
Le Cercle d’Assassins de Vivendale. Un organisme que beaucoup craignaient, et que d’autres, plus rares, respectaient. Les rencontres les plus bouleversantes ont parfois lieu en des endroits reculés, froids, hostiles. Lorsque la vipère fut chargée de l’initiation de Teresa, elle ne pensait pas découvrir en cette jeune femme d’allure innocente un talent si prononcé. Comme elle, l’apprentie semblait née pour ôter la vie, usant de ses charmes à la perfection. Enjôleuse, elle se repliait ensuite vivement sur ses proies, ayant soif de sang, de vengeance, et de réussite. La mort semblait voir en elle l’une de ses disciples.

Une alliance fut proclamée prestement. Et perdure encore aujourd’hui. Malgré la distance.


Berlioz Wellington alias Gray, ou payer le prix de ses actes.

De tous les crimes commis par la brune, il fut surement le plus excitant. Celui dont elle était le plus fière.

Un sourire mauvais, machiavélique, flottait sur ses lèvres alors qu'elle quittait la pièce, laissant l’imposteur seul en compagnie d'une tasse de thé de sa concoction. Belladone. Indétectable. Mort lente, douloureuse. Principalement marquée par une respiration haletante, entrecoupée de râles gutturaux, ainsi que d’une toux grasse. Hachée. Le tout quelque peu rehaussé de violentes convulsions. Lorna avait aimé écouter cette douce mélodie, presque chatoyante à ses oreilles. En extase, elle contemplait son œuvre, gorgée d’orgueil. Puis, dans une plainte haut perchée, la victime lâcha son dernier soupir. Et tout fut fini. Son sourire s’élargit.
La vipère empocha l'argent. Une somme atteignant des sommets. À la hauteur de ses espérances. Elle visait de plus en plus haut, quitte à se brûler les ailes. Inconsciente. Toute personne rationnelle l’aurait jugée proche de la folie. Mais elle maîtrisait jusqu’au moindre détail de son existence pour le moins aventureuse. Elle était libre. Libre comme l’air. Elle prenait du gallon à chaque tâche accomplie. Le gout amer de l’échec ne lui était pas familier. L’agent double faisait maintenant partie du passé. Sa tête n’était plus qu’un autre trophée à ajouter à son palmarès. Qui prendrait la poussière en compagnie des autres. Seulement, c'était sans compter sur les proches de cette dernière proie. Dangereux. Scrupuleux. Et à sa hauteur. Elle avait toujours adoré ce genre de défis. Elle savait qu’ils la recherchaient sans relâche. Traquée, mais aucunement intimidée. Les reptiles ont le sang froid. Cela sonne comme une évidence.




— « Behind The Computer » —
A mon tour de me présenter, mon nom est Célia, mais vous pouvez m'appeler Cécé, Clacla, ou encore Cécé Clacla. N'oublions pas de préciser que mon personnage a le physique de Katie McGrath. Avant de partir j'aimerais dire que le forum est jhglkswilgloejddlgkld, pour reprendre l'expression de Sey ♥

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Seyrane de Larant
Seyrane de Larant

Divine plume
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Mer 25 Fév - 18:43

Hâte d'en savoir plus sur Lorna, après tout j'ai plutôt intérêt à me renseigner ! :D
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Dante N. Knightley
Dante N. Knightley

écrivain à succès
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14/11/2013

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Mer 25 Fév - 19:17

Aww Katie ♥ hâte d'en lire plus :3
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Clarence A. Wellington
Clarence A. Wellington

Vrai de vrai, cent pour cent pur jus
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13/06/2014

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Mer 25 Fév - 19:37

Oh oui ! Willou doit se méfier ♥
Je m'éclate tellement à l'écrire !
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Malbe
Malbe

Expié engagé
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06/12/2013

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Mer 25 Fév - 20:12

LORNA *-*
Bienvenue beauté !
Faudrait peut-être qu'on avance dans Gray/Lara pour que la demoiselle ait sa revanche aussi un jour ^^

Bon courage pour cette fiche, qui je sais sera merveilleuse ♥♥
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Alessandra de Marbrand
Alessandra de Marbrand

Fondatrice
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24/10/2012

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Mer 25 Fév - 22:59

Ma déesse *-* #teamlorna
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