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Caliel F. Hopkins - « Entre la justice et la vengeance, il n'y a qu'un pas. »

Dezbaa
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Expié de talent
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Ven 3 Avr - 22:23


Caliel F. Hopkins ft. Max Irons


« Entre la justice et la vengeance, il n'y a qu'un pas. »


A savoir

Caliel d'Erëstz, de son nom complet Caliel Frédéric d'Erëstz, jeune homme âgé de vingt-neuf ans, est un des nobles et riches résidents de l'Enclave. Pour être plus précis, il vit dans une demeure située dans les beaux quartiers. Cependant, ceci n'est qu'une couverture : il œuvre en réalité en tant que infiltré de la Guilde et se prénomme Caliel Faust Hopkins.


Physionomie


Que dire de notre homme ? Comment le jugerait-on, au premier abord, au premier regard, lorsque les choses sont encore perçues brutalement, dans toute leur laideur, ou toute leur splendeur, sans que les yeux habitués n'aient gommé certains de leurs atours, sans que les pupilles lassées n'aient omis aucun détails ? Comment saisir l'instant où les regards se croisent, où l'un juge l'autre sans le connaître, ou l'échange tacite se fait, saisissant les êtres, les figeant pour la fraction de seconde suivante ?

Le premier élément aimantant le regard, c'est lui-même. Les yeux de Caliel sont d'un gris tirant sur le vert. Ils sont comme deux lacs au milieu du désert ; rafraîchissements, apaisements, soulagements, vitalité ; deux lacs dont le fond est aussi noir que la nuit ; deux lacs dans l'abîme desquels les étoiles aiment venir se mirer. Souvent, ils sont plissés, et forment de petites rides aux coins de ses paupières. En effet, ses cils sombres ne semblent pas capables de les protéger des attaques d'un soleil ardent. Votre épaule percute la sienne ; elle est solide, malgré l'aspect longiligne du jeune homme. Vos mains s'effleurent ; elles sont rugueuses, c'est étrange.

Le croiser, simplement, ne vous permettrait pas d'apercevoir beaucoup plus de choses de sa personne. Mais, admettons que vous soyez tous deux sur un trottoir, la route étant la seule barrière entre vous. Généralement, il se vêt d'un costume, la coutume l'exigeant, ou d'une chemise de flanelle et d'un pantalon noir. Peut-être remarquerez-vous ce geste qu'il a l'habitude de répéter. De temps à autre, il porte ses longs doigts, pourtant calleux à certaines jointures, à sa bouche, bien dessinée quoi qu'elle soit celle d'un homme. Il pince sa lèvre inférieure, la gratte de son index. Sa main se perd dans la répétition de ce geste avant de remonter sur son visage aux traits quasiment angéliques, et de venir se perdre dans les mèches rebelles de ses cheveux bruns coiffés en bataille.

Imaginons cette fois que vous soyez assis l'un en face de l'autre, pour une quelconque raison. Sa peau est blanche, pigmentée de grains de beauté. En outre, son front est ridé de quelques plis qui le feraient presque passer pour plus âgé qu'il ne l'est. Une ébauche de sourire se dessine sur sa bouche, dévoilant des dents blanches et alignées. Des esquisses de fossettes menacent d'apparaître ; il sourit souvent. Il passe sa paume, où s'enchevêtre des lignes sinueuses, sur son menton imberbe. Puis ses doigts remontent le long de l'arrête de son nez. Il cligne des yeux. Il vous jette un coup d’œil, et bien que son regard soit doux, il suffit pour vous donner l'impression qu'il vient de vous mettre à nu.


Caliel... Il s'agit d'un prénom angélique. Quelle ironie, pour un homme qui réfute le système ! Réfuter pour s'opposer, s'opposer sans baisser la tête, en gardant le menton levé, en se déplaçant fièrement, le port altier et la démarche libérée. Pure utopie. Peut-être même que cela tient de l'illusion, du mirage ? La réalité serait belle, si elle était ainsi pour tous. Chaque jour, chaque nuit, ils doivent se terrer, patienter et agir dans l'ombre, pour créer une ère nouvelle qui correspondrait plus à leur image, à leur philosophie de vie. Une ère qui tolérerait leur envie et leur besoin d'indépendance, de liberté. Cette liberté, il la possède, au prix de la compagnie de quelques privilégiés. Il ne mesure ni sa chance, ni son malheur.

En s'immisçant dans cette société, il a dévié du chemin proprement tracé par les citoyens, leurs ancêtres, les institutions et l'État. Il s'est écarté de la route unique, de la route ultime, du sentier de l'apothéose. Au premier abord, ce n'est pas particulièrement une situation enviable. Il faut se cacher, instaurer un jeu de masques, lancer une valse des apparences. On doit vivre au jour le jour, à la nuit la nuit, au moment le moment, à l'instant l'instant. Pourtant, c'est cela qui plaît à Caliel : l'adrénaline procurée par l'insécurité.

Depuis toujours, il a senti en lui ce besoin de repousser ses propres limites, mais aussi toutes celles qui conditionnaient son existence. En lui veille l'envie de montrer que tout n'est pas fatal, que rien n'est constant, que tout peut changer, que rien n'est inéluctable ; et que lui saura s'élever au-dessus des règles et des préjugés. Orgueil et prétention, dîtes-vous ? Sans doute ces deux passions se mêlent-elles dans la débâcle de ses grands idéaux, dans les sentiers aussi sibyllins que sinueux de sa pensée utopique. Peut-être constituent-elles même la quintessence de sa personne. Occulte-t-il ses peurs et ses craintes derrière elles ? Possible.

Néanmoins, à le voir ainsi, vaquer de lieu en lieu, vagabonder d'occupation en occupation, nul n'aurait envie de venir le provoquer ; il a l'air si paisible, si tranquille. La peur elle-même se priverait-elle du droit d'exercer sa puissance sur cet homme ? Non, il n'est qu'humain, au même titre que n'importe quelle autre personne. Cette simple constatation prouve qu'il est identiquement soumis aux aléas de la nature humaine.

La peur, la colère, la haine, l'amour, l'espoir, la tristesse, la honte, le regret, l'égoïsme, l'avarice, l'envie, le désir, le mensonge, la vérité, la lâcheté, l'honneur, la fierté, l'orgueil, la vanité, la vengeance... Tant de choses, et si peu à la fois, pour résumer l'humanité, pour résumer un homme ; pour en dépeindre la nature sommairement, en quelques mots, sans artifice, sans fioriture, dans sa magnificence et son horreur pures et simples, avec authenticité.

L'authenticité, une valeur qui se perd et s'oublie, tandis que le temps passe et que les gens naissent, vivent, puis meurent. Pourtant, et paradoxalement, c'est une valeur à laquelle Caliel tient. Ce qu'il apprécie, chez une personne, c'est la franchise et l'honnêteté dont elle peut faire preuve, lui qui ne cesse de mentir à propos de sa personnalité comme du reste. Tenace, il est aussi têtu. Mais, à bon escient, ces deux traits de caractères se transforment en qualités.

À mauvais escient, comme tant d'autres, elles peuvent le conduire à agir de façon irrationnelle, ou tout du moins inconditionnelle. Caliel est un homme de pulsions. Il agit souvent sur des coups de tête. Il est loin d'être idiot ; il n'est qu'impulsif. Étant enfant, il a dû apprendre que la vie ne l'épargnerait pas, et que savoir se servir de ses poings comme de sa tête se révélerait toujours utile. Il ne faut entretenir aucune faille, mais palier à chacune, même au sein d'un groupe qui préfère les belles paroles aux attaques barbares.



Because we all have a story


« Ce n'est pas la justice qui te mène, mais la vengeance. » Silence. « C'est complètement débile. » Nouveau silence. « Réponds-moi, bon sang ! » - « Je fais ça pour tous ces gens. » Il désigna d'un geste vague de la main une direction, sans doute même pas celle qu'il désirait indiquer. Ces gens qui vivaient dans la peur que l'un des leurs ne fût emporté, emporté par les soldats, jamais rendu. Ces gens qui crevaient à petit feu, feu qu'attisait chaque instant passé à parler, à se disputer, à ne rien faire. Tous ces gens, là-bas. « Pour la liberté, aussi. » Poussant sur ses jambes, il se leva de la chaise au siège de paille. La liberté ; mot qu'on prononçait du bout des lèvres, dans un chuchotement, sans s'attarder sur les consonnes, de peur d'éveiller les soupçons. Ce mot qui, à chaque instant, perdait de sa prestance, de sa tangibilité, qui s'estompait, lentement, comme les couleurs d'un tableau au paysage idyllique oublié sous une pluie torrentielle, comme la jeunesse s'efface des traits des vieillards. Un rêve qui, sans actions, ne resterait qu'utopie.

Il toisa Adélaïde. À la lueur dansante des bougies, ses cheveux prenaient les teintes du feu et son visage s'assombrissait sporadiquement. Elle fronça les sourcils, visiblement mécontente. « Tu es trop stupide pour entendre raison, Caliel. » siffla-t-elle. « Hum... dans ces circonstances, je dirais plutôt que je suis trop têtu pour t'écouter me supplier de rester. » Un sourire naquit sur ses lèvres alors qu'une étincelle de malice valsait dans son regard vert. « N'essaie pas de changer de sujet. » Elle était tout bonnement inflexible. « Tu y vas peut-être pour ces gens, peut-être pour la liberté... Mais ce dont je suis certaine, c'est que tu y vas avant tout pour venger tes parents. » Le cœur de Caliel fit un bond dans sa poitrine. Sa mâchoire se crispa et sa bouche se ferma. Elle avait touché un point sensible, elle en avait parfaitement conscience. « C'est pour te venger de ce gamin qui les a fait tuer. » Il ne prononça aucun mot. Cependant, son silence en disait assez long. « C'est bien ce que je disais. C'est débile. Tu ne sais même pas qui c'est. » - « Mais je sais ce qu'il ou elle a fait et je sais quand. Le pourquoi et le qui n'ont aucune importance ! Je finirai par tomber sur cette personne, et ce jour-là... » - « Ferme-la. » trancha-t-elle. « Tu aurais une chance sur des milliers de la trouver... et quand bien même tu y arriverais... quoi ? Tu la tuerais ? Oui ? Et ensuite ? Imagine que ça soit quelqu'un de très haut placé ! Tu vois un peu les conséquences que ça pourrait avoir sur les innocents que tu prétends vouloir sauver ? » Le jeune homme plissa les yeux. « Tu comprends rien. » Voulant sortir, il poussa brusquement la jeune femme qui cria son nom. La porte claqua derrière lui. Quelques secondes, et il était déjà loin.

La colère montait en lui telle la mer engloutissant la plage les nuits de pleine lune. Il marcha dans les bois longtemps, semant derrière lui ses pensées affligeantes ; ses parents, leur dénonciateur, son frère, sa future vengeance, sa délivrance inexaucée, sa liberté inatteignable, tout, tout, tout le reste. Une fois introduit dans l'Enclave, il ne devrait penser qu'à ça, à ces objectifs indissociables les uns des autres. Une fois introduit dans l'Enclave, il devrait tracer un trait sur sa vie actuelle. Il tendit son visage vers le ciel. Les nuages se déchiraient, faisant éclater dans les cieux les couleurs du sang et de l'or. La voûte de branches enchevêtrées le protégeait des guerres célestes au même titre que le campement de la Guilde le protégeait des affrontements de pouvoir. Pourquoi se cacher ainsi ? Pourquoi ne pas se plonger au cœur du problème ? Il avait déjà pris sa décision depuis longtemps. Rien ne le ferait changer d'avis, absolument rien, pas même la seule famille qu'il lui restait.

Lorsqu'il rentra chez lui, près d'une heure plus tard, elle était finalement partie. Il n'y avait rien ; pas un mot, pas une attention. Tant pis, et adieu. Il haussa les épaules avant de se diriger vers son placard et d'en sortir plusieurs vêtements. Il fit ses bagages rapidement avant de se rendre auprès de ceux qui lui permettraient de passer la frontière. Le lendemain, il serait un noble. Il serait l'un de ces riches qui méprisaient, qui maltraitaient, qui se plongeaient dans les complots, qui se complaisaient dans le vice. Il toqua puis, entendant l'invitation, se glissa dans la chaumière. L'homme bourru tamponna ses papiers puis les lui tendit. Ça n'avait aucun prix, hormis le poids de l'espoir que son regard de braise jetait sur lui.

On lui confia un cheval avec lequel il se rendit aux portes de l'Enclave. Cité imprenable, cœur impénétrable ; ce soir, il la pourfendrait. Il s'infiltrerait, sans que personne ne pût s'en rendre compte. Arrivant devant les gardes, il ralentit sa monture. « Halte. Papiers s'il vous plaît. » Glissant une main dans la poche intérieure de sa veste, il en tira ses sauf-conduits et les présenta. Il connaissait sa nouvelle identité sur le bout des doigts : Caliel Frédéric d'Erëstz, fils de feu Guillaume et de feu Marina d'Erëstz, riche héritier envoyé par ses parents chez sa tante alors qu'il était enfant, et heureux d'être enfin de retour à la maison. « Vous pouvez passer. Bienvenue chez vous, sire. » - « Je vous remercie. » Les portes s'ouvrirent, et il entra.

Cinq années passèrent. Les premières furent rudes, mais il était désormais bien adapté à la société privilégiée dans laquelle il évoluait. Il pensait que le risque était de se faire démasquer. En réalité, le risque était d'oublier. C'était de se livrer aux tentations et de laisser sa mémoire sombrer peu à peu dans l'oubli. C'était de ne pas se souvenir pourquoi on était là, et comment on pouvait changer les choses. C'était de ne pas se rappeler que, dehors, loin de la chaleur, des plaisirs et du bien-être, vivaient des gens, pauvres, délaissés, oppressés. Il ne fallait pas oublier. Jamais.



Behind The Computer

Bonjour/Bonsoir à tous et à toutes !
Je me présente : Léa, jeune femme sans surnom - ou presque -, souffrant d'une addiction aux RPG qui ne cesse de prendre de l'ampleur depuis désormais... beuh... ça doit bien faire 5-6 ans.
J'ai connu Expiation il y a un petit moment : à ses débuts, en fait (soit il y a environ deux ans, si je ne m'abuse ?). J'avais hésité à m'inscrire, puis j'avais renoncé à cette idée, faute de temps. Le temps n'est toujours pas à ma disposition - à mon grand désespoir - mais la tentation m'a vaincue ! Vous comprenez que ce choix n'est absolument pas raisonnable ; mais je ne suis moi-même absolument pas raisonnable. J'aime écrire, j'aime rp, j'aime partager des moments avec d'autres rpgistes et j'en connais quelques-uns par ici ;)... Bref, j'ai craqué, c'est mal, mais c'est pas grave, parce que comme dirait l'autre : YOLO ! (et puis c'est de la faute de Marion, elle m'en a reparlé il n'y a pas si longtemps que ça)
Concernant le forum... Je ne serais bien évidemment pas venue si le contexte ne m'avait pas plu ; j'adhère totalement, en plus c'est un style de RPG que je n'ai pas encore testé. Je vais m'arrêter là, avant de dire des trucs inutiles - et donc afin d'éviter tout débordement facultatif - et avant que vos chevilles n'aient le temps de commencer à gonfler (avouez que ça serait bête, surtout si elles finissent par éclater) =/
Célébrité choisie : Max Irons.
Code du règlement : Épée en eau.

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Clarence A. Wellington
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Lun 6 Avr - 21:50

OMG *0*
Je t'avais dit que ça serait beau, néanmoins, aurais-je pu ne serait-ce qu'imaginer un tel style, une telle finesse ? Non, pour la simple et bonne raison que moi, ça me dépasse.
Justesse et précision, chaque mot semble avoir été choisi avec soin, pesé et sous-pesé afin de ne pas déséquilibrer le tout. Quand les écrivains jouent les funambules ... je te tire mon chapeau !

J'ai hâte de voir où tu vas nous embarquer par la suite, mais je sais d'avance que je ne serai pas déçue ♪
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Dezbaa
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Mar 7 Avr - 18:21

J'ai un BIG SMILE là ! Merci ça me fait trooop plaisir *o* (en plus j'ai toujours trouvé les funambules tellement classes huhu) Et dire que je trouvais la physionomie très bof... merci haha ! Quant à la suite... advienne que pourra :B
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Malbe
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Mar 7 Avr - 20:24

Great Léa !!
Je vois que la magnificence est toujours en toi ! Tu n'as pas perdu ta plume .. j'en suis toute retournée ! Caliel ... ton texte ... Max ... c'est beau :)

Citation :
Il pensait que le risque était de se faire démasquer. En réalité, le risque était d'oublier. C'était de se livrer aux tentations et de laisser sa mémoire sombrer peu à peu dans l'oubli. C'était de ne pas se souvenir pourquoi on était là, et comment on pouvait changer les choses. C'était de ne pas se rappeler que, dehors, loin de la chaleur, des plaisirs et du bien-être, vivaient des gens, pauvres, délaissés, oppressés. Il ne fallait pas oublier. Jamais.
Ce paragraphe est juste PARFAIT. J'ai beaucoup aimé l'histoire mais CE paragraphe est doijoauhdoapnxiohxiae ! Mer-vei-lle !
Je suis vraiment trop contente que tu sois de retour mon double :p On va se faire des rp de fous ! ^^
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Alessandra de Marbrand
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Mer 8 Avr - 20:20

A l'époque de Neiser déjà j'adorais ton style d'écriture mais là je suis carrément fan *0*
La physio comme l'histoire sont tellement bien écrites, c'est à donner des complexes. Et puis Caliel avec la bouille sexy de Max Irons additionné à une vengeance bien fignolée, j'adore ♪
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Dezbaa
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Mer 8 Avr - 21:36

"La magnificence" mouahaha hahaha ! Fais attention à ce que tu dis, ça pourrait se retourner contre toi... :D
Mais merci ma petite Marion, ça me fait super plaisir (je radote c'est horrible haha) !
"Que je sois de retour" : on dirait que j'étais ici puis que je me suis taillée pendant 300 ans... c'est toi qu'es partie roh ! Mais bref célébrons notre joie sans nous disputer x)

Merci Shatounet *0*
"Des complexes" : faut pas abuser ! Surtout que vous écrivez toutes très bien ici, de ce que j'ai pu voir !

EDIT : ET ŇESEÏR REVIVRAAAAAA !
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