Les citations de rp

Franchement non, j'ai limite hâte :)

Ton message était super bien que court. :3 Mais une chose m'a fait beaucoup rire. Cette phrase

Linette a écrit:

Elle redressa la tête adressant un sourire radieux à sa souveraine.

à côté de ce gif :


épique XD

J'étais sûre que tu ne résisterais pas à cette perche tendue :

Citation :

Jetant ses cheveux en arrière avec satisfaction, elle observa les allés et venus quand soudain, Aaron entra. Elle ne put réprimer le sourire amusé qui étira ses lèvres et elle se contenta de le fixer, attendant avec impatience le moment où il poserait ses yeux sur la rousse. 3, 2, 1 eeeet… bingo ! El retroussa les lèvres en un rictus amusé et quand il détourna les yeux pour les poser sur les siennes et agita les doigts, le saluant avec une joie malsaine. Il leva les yeux au ciel et son visage s’éclaira ; il venait de la revigorer.

Comment je dois interpréter ça pour le superbe et féroce guerrier qu'est Aaron, uhm ?

Citation :

Puis elle voyait les gars comme Aaron et tous ces compères. Et elle se disait que finalement, elle n’était pas encore aussi bas.

Ooooh mon dieu je ressemble déjà à une pile électrique alors que nous ne sommes pas encore entrées dans le vif du sujet... Je prévois le pire pour ce rp x) William a intérêt à s'accrocher mais il a plus de ressources que tu ne crois ;)

Célia a écrit:

Le passage était grand ouvert. Elle l’attendrait. Il était animé de vengeance. Tout comme les autres. Beaucoup avaient tenté leur chance. Pas un seul n’en était ressorti. Car c’est à eux qu’ils appartenaient, là, juste dehors, baignant dans leur propre hémoglobine. Ils s’agissaient des corps des vengeurs.

Disons ... plus de ressources qu'ELLE ne le croit ! Jamais je n'irai personnellement sous-estimer Willou ! Je tiens à ma vie, moi ♪

Seysey a écrit:

Et d'un coup, le premier signal. Les capitaines échangèrent un coup d'œil impatient. Le deuxième signal retentit, Aaron serra fermement les jambes sur les flancs de sa monture et desserra les doigts. L'étalon s'élança dans un mouvement explosif et l'immense armée se mit en marche.

Franchement Sey ... je vois pas pourquoi tu dis que Aaron t'inspire pas, c'est super ! :o

Malbinou, tu es adorable :3 Je suis contente que ça te plaise, mais sache que certains personnages dans certaines situations m'inspirent encore plus qu'Aaron qui part au combat... J'en ai les doigts qui picotent d'impatience. :D

Parce que tout ce qui réfère à Maria est forcément merveilleux [je pourrais même dire divin vu que l'on fait allusion à Jensen], c'était mon devoir de première fan officielle de Maria de tout citer.

Le fan club de Maria a écrit:

Maximilian Ainsworth
— « A fantasy...or could it be reality? » —

La demi-lune brillait dans le ciel noir, dépourvu de nuages. L'air frais que promettait une telle éclaircie faisait couvrir de givre les pavés et rentrer les villageois les plus téméraires. Le vent aussi s'acharnait à faire de cette soirée une rude nuit d'hiver. Le silence qui accompagnait la tombée des premiers flocons était de temps en temps troublée par un cri d'animal, soit perdu, soit en quête de nourriture. Les fumées de cheminées s'élançaient vers le ciel, et les lanternes chatoyantes qui créaient des ombres mouvantes sur le sol enneigé peignaient un tableau digne d'un paysage enchanteur.

Mais ce n'est pas cette image que voyait Maximilian. Bien au chaud dans sa forge, marteau en main, c'est une lame encore luisante qu'il admirait, scrutant avec l'oeil d'un spécialiste sa dernière oeuvre. La chaleur étouffante de l'endroit ne le gênait pas, ayant passé de nombreuses nuits à aider son père, même si quelques gouttes de sueur perlaient sur son front. Satisfait, le brun plongea la lame dans l'eau glacée, puis se mit a frapper le morceau de métal, donnant à chaque coup un peu plus de forme à la future épée.

Ce n'est qu'une fois l'épée rangée dans son fourreau tout neuf que le forgeron prit conscience de l'heure tardive. Eteignant à la hâte les bougies, il défit son tablier et remit ses gants en place. Un léger sourire aux lèvres, il ferma la porte de la forge à clé. Le froid qui vint l'accueillir le fit frissonner. Sa maison étant juste en face, il traversa la rue rapidement, prenant soin à ne pas s'enfoncer dans la neige. Le forgeron entra dans sa demeure, laissant la chaleur lui réchauffer le visage. Il secoua la tête, tentant de faire tomber les flocons amassés dans ses cheveux. Un rire qu'il connaissait bien retentit de l'autre pièce. Dans l'embrasure de la porte qui menait vers la salle à manger se tenait une ravissante femme, brune et avec un sourire qui aurait pu éclairer n'importe quelle nuit noire. ♥

Son coeur fit un bond dans sa poitrine. Cela faisait pourtant plusieurs années qu'ils étaient ensemble, mais à chaque fois qu'il voyait sa compagne, il le ressentait comme le premier jour. Rejoignant sa moitié, Maximilian laissa sa main errer dans sa chevelure brune, tandis que l'autre vint se poser sur sa taille. L'instant d'un moment, il se contenta de plonger dans le regard d'Aria, avant de l'attirer encore plus près de lui pour enfin déposer un doux baiser sur les lèvres de celle-ci. ♥

« J'espère que tu accepteras mes excuses, je n'ai pas vu le temps passer...»

Murmurant ces paroles, il regarda sa compagne d'un air penaud ♥, honteux d'avoir encore laisser son travail prendre le dessus de son emploi du temps.

arianna h. wadson
— « A FANTASY...OR COULD IT BE REALITY ? » —

Le soleil descendait progressivement dans le ciel où le camaïeu orangé virait peu à peu à l'encre noire. Jetant un regard par la fenêtre Arianna s'impatientait, sans lui la maison demeurait bien vide. Elle l'aimait comme au premier jour et son absence lui pesait autant. Chaque soir elle attendait son retour avec impatience et même si cela devait s'éternisait jusqu'à tard dans la nuit. En forgeant ses épées Maximilian avait le don d'oublier à quelle vitesse le temps défilait et seul l’achèvement de son oeuvre le tirait de son travail. Il pouvait alors enfin donner un peu de son temps à bien-aimée.  

Le grincement de la porte retentit dans la demeure et elle sut automatiquement que c'était lui. A cette pensée un sourire d'enfant se dessina sur ses lèvres et elle se leva pour le rejoindre. Il secoua la tête, laissant quelques flocons s'échappaient de ses cheveux ébouriffés. Elle échappa un rire alors qu'elle s'appuyait dans l'embrasure de la porte en arborant un large sourire. Il l'a rejoignit et posa une main sur sa taille tandis que l'autre venait caresser ses cheveux. Après une oeillade langoureuse il se pencha vers elle pour l'embrasser tendrement. ♥

« J'espère que tu accepteras mes excuses, je n'ai pas vu le temps passer...» dit-il d'un air penaud. Combien de fois avait-elle entendu cette excuse, et combien de fois l'entendrait-elle encore ? Mais qu'il rentre tard ne la dérangeait pas tant qu'il gardait un peu de son temps pour elle. Il était sa moitié, son salut. Elle l'aimait de tout son coeur et les années n'avaient en rien altérer leurs sentiments l'un envers l'autre. « Tu es pardonné » murmura-t-elle doucement

Elle passa une main dans ses cheveux pour y déloger quelques flocons de neige. Et se hissant sur la pointe des pieds elle l'embrassa à son tour. « Tu devrais passer moins de temps à le forge ... et plus de temps ici, avec moi »

Maximilian Ainsworth
— « A fantasy...or could it be reality? » —

Se dégageant doucement de son étreinte, Maximilian posa son front contre celui de sa compagne. Elle le pardonnait toujours, chose qu'il ne méritait pas. Comment pouvait elle rester tous les jours à l'attendre jusqu'au soir, voir même le milieu de la nuit ? Une femme courageuse, déterminée, et beaucoup trop bien pour lui. Le forgeron laissa sa main errer dans les boucles brunes d'Aria, réfléchissant. Etant donné qu'il était le seul forgeron de renom dans ce village, il ne pouvait faire autrement que de travailler d'arrache-pied tous les jours. Peut-être que s'il avait un assistant, un apprenti pour l'aider dans sa tâche...cela lui permettrait de laisser la forge sous sa surveillance, et de passer plus de temps avec sa douce. Heureux d'avoir trouvé une solution, il leva le menton de sa compagne d'une main, un sourire aux lèvres. Il devait faire une autre chose d'abord. Une promesse d'un avenir magnifique, ensemble.
« Papa ! » ♥♥♥♥♥♥♥♥♥
Le parquet grinça sous les petits pas du garçon, qui avançait vers le couple les bras tendus. Maximilian s'abaissa pour hisser son fils dans les airs. « Tu ne dors pas Jensen ? » Il déposa un baiser sur la joue du garçon, avant de le serrer contre lui. Son petit bonhomme. 4 ans et déjà si grand. Le forgeron jeta un regard interrogateur à sa compagne. A cette heure, Jensen ♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥♥ aurait du être dans son lit, mais Max ne pouvait pas en vouloir au petit garçon. Il voyait son père tellement rarement... « Et si tu retournais te coucher mmh ? Je te promets que je serais la toute la journée demain. » En voyant le sourire se dessiner sur le visage de son fils, il su qu'il avait pris la bonne décision. Tant pis si des villageois viendront râler devant la forge, demain, il prendra congé pour être la où il devrait être, avec sa famille. Il déposa Jensen par terre, qui, après avoir donné un gros câlin à sa mère, s'empressa de rejoindre sa chambre. Max le regarda partir, un sentiment de fierté dans son coeur. Mais, retournons aux choses sérieuses. Tâtant dans sa poche, ses doigts se refermèrent sur l'objet destiné à sa compagne. Aria le regardait, amusé.

arianna h. wadson
— « A FANTASY...OR COULD IT BE REALITY ? » —

Les deux amants partageaient court moment d'intimité et de tendresse,  qui fut bientôt interrompu par le fruit de leur amour. Maximilian releva le menton de sa compagne avec un sourire aux lèvres, lorsque soudain le silence s'interrompit par une voix enfantine « Papa ! ». Leur garçon s'avança bras tendu vers eux et se jeta dans les bras de son père. « Tu ne dors pas Jensen ? » demanda Maximilian en déposant un baiser sur la joue de son fils avant de le serrer contre lui.

Elle esquissa un sourire, Jensen lui rappelait tellement Maximilian, le père et le fils étaient d'une complicité adorable. Elle croisa le regard interrogateur de son compagnon et se contenta d'hausser les épaules. Tel son père le garçon ne pouvait tenir en place, il voyait son père si peu. Comment lui reprocher de vouloir voir un peu son père ? « Et si tu retournais te coucher mmh ? Je te promets que je serais la toute la journée demain. »

Arianna arqua un sourcil, surprise. Avait-elle bien entendu ? Maximilian serait là toute la journée de demain. Elle ne pouvait s'empêcher de sourire, qu'est-ce qu'il ne ferait pas pour elle et leur petit Jensen ? Max reposa  l'enfant à terre qui vint se coller dans les bras de sa mère. Elle le serra contre lui et déposa un baiser sur son front. Le garçon retourna alors à sa chambre en trottinant, laissant enfin un peu d'intimité au couple. Arianna jaugea son compagnon un instant et l'attira contre elle lentement « Viens par là toi » Elle posa une main sur la joue du brun « Toute une journée de congé, que me vaut l'honneur de cette attention ? » La jeune femme embrassa son compagnon avec douceur, heureuse à l'idée de l'avoir pour elle toute une journée. Il se tuait à la tâche à la forge, il méritait de se reposer, et de profiter un peu de sa compagne et de leur fils. « Je t'aime »♥♥♥♥♥♥♥♥♥

Vous me tuez XDXDXD

Citation :

« Jensen Dean Ainsworth ! Je t'ai entendu ! Dans ta chambre, tout de suite ! »

Moi j'ai pas d'autres mots que : Vous me faites fondre... mais genre vraiment ♥

Citation :

Secouant la tête, Max murmura « Il a déjà le don pour briser les règles, je me demande de qui il tient ça...» Aria allait commencer à protester quand le brun lui posa un doigt sur les lèvres.

[...]

Rebelle et dangereuse, mais douce et élégante. Il avait tout particulièrement fait attention aux détails. De fines feuilles d'or courraient sur tout le long de la lame, rejoignant une poignée adaptée à la main d'Aria. Belle, mais toujours mortelle. Le présent idéal. « Aria, je t'aime aussi, depuis que je t'ai rencontré, mes sentiments pour toi n'ont fait que se renforcer. C'est pour ça que je te pose cette question : Veux-tu m'épouser, et accepter ce cadeau représentant mon amour pour toi ?»

Si Aria dis oui je verse des larmes XD ♥

Line va avoir une crise cardiaque !!!! XD

Citation :

Si elle s'était attendu à une demande en mariage ! A peine se releva-t-il qu'elle se jeta dans ses bras, euphorique. « Oui ! » Elle le serra fort contre lui puis se recula légèrement,afin de contempler le visage de l'homme qui serait bientôt son mari « Oui j'accepte ! » Elle fondit alors sur ses lèvres, l'embrassant avec passion.

Maé a écrit:

Elle portait une robe dont la couleur balançait entre le rose très pâle, le doré très clair et le blanc. Dénudant ses frêles épaules, le corset formait un coeur sur sa poitrine et enserrait sa taille déjà fine. Le jupon parsemé de paillettes débutait à ses hanches délicates et tombait en cascade jusqu'à ses chevilles. Ses mains richement ornées de bijoux soutenait sans cesse le lourd taffetas qui couvrait ses jambes sveltes. Elle semblait ne pas savoir où donner la tête et s'était donc retirée un peu, s'effaçant près des rideaux. Son visage anguleux était couvert de moitié par un masque aux mêmes couleurs indescriptibles de sa robe dans une sorte de dentelle aux fils d'or. Ses yeux noisettes se baissait dès que quelqu'un l'observait et elle ne semblait pas encore avoir remarqué son étude insistante.

Superbe description ! J'ai adoooooré ! O-o

Maé a écrit:

Il se désintéressa un instant de la jeune femme qui paraissait si jeune pour s'emparer d'une coupe de champagne. Et quand il se concentra de nouveau sur elle, il rencontra finalement ses prunelles. Arborant un rictus amusé, elle sembla surprise de croiser son regard d'acier. Ils ne s'étaient pourtant jamais vraiment vus, ou simplement croisés lors de mondanités banales. Inclinant la tête en avant pour la saluer, il ne se dirigea cependant pas vers elle et pénétra dans la grande salle de réception, la fixant jusqu'à ce qu'un mur coupe sa vision.

Mon dieu ... c'est tellement bien *-*

Que de compliments Malbiche, je vais rougir :3 mais j'avoue que cette "nouvelle" version de Dantane m'amuse beaucouuuuuuup

OH.
MON.
DIEU.

Je manque cruellement de vocabulaire pour décrire ce message mon petit Maé.

Citation :

Ils avaient donc mis leur fille à "disposition" des invités. [...] C'est là qu'il vit la fameuse demoiselle de Larant. Facilement reconnaissable de par son apparat, il vit sa silhouette élancée qui se détachait parfaitement sur le fond pourpre et il s'attarda un instant pour l'observer. [...] La soirée serait définitivement amusante.

Ow my Margaaron feels ♥ !
C'est magnifique ma petite Sey ♥
Mes phrases préférées qui ont fait battre un peu plus fort mon coeur de romantique ↓

Citation :

Il n'était mu que par une seule chose : retrouver la rousse. Un instinct de protection primaire s'était emparé de lui et le poussait en avant, dans une course effrénée.

[...]

Aaron crut défaillir. Il hurla son nom. Le temps semblait s'être suspendu et son centre nerveux ne captait plus rien. Son corps semblait seulement une enveloppe charnelle qui n'abritait... rien. Le vide. Le néant.  ♥

[...]

Puis, la soulevant avec toute la délicatesse dont un homme exténué, blessé et sur le point de s'évanouir est capable, il sauta à bas du bûcher.

PS https://www.youtube.com/watch?v=E3Max0TEMw0 Parce qu'Aaron et Margaery me font tellement penser à Jamie et Claire

Citation :

« Vaincre ou mourir, Arianna, il n'y a pas d'autre alternative. » ses mots résonnaient dans son esprit, ouvrant les yeux la brune vit la silhouette de l'ombrageux se dessinait au dessus d'elle. « Will ? » murmura-t-elle, sonnée. Sa vue se brouillait dû à sa chute mais elle aurait juré que c'était lui. Et pour la première fois depuis le début du combat, elle se sentit en sécurité.

Bon bah pour ne pas trop me répéter je vais dire que ce message était tout simplement brillant, du début jusqu'à la fin il est captivant et tient son lecteur en haleine, jusqu'à ce que tout espoir soit définitivement annihilé. C'est magnifiquement morbide Sha.

La dure réalité

Citation :

"Parfois, des questions restent sans réponses. La haine, la malchance, le courage, tellement de choses qui peuvent influencer le cours d'une vie..."

Une magnifique post dans son ensemble Cassy mais ce sont bien ces mots que je retiens le plus <3 ❤️

Quand on remarque à quel point les staffiennes ont bien cerné le personnage de William :

Citation :

Rentre chez toi Isabelle, ta place n'est pas ici... » La jeune femme lui saisit le bras, il la repoussa brutalement. « A quoi joues-tu ? Tu espères obtenir le prix de la meilleure soeur ? C'est trop tard pour cela... » 

Arg, dur sur ce coup-ci. Mais ne te méprends pas Line... :P

Citation :

« Venir était une erreur, que pouvais-je attendre de l'homme qui l'a un jour poignardée... ? » Il ricana sombrement. Après cela, il n'y aurait plus de retour en arrière possible : « ...Arianna ne t'admirait que parce qu'elle te craignait ; elle n'a jamais rien ressenti à ton égard, ne te méprends pas ! »

Citation :

Isabelle relâcha la pression sur son arme. William s'anima instantanément ; il crocheta le bras de la jeune femme et la fit chuter à terre. Il saisit son épée avant qu'elle ne retombe, et la pointa sur la poitrine d'Isabelle. Il appuya jusqu'à faire perler le sang. « Ne me sous-estime jamais... »

Line a écrit:

Elle tourna une dernière fois, et se retrouva derrière lui à une dizaine de pas. Souple et gracieuse, elle flotta jusqu'à lui silencieuse et glissa sa main dans son dos. « Bonsoir. » Il se retourna brusquement, et ses magnifiques prunelles noires surprirent le prédateur. Margaery perdit pied, et l'espace d'un instant ses traits se déridèrent. Avait-il un jour été si beau, si puissant ? Si près... Ce qu'elle pouvait être faible, une femme aisément manipulable... Elle se fit à nouveau maîtresse de ses émotions, et arbora une moue provocatrice. « Quel mauvais garçon, délaisser une si délicieuse partenaire... » Un voile de colère sembla le traverser. « ...je suis sûre qu'elle se languit de toi. »

*-*

Oh. mon. dieu ...

Seysey a écrit:

« Margaery, quand cesseras-tu tes caprices d’enfant gâtée ? » L’étincelle de défi qui luisait dans son regard excita son agacement, et il reprit avec colère : « Je n’en peux plus, de ce comportement futile, de ta jalousie, de ton goût démesuré pour les drames ! Tu m’asphyxies. Je ne t’appartiens pas et je n’ai aucun compte à te rendre ! » La jeune femme se raidit et son regard se durcit, mais peu lui importait. « Ce jeu du chat et de la souris m'exaspère. Tu ne peux pas t'amuser avec les gens comme ça, te délecter de les avoir à ta merci parce qu'ils veulent te faire plaisir. Avec tes coups d'un soir si tu veux, mais pas avec moi. Le flirt, la séduction, tu me connais assez bien pour savoir que j'adore ça mais là c'est autre chose. » Il marqua une pause, et reprit. « Regarde où tes enfantillages nous mènent ! Je ne peux pas être constamment à ta disposition, à satisfaire tes moindres désirs et à être éconduit dès que tu es lassée ! Je ne suis pas juste ton partenaire sexuel Marga, et si ce que j'ai fait aujourd'hui n'a pas suffit pour te le prouver ou bien que tu ne veux pas changer de point de vue, alors je n'ai plus rien à ajouter. » Il relâcha les poignets de la jeune femme et s'écarta légèrement, détournant le regard vers la petite place où les éclats de rire s'enchaînaient.

Sey a écrit:

Certains, le temps d'un soir, d'une semaine, d'un mois ou peut-être même d'un an, se tournent vers le monde mortuaire pour pleurer les disparus. D'autres, à l'inverse, choisissent le côté des vivants, séduisent la vie comme une jolie femme et s'emploient passionnément à contrer les lois implacables de la nature, à narguer ces forces inconnues en vivant d'autant plus intensément que leurs compagnons sont morts. Ils perpétuent l'existence, celle des disparus à travers la leur, animés par le désespoir - ou bien est-ce la rage ? - de vivre et exaltés par la perspective que, peut-être, cette soirée soit la dernière. Pour chaque fin, il y a toujours un nouveau départ...

Si c'est comme ça tout le long du rp, je vais mourir d'excès de beauté ..
Superbe Marianne, comme toujours !

Doux jésus, comment vous expliquer que... WARIA

Citation :

« Arianna, il faut se dépêcher ! » pressa une voix masculine. La brune continuait cependant de lutter, elle donnait des coups à l'aveuglette, mais aucun ne touchait sa cible. « Non ! Je n'y retournerais pas ! Lâchez moi ! » Les larmes brouillaient sa vue. Elle ne pouvait pas retourner là-bas, elle ne le supporterait pas. Elle n'y survivrait pas. « Non ! » Une main lui saisie le menton et l'obligea à regarder son visage « Regardes moi ! Ce n'est que moi. » Elle leva son regard. William. Pendant un instant elle resta figée, partagée entre l'idée d'une illusion ou d'une réalité. Etait-ce seulement possible ? « Will ? » Son sauveur acquiesça. Aussitôt sa peur s'envola, un sourire fatigué se dessina au coin de ses lèvres ensanglantées et elle l'étreignit. Elle était sauvée.

Des cor de chasse retentirent derrière eux. William la releva mais, à peine fut-elle debout que la jeune femme menaça de s'effondrer à nouveau. La tête lui tournait. Il passa une main sous son épaule pour l'empêcher d'heurter une nouvelle fois le sol.  « Est-ce que ça va ? » demanda-t-il avec inquiétude. La jeune femme secoua faiblement la tête. Il passa un bras sous les genoux de la jeune femme et la porta. «Il faut qu'on déguerpisse d'ici, et vite. » murmura-t-il en reculant.

Bye

Citation :

Elle l'embrassa avec passion et fougue, comme les fois précédentes, et comme les fois qui suivront. « Ce n'est que le commencement » susurra-t-elle contre ses lèvres.

Linou ... ces mots !

Isa a écrit:

Une autre nuit sombre et infinie passa, seul le froid de plus en plus mordant indiquait le temps écoulé. Deux nuits et un jour, d'interminables heures à se morfondre et à désespérer. Combien de temps encore la laisserait-on se torturer ? Elle poussa un cri de colère et balança sur le mur la cuvette de défection. La lady Hart, aussi proche de la mort soit elle, ne s'abaisserait jamais à la vilénie. Devait-elle payer pour tous les vices de Vivendale ? Jamais elle ne se briserait. Isabelle se releva, elle enterrait la passivité, redevenait elle-même. Ses assaillants étaient nombreux : Jason, le Haut-Gouvernement, Katharina, le Cercle, la Guilde. Ils attendaient impatiemment sa chute, elle ne tomberait jamais. « Je suis Isabelle Hart. » Elle se jeta sur les barreaux, elle passa les bras autour des colonnes de fer ; reprit plus fermement, plus fort : « Je suis Isabelle Hart. » Seul son écho lui répondit. Cela lui était égal, un sourire d'euphorie, illuminait son visage. Cette seule vérité lui suffisait.

Et pour Célia .. toujours magnifique, toujours juste. Tes posts sont tellement attendus, c'est un véritable délice. Vraiment.

Lorna a écrit:

S a carapace s’est construite sur des crimes, vols et autres méfaits. Sur des assassinats orchestrés avec brios, puis concrétisés à la perfection. Des homicides merveilleusement vermeils. Le sang, cimentant chaque pierre et maintenant l’édifice, abreuve une terre toujours plus assoiffée, intarissable. En cette forteresse imprenable et gelée, la Mort semble régner en maître, animant chaque mur, possédant chaque pièce. Mais dans la boue infertile de son étroite cours pousse une fleur, une seule. Une Edelweiss défiant les températures qui, contre toute attente, pointe vers le ciel, d’une blancheur éclatante. Elle s’abreuve de ses souvenirs d’enfance. Palais des glaces, neiges éternelles.

Malbe ce message est magnifique, sublime ! Charlie a une volonté de fer, il est tellement admirable :

Citation :

« Faîtes ce que vous voulez de moi. Torturez-moi, écorchez-moi vivant, menez-moi au bûcher, montrez-moi la potence, trouez-moi la peau, laissez-moi crever dans une cage, menacez ma famille, pillez ma ville, saccagez ma maison. Jamais, jamais, jamais vous ne briserez ça. »